Comment synthétiser ce déconditionnement complexe ?

N’avez-vous jamais remarqué que sur la plupart (tous!) des documents officiels votre NOM apparaît différemment de votre Nom ? Sous la forme « TOUT MAJUSCULE » ? On ne le remarque pas tellement cela est fait subrepticement ! Votre Nom : Joe Blog est tout le temps écrit BLOG JOE.

Mais pourquoi donc ?!

Parce qu’il est écrit dans une autre langue !

La Tromperie se trouve sur votre nom:

Votre Nom et votre NOM sont deux choses complètement différentes; et c’est là qu’est toute la différence, et toute la supercherie, l’arnaque et la Tromperie !

Deux écritures différentes pour deux langages différents, un légitime, l’autre non, une langue vivante, l’autre morte. Le système vous fait donc passer pour mort dès votre naissance et par cette tromperie vous assujetti à son service « volontaire » car il vous trompe à accepter ce contrat dès le départ (ce contrat étant votre COMPTE inscrit aux registres de l’État, registre des naissances par exemple). En vous faisant croire qu’un langage fictif, imaginaire et immoral ressemblant fortement à du français, est du français.

D’où l’importance pour Romley Stewart de poser les 3 questions suivantes à toutes entités juridiques (l’État, les Impôts, le Tribunal, la Loi, une entreprise, une Banque, toute dénomination de COMPTE sous votre NOM):

-Pourquoi le Nom est écrit en « TOUT MAJUSCULE » sous la forme « NOM » ?
-Pourquoi le PRÉNOM et le NOM sont inversés ?
-Quel code ou manuel de Typographie, ou d’Orthographe et de Grammaire utilisent-ils ?

Et oui, cela se transpose de l’anglais au français car les similarités sont là, de plus les mêmes accords mondiaux sont signés, le même système bancaire est régit par le Fonds monétaire international (le « dit-fameux » FMI), souvent le même genre de système judiciaire, tel l’UNIDROIT (voir les articles de Romley), le fondement en étant le code Justinien, le droit civiliste, le droit romain du Corpus iuris ciuilis. (Voir aussi le « droit positif« , le « Trust-Law » anglais, la « Common Law » anglaise, le « droit canonique » de l’Église Chrétienne).

Le langage TOUT MAJUSCULE

Officiellement dans la langue française correcte votre Nom est un Nom Propre qui prend un lettre Majuscule à la première lettre puis des minuscules : Joe Blog : Prénom Nom. Votre prénom vient en premier car c’est le pré-nom, le nom qui vient avant. Voilà votre vraie identité humaine d’être humain vivant, seulement vous-même pouvez être vous-même; et donc vous représentez vous-même en tant qu’être humain vivant, ayant droit de vie sur vous-même; et ayant le droit inaliénable (Droit Inaliénable d’Existence et Universel) de respirer, manger, boire, dormir, etc… toutes les choses vitales à la vie d’un humain, les besoins existentielles.

Cela est confirmé par les règles d’orthographe et de grammaire de la langue française qui régissent cette langue bien vivante. Le français est un texte descriptif qui décrit, explique et définit les choses de la vie. Le latin de cuisine est un texte illustratif et figuratif (mais quelque part non-figuratif car ne représentant pas le réel!).

Lors de votre naissance, vos parents vous donnent un ou des prénoms qui en s’associant à votre Nom de Famille ou Patronyme devient votre Nom (Joe Blog).

Mais pour le système c’est une personne physique qui ‘doit’ être déclaré en vie, on doit vous donner vie, comme si on ne voyait pas que vous étiez en vie !!! C’est la déclaration de naissance, sous un Nom de naissance (enfin, plutôt, un NOM):

Dans les pays où les naissances doivent être officiellement enregistrées, le nom inscrit sur un registre des naissances peut, par ce seul fait, devenir un nom légal.

Votre personne physique devient une personne physique légal donc assujetti à la Loi. Un parfum de début d’Esclavagisme se dégage. La création de la personnalité juridique.

Une personne physique est, au sens du droit, un être humain auquel on a attribué la jouissance de droits.

Le terme de personne physique est utilisé en opposition avec le terme juridique de personne morale qui désigne une entité (une société, un groupe, etc.).

Noter comme, subrepticement, la personne physique et la personne morale sont finalement les mêmes, en opposition pareil!

S’ensuit de votre déclaration de naissance de par laquelle vous devenez le débiteur de l’État, celui qui vous donne Vie (cela commence à sentir l’esclavage non? ), votre acte de naissance (un document juridique sur lequel votre nom et écrit en TOUT MAJUSCULE), vous donnant ainsi votre statut de personne juridique. Vous voici officiellement Esclave, Bravo! Un diplôme facilement obtenue, par un consentement un tant soit peu détourné…

C’est l’aptitude à être titulaire de droits et de devoirs.

Soudainement, il y a une forte odeur d’esclavagisme

La personnalité juridique est, d’un point de vue positiviste, une fiction juridique attribuée aux personnes physiques (êtres humains) et aux personnes morales (groupements tels que : entreprises, associations, État et ses subdivisions).

La mascarade a déjà commencée et vous êtes tout juste né ! Vos vrais droits d’humain ont déjà été violés… sous votre consentement perverti… par une fiction juridique de contrefaçon. Vous n’avez plus vraiment le Droit d’Exister.

Vous ne vous êtes jamais demandé pourquoi, sans que l’on vous ne l’ai jamais demandé, on vous a automatiquement ‘forcer’ à accepter les Lois en vigueur quelles quelles soient!?

Jamais on ne vous à demander de participer à l’écriture des Lois, ni même des Droits de l’homme, ni même on ne vous à enseigner à les comprendre, les écrire, ni les étudier.

Si vous regardez de plus prés, les Droits de l’Homme sont assujettis à la Loi, bizarre non ? (voir aussi la Déclaration universelle des droits de l’homme et sa portée juridique et son contrat social, donc politique…et critiques).

la Déclaration universelle des droits de l’homme, qui n’a, en tant que telle, qu’une valeur déclarative, et ne crée donc pas d’obligations juridiques.

inscrite au Droit de l’Homme !

la propriété privée (assimilée par la Déclaration de 1789 à un droit naturel et imprescriptible de l’homme, articles 2 et 17).

Aspects institutionnels et juridiques

Les droits de l’homme ont ainsi de plus en plus une consistance juridique dans le monde…

Droits de l’homme et démocratie

Les lois dans ces exemples ne violent pas pour autant les droits de l’homme mais ceci pose la question difficile de savoir quelles sont les limites « acceptables » que la loi peut imposer aux droits de l’homme, dans une société démocratique régie par le droit.

Il n’est pas exclu que la démocratie puisse se trouver en conflit avec les droits de l’homme. Le principe démocratique rend a priori légitime toute décision issue de la volonté populaire, et ne reconnaît aucune autorité supérieure à celle du peuple-souverain. En conséquence, il n’existe pas de solution philosophique, politique ou juridique unanimement reconnue comme satisfaisante au cas où la majorité d’un peuple, directement ou par l’intermédiaire de dirigeants régulièrement élus, soutiendrait une politique contraire aux droits de l’homme.

Un État démocratique peut donc violer les droits de l’homme. Pour l’éviter, on admet généralement qu’il faut limiter la souveraineté du peuple par des garde-fous indépendants, un rôle souvent tenu par les instances judiciaires (au niveau national, par des juges constitutionnels ou des Cours suprêmes ou, comme indiqué ci-après pour la Cour européenne des droits de l’homme (au niveau régional).

Critiques des droits de l’homme

John Locke appartient au parti contraire, celui des bourgeois, hostiles à l’absolutisme du souverain. Il expose un état naturel dans lequel les Hommes ne sont pas en conflit mais au contraire sont soumis à une loi commune qui commande le respect de la propriété. L’Homme, selon Locke, détient la propriété de lui-même mais encore de ce qu’il produit grâce à son travail, avant tout contrat social. Le contrat social ne sert pas à aliéner les libertés mais à instituer un État qui va assurer le respect du droit naturel de propriété. Locke justifie un grand nombre de droits tels que la liberté de conscience et la liberté d’opinion. Mais ces droits ne concernent pas également tous les individus. En profiteront ceux qui ont les moyens de les mettre en œuvre, à savoir les riches. Karl Marx dénoncera plus tard des « droits formels », réservés en fait à quelques-uns. Le troisième droit de l’homme est ainsi la « domination politique de la classe bourgeoise ; dans l’économie, du capitalisme. »

Vont être opposés à ces « droits formels » des « droits substantiels » tels que le « droit au bonheur, à la santé, à la culture ». Il en résultera tout d’abord les despotismes éclairés, puis les dictatures et enfin la construction de l’État socialiste tel celui déterminé par les Constitutions staliniennes qui revendiquent ces droits de l’homme. Les droits de l’homme ne profitent jamais à tous, ils sont exercés par certains Hommes aux dépens des autres. Pour assurer les droits substantiels il est donc nécessaire de recourir à la contrainte. Le quatrième fruit des droits de l’homme serait ainsi le totalitarisme.

Bref, c’est vite le bordel.

Question de la dénomination

…qui préfèrent le terme de « droits humains » (qu’ils trouvent moins sexiste et plus cohérent, et qui se trouve par ailleurs être la traduction littérale de l’équivalent dans les autres langues romanes ou en anglais : « diritti umani » (italien), « derechos humanos » (espagnol), « direitos humanos »(portugais), « human rights » (anglais).

La dénomination française héritée du xviiie siècle est la seule parmi les langues romanes à véhiculer l’ambiguïté entre droits de l’homme « mâle » et droit de l’Homme « être humain », alors que le mot latin homo dont elle découle étymologiquement désignait plutôt l’être humain (l’homme mâle étant désigné par le mot vir). La commission française consultative des droits de l’Homme réfute ces arguments dans un avis daté du 19 novembre 1998 et la dénomination traditionnelle reste la plus utilisée en France.

On retiendra: « diritti umani » (italien) qui doit pas être bien loin du latin. Donc, « directus (H)umanus« , Directus en latin, A-t-on ici un début de « Directus Inalienabilis Exsisto Umano » ou DIEU, le vrai droit naturel de l’humain?
le Droit Inaliénable d’Existence de l’être Humain ?

Déclaration des Droits de l’Homme, TITRÉ en LATIN DE CUISINE!

On vous a dit de signer votre passeport et votre carte d’identité, votre permis de conduire, etc…vous signez d’un signe, une signature, un contrat écrit en langue des signes donc tout est bon. Mais pourquoi ? Parce que vous êtes obligés ?!

La signature peut également être le révélateur d’une maladie ou d’un acte (parfois criminel) commis par un individu, dans le sens où elle permet de clairement d’identifier la maladie, ou l’auteur de l’acte en question.

Au Moyen Âge, les lettrés comme les illettrés peuvent apposer un seing (du latin signum) sur des contrats, de la correspondance. Souvent ce ne sont que des croix autographes, mais ces seings peuvent aussi être un monogramme, des paraphes mis au bout de la signature (initiales ou toutes autre symbolique permettant une double authentification), des maximes, un seing manuel royal(en), voire la marque des armoiries autographes ou créées par des sceaux et cachets, en fait tout motif symbolique peut être représenté. Ces seings sont parfois suivis de la mention signum suivie du nom, ce dernier étant progressivement intégré au motif à partir du XIIIe siècle.

Henri II, dans son ordonnance de Fontainebleau en 1554, rend la signature obligatoire chez les notaires : le seing du notaire se substitue progressivement à la signature des différentes parties, son seing par le nom (signum nominis, appelé aussi petit seing, consistant à écrire son nom accompagné de quelques traits de plume) devenant l’ancêtre de la signature moderne.

Un graveur signe les pièces de monnaies ou les billets de banque, en entier, en abrégé, en initiale ou par un symbole. La signature n’apparaît qu’au XVIIe siècle sur les monnaies.

Il existe maintenant des systèmes (machines à signer) permettant de reproduire mécaniquement la signature d’une personne. Ils sont notamment utilisés par les personnes qui doivent signer de grandes quantités de documents, comme des célébrités, des chefs d’États ou des dirigeants d’entreprises.

Une signature par cachet (cachée, occultée). Une signature aveugle.

En cryptographie, une signature aveugle, telle que définie par David Chaum, est une signature effectuée sur un document qui a été masqué avant d’être signé, afin que le signataire ne puisse prendre connaissance de son contenu.

Cela est cryptographié donc encodé, caché, occulté.

De telles signatures sont donc employées lorsque le signataire et l’auteur du document ne sont pas la même personne.

C’est assez explicite non? Et non pas implicite comme le Glossa…

Le Tribunal suprême de la Signature apostolique est l’un des tribunaux de l’Église catholique romaine, situé dans le palais de la Chancellerie apostolique, au Vatican.

Vous n’avez seulement que quelques heures de vie, et l’État est déjà coupable d’Esclavagisme, Viol et Persécution sur votre PERSONNE… Par rapport à Romley, je rajoute le viol de la chose la plus fondamentale de l’Humanité, sa Liberté. Comme le dit Rory Lorian dans sa video, vos parents vous ont déclaré comme Esclave du système en vous déclarant sur le Registre de Naissance, le problème, c’est que vous n’avez jamais repris ce pouvoir en leur renvoyant l’Acte de naissance, un contrat d’entreprise privée passé à votre insu et vraiment sans votre accord.

…mais comme c’est PERSONNE et qu’il n y a personne; et que cela est fictif alors tout va bien dans Le Meilleur des mondes.

Donc voilà, dès votre naissance votre vrai Nom est transformée en « NOM », écrit en TOUT MAJUSCULE, une langue fabriquée de toute pièce… mais par Qui? (le VATICAN?), une langue « dégradée », « avilie » mélangeant une langue morte et une langue vivante, et en y mélangeant aussi les deux règles grammaticales respectives… donnant un vrai Gloubi-boulgaqui est un plat imaginaire, très très mal cuisiné ! Qui pue même l’esclavagisme !

Illustration de « Debased » ou « Dégradé »

En anglais, « Dog Latin »: a debased from of Latin, une forme de Latin déconjuguée à sa base, donc dégradée. En français, le Latin de cuisine:

Signification de debased: base: alloyed, counterfeit, of inferior quality, devoid of honour, ignoble, base currency held by villein or other ignoble service, illegitimate: Contrefait, de qualité inférieur, sans honneur, ignoble, monnaie courante détenue par un Vilain ou tout autre service ignoble!!! LES BANQUES!

« An obsolete spelling of, old french bas, latin bassus« , « Un orthographe obsolète, vieux français, latin bas »

langue-base: langue constituant la base, la souche d’une autre langue. De-conjuguer la base, perdre la grammaire.

Nous avons donc un « Latin de cuisine », ici présent, et représentant l’écriture « TOUT MAJUSCULE », ainsi que votre « NOM ». Une langue imaginaire de FICTION comme la fiction juridique décrite un peu plus haut. Un langage des signes, de symboles, comme les hiéroglyphes que l’on ne peut comprendre, sans traducteurs (Les Glossateurs; explication de termes obscures); ou que l’on ne peut parler sans Avocat qui est habilité à utiliser ce Latin de cuisine.

Cela va bien plus loin, car cette langue fictive est la langue des illettrés, des moins que rien, celle du monde des masses. C’est pour cela qu’un avocat doit vous représenter au Tribunal car vous êtes considéré comme illettré; vous ne pouvez comprendre ce qu’ils disent, ce qu’il s’y dit, ni les mots qu’ils utilisent; car on ne vous a jamais appris cette langue… enfin, on a surtout oublier de vous l’enseigner… Par acceptation d’être représenté par un Avocat vous consentez d’office à l’acceptation de ces règles et de ces lois, à l’acceptation de cette servitude volontaire ainsi consenti, vous confirmer par défaut être illettré et incompétent pour vous représentez vous-même.

Mais la PERSONNE représentée maintenant est un personne fictive, VOTRE NOM est LEUR NOM et cela leur appartient, au même titre que tout COMPTE sous votre NOM appartient au propriétaire du COMPTE, la Banque, l’Entreprise, l’État, etc… pour lesquels vous avez accepté de signer un contrat. D’ailleurs par défaut vous devez accepter leurs conditions sans jamais pouvoir les changer, ni y intervenir, car de toute manière vous n’y comprenez rien et êtes illettré et incompétent dans ce domaine.

Signez et vous êtes endettés

Vous acceptez votre « NOM », donc vous acceptez cette servitude (esclavagisme) volontaire; qui est donc légal.

C’est aussi la GLOSE, le langage du Glossa, utilisé par les Glossateurs, et des Postglossateurs analysant les textes du Corpus Juris Civilis. C’est pour cela que Romney explique ce terme et pourquoi la chaîne du tube est nommée la Chaîne de la Glose. La langue du Serpent.

Pour finir Rory explique bien qu’il faut donc renvoyer tout document officiel d’origine aux Administrations respectives, le Permis de Conduire à la Préfecture, l’Acte de naissance à l’État Civil, etc… car la détention de COMPTE sous VOTRE NOM veut dire que vous consentez par défaut à cette Servitude volontaire, à servir le monde des Corporations donc des Sociétés Anonymes, des Entreprises Privées, etc… mais aussi de l’État car en faite l’État a été privatisé en ÉTAT, principalement par les accords UNIDROIT (transfert de la gestion des ressources des Pays) mais aussi pour l’Australie par les accords du COMMONWEALTH.

Il y a donc transfert de pouvoir et administration aux entreprises privées et donc aux Banques, aussi à la Reine d’Angleterre dont tout les citoyens du Commonwealth sont les sujets, donc ils sont assujettis, cela est de la subjugation donc de l’Esclavagisme. Mais détenir involontairement leurs pièces d’identité les lient à ce contrat implicite de devoir plaider allégeance à la Reine.

Mais pour nous Français, non, par contre nous sommes assujetti par le GOUVERNEMENT, qui sont vraiment les Banques, et en faite derrière les Banques se trouvent le VATICAN, l’Empire Romain, qui a mis en place ce système d’attribution de Titre: (1) Mr, Mlle, Mme, (2) le SURNOM et (3) le PRÉNOM. Donc, c’est des TITRES LÉGAL (Loi) MILITAIRE déguisés, dit de Civilité, mais étant vraiment PRIVÉS. C’est trois titres déterminent le contrat implicite de votre acception à la servitude volontaire.

Votre SURNOM (Nom ou Nom de  Famille ou Patronyme) n’est en faite qu’un LOGO, un SYMBOLE, UN SIGNE, de part les définitions d’écriture des règles de grammaire e d’orthographe officielle apparaissant dans le Chicago Manual of Styles et dans le livre « Bon Usage » et, le Larousse et l’Académie française; Un Nom Propre s’écrit Joe Blog et un signe ou symbole JOE BLOG. Le PRÉNOM est aussi glosé en LANGUE TOUT MAJUSCULE. Et Rohan dit que seul le Prénom nous appartient vraiment, il est notre vrai nom et c’est le seul que l’on devrait retenir, c’est nos parents qui nous l’ont donné.

Il prend pour exemple l’Acte de naissance de la Princesse Charlotte « MIDDLETON » et du Prince William et de la Reine d’Angleterre qui en faite ne détiennent pas de SURNOM car ils sont ‘Royal’ donc ‘Réel’, car le SURNOM lui n’est pas réel, il est imaginaire (imagé), il est représente par un SIGNE qui n’est pas lisible car écrit en latin de cuisine, une langue incompréhensible.

Et tout les documents légaux, d’entreprises, d’administration sont écrit dans cette langue TOUT MAJUSCULE incompréhensible. C’est pour cela que Romley Stewart s’est fait acquitté dans son procès pour conduite sans Permis de conduire, car il ne détenait pas de faux document comme le Permis de conduire, qui est en faite une contrefaçon, et le Tribunal ne pouvait désavoué cela sans accepter et révéler la fraude totale du système Esclavagisme en place et pourtant il plaidait coupable!

Les autres articles vont plus en profondeur sur ces sujets. Mais tout les documents officiels sont des contrefaçons, cela inclut les billets de banque spécifiquement car sur un billet de banque Australien qui n’est ni plus ni moins qu’une ordre militaire, billet à ordre, on peut lire l’écriture dans 4 sens différents, cela rend le document illisible et non valide (écouter ses vidéos sur sa chaine, mais j’en ai sous-titré que deux).

Petite exploration des différences et définitions

Vous pouvez aller directement en dessous au cœur de la Tromperie.

L’Usage des Majuscules en Français. La différence entre Capitale et Majuscule. L’emploi des traits d’unions.

Les règles Majuscule/Minuscule.

Les accents sur les capitales

Dans la mesure où les claviers des appareils permettent d’obtenir des majuscules accentuées, il faut placer tous les accents et les signes diacritiques sur les capitales, sauf pour les sigles et les acronymes lorsqu’ils sont écrits en capitales.

L’accentuation des Majuscule par l’Académie française.

Qu’est-ce que le Latin de cuisine (Dog Latin en anglais)

Juste au dessus, on voit tout de suite que le faite de ne pas mettre les accents sur les lettres Majuscules, transforme le mot en Sigle donc en Signe, on retrouve encore un langage illustratif cuisiné, « le latin de cuisine » : un jargon.

Jargon : Vocabulaire généralement inconnu du profane : Jargon judiciaire.
Langage incorrect employé par quelqu’un qui a une connaissance imparfaite, approximative d’une langue. Langue qu’on ne comprend pas (langue étrangère, patois, etc.) ; baragouin, charabia.

Latin de cuisine : de « chose peu rigoureuse », imitation du latin, qui n’a souvent avec le vrai latin que quelques assonances, à but humoristique, mauvais latin, latin plus ou moins authentique. Synonyme de Latin macaronique : langage burlesque, de bouffon (et en plus on ils se foutent de notre gueule !)

Latin de cuisine : comporte des mots ou des expressions qui ne sont pas académiques. Le latin de cuisine aurait été inventé au XVIIe siècle par des jésuites qui utilisaient des mots simples pour pouvoir communiquer avec leurs valets. Aujourd’hui, il est synonyme de mauvais latin et est souvent associé à l’ignorance.

Latin de cuisine : Mauvais latin parlé par les gens sans culture.

Histoire du terme latin de cuisine.

Il y a bien épidémie de maladie (mal dire, mal dira: dire un mauvais présage, mau(x)dire) de la Majusculite ! Il suffit de voir les pubs d’ailleurs! Et pour bonne raison, car c’est le langage du mensonge, la langue de serpent…

Définition du Code ou marche typographique ?

Les différences typographiques francophones, avec un dictionnaire universel, mais en faite en France on se réfère au Larousse et aux règles grammaticales françaises.

Charte typographique du Journal officiel Lois et décrets, septembre 2016

Orthotypographie, codes et marches typographiques, et le Chicago Manual of Styles.

Pour l’écriture du nom propre, on voit qu’un nom composé en Majuscule doit avoir un trait d’union, ex: Jean-Michel.

L’inversion du prénom et du nom

Le seul endroit où vous trouvez l’inversion, à part bien sûr sur vos COMPTES et CONTRATS, est sur les pierres tombales ! BLOG JOE est en effet une PERSONNE MORTE et cela n’est pas écrit en latin correct, ni en français correct, cela est écrit en latin de cuisine, un langage d’outre tombe, de l’eau-delà, le langage des morts, la juridiction du VATICAN, la langue du VATICAN.

Français correct      : Joe Blog    (langue vivante)
Latin correct            : Joe Blog     (langue morte)
Latin glosé              : JOE-BLOG  (langue de signes)
Latin de cuisine     : BLOG JOE    (langue symboligue)
Langue des morts : BLOG JOE    (langue symbolique)
Langue des oiseaux: Je eau blog  (langue vivante symbolique alchimique)

Romley introduit les notions de « nomen » (le Nom heureux, le créditeur) et de « cognomen » (le Surnom, qui consent, le débiteur).

Je n’ai pas encore trouvé le lien qu’il fait avec le faite que le Prénom est relié au créditeur et le Surnom au débiteur, d’où l’importance pour le système de GLOSER le Nom en SURNOM, je pense. Mais cela doit être dans les définitions. On peut y lire pour nomen :

« d’où nomen avec le sens de créance« . « quand la mention d’une créance sur le livre est faite du consentement du débiteur, c’est une « obligation » ». « débourser de l’argent ». « bonum nomen, qui jouit d’un bon crédit ». « payer une dette ».

D’après wiki, « cognomen » (latin, français) est un sur-nom, un nom d’emprunt, un petit surnom qu’on vous aurez donné par exemple, mais qui devint le Surnom, puis le SURNOM :

Surnom romain qui est situé après le prénom (praenomen) et le patronyme (nomen).

Les Romains avaient trois noms : le prénom (praenomen) qui désignait l’individu ; le nom (nomen) qui distinguait la gens ou race à laquelle l’individu appartenait ; et le cognomen, qui marquait la branche, la famille ; quelquefois à ces trois noms s’en joignait un quatrième : le surnom (agnomen), tiré d’une action remarquable ou de quelque circonstance extraordinaire : ainsi Publius Cornelius Scipio Africanus. (Charles Calvo, Dictionnaire manuel de diplomatie et de droit international public et privé, A. Rousseau, éditeur, Paris, 1885)

et « nomen » (latin, français) est aussi un des éléments de la possession d’état, qui  est une présomption égale  (présomption=supposition=hypothèse) établie par une apparence (bien que « totalement étrangère » à la théorie de l’apparence. Autre précisons sur « nomen » en relation au Code civil :

Le nomen, le nom, est le plus souvent compris comme désignant le fait de porter le nom de l’auteur dont on dit être issu, mais Nicole Gallus résume les travaux d’Anne Lefebvre-Teillard ainsi:

« Il revient à Anne Lefebvre-Teillard d’avoir démontré que le « nomen » de la trilogie classique n’a pas, historiquement, le sens que lui donnent les rédacteurs du Code civil et que les auteurs actuels continuent à retenir.

Au Moyen Âge, lorsque se constitue la théorie canonique de la possession d’état, le surnom — qui est à l’origine du nom de famille — n’est pas d’usage généralisé en Europe et sa transmission héréditaire n’est pas fixée.

Le nomen ne peut donc certainement pas avoir le sens de l’actuel nom patronymique — signe d’appartenance à une famille —, mais constitue en réalité une nominatio, soit le fait de désigner l’enfant comme « fils » ou « fille », de lui donner le « nom » — c’est-à-dire le qualificatif — de « fils » ou de « fille ». »

Elle ajoute : « nom et possession d’état sont des concepts souvent étrangers l’un à l’autre, puisque le premier obéit à des règles juridiques de transmission dépendant d’une filiation légalement établie, alors que le second correspond à une situation de fait, à la réalité quotidienne des rapports de famille ».

Quoique traditionnellement placé en premier, le droit français a reconnu le caractère subsidiaire du nomen en le plaçant, par la réforme opérée par l’ordonnance du 4 juillet 2005, comme le dernier élément de l’énoncé dans l’article 311-1 du Code civil.

Romley dit que le système s’insère entre les deux, entre le Prénom et le Surnom; donc en romain, ce qui se trouve entre le « praenomen » et le « cognomen« , c’est le « nomen« … qui d’après la définition ci-dessus de débiteur et le statut par rapport au Code civile à bien l’air d’être le problème et la signification de débiteur dont Romley Stewart parle….donc l’inverse ! Difficile de savoir ce qu’il a trouvé… donc à suivre. Il y a une histoire de Capitus Diminutio ou Mort CivileCapitis Diminution par le Black’s Law:

« En droit romain, une diminution ou un raccourcissement de la personnalité était une perte ou une restriction de l’état ou de l’ensemble des attributs et des qualifications juridiques d’un homme-citoyen, à la suite de certains changements dans son état civil. Il était de trois types, énumérés comme suit : Capitis diminutio maxima: la perte de statut la plus élevée ou la plus complète. C’est ce qui s’est produit lorsque la condition d’un homme est passée d’une condition de liberté à une condition d’esclavage, lorsqu’il est devenu un esclave. Il a balayé avec lui tous les droits de citoyenneté et tous les droits de la famille. Capitis diminutio media: Une perte de statut moindre ou moyenne. Cela s’est produit lorsqu’un homme a perdu ses droits de citoyenneté, mais sans perdre sa liberté. Elle a également porté atteinte aux droits de la famille. Capitis diminutio minima: Carreau le plus bas ou le moins complet degré de perte de statut. C’est ce qui s’est produit lorsque les seules relations familiales d’un homme ont été modifiées. Il s’agissait de l’arrogance d’une personne qui avait été son propre maître (sui juris) ou de l’émancipation d’une personne (émancipation signifie passer l’esclave à citoyen-esclave, voir cette vidéo, la Plantation de Mr Jones) qui avait été sous la patria potestas (puissance paternelle/patrie-lle). Il n’a pas modifié les droits à la liberté et à la citoyenneté. Voir Inst. 1, 1G, pr ; 1, 2, 3 ; Dig. 4, 5, 11 ; Mackeld. Rom. Droit ».

=== insert Nicolas K ===

La diminution du statut par l’utilisation de la capitalisation: Diminutio. Lat. En droit civil. Diminution; un prélèvement; la perte ou la dépravation.

Capite. – Lat. Par la tête.

Une diminution de la personnalité ou la réduction (diminutio), la réduction du statut ou un agrégat d’un homme d’attributs juridiques et des qualifications (capite).

Capitis diminutio Minima
(ce qui signifie une perte minimum de statut par l’utilisation de la capitalisation, par exemple John Doe)
– Le degré le plus bas ou moins complète de la perte de statut.  Ce produit là où seuls ont changé les relations de la famille d’un homme. Il est arrivé sur la arrogation [fierté] d’une personne qui avait été son propre maître, (sui juris,) [de son propre droit, et non en vertu d’une incapacité juridique] ou sur l’émancipation de celui qui avait été sous la patria potestas. [Autorité parentale] Il a laissé les droits de la liberté et de la citoyenneté inchangée. Voir Inst. 1, 16, pr .; 1, 2, 3; Creuser. 4, 5, 11; Mackeld. Rom.Law, 144.

Capitis diminutio médias
(ce qui signifie une perte moyenne de statut par l’utilisation de la capitalisation, par exemple John DOE)
– Un bailleur ou la perte moyenne de statut. Ce produit là où un homme perd ses droits de citoyenneté, mais sans perdre sa liberté. Il transporta aussi les droits de la famille.

Capitis diminutio Maxima (ce qui signifie une perte maximale de statut par l’utilisation de la capitalisation, par exemple JOHN DOE) – La perte la plus élevée ou la plus complète de la situation. Cela se produisait lorsque l’état d’un homme a été changé d’une liberté à de l’esclavage, quand il est devenu esclave. Il a balayé avec elle tous les droits de citoyenneté et tous les droits de la famille.

Source: http://www.citizensolidarity.com/freeman.html

On tombe sur la traduction « changement d’état » en lieu et place pour « Capitis deminutione« …

Les lettres capitales, le dog latin, la dégradation du latin servait à mentionner QUI a perdu « sa tête » et est devenu esclave on utilise un langage dégradé pour des gens dégradés… avec plusieurs niveaux de dégradation…

Et je suppose qu’ensuite c’est l’inverse qui s’est produit. Les mots ne servaient plus à référer et inventorier les « devenus esclaves » mais plutôt à les créer dès la naissance. Je suppose donc qu’avant c’était la réalité qui faisait le droit et qu’ensuite c’est le droit qui a fait la réalité. Il s’est passé exactement le même renversement de valeur pour la monnaie…

Comme le Dictionnaire de droit explique, la capitalisation totale des lettres de son nom naturel, se traduit par une diminution ou une perte complète de statut juridique ou la citoyenneté, dans laquelle on devient en fait un esclave ou un objet de l’inventaire. La méthode par laquelle l’État fait une personne physique de se « volontaire » dans l’esclavage, est par la formation juridique jonction, implicite ou explicite, avec l’entité ou de la fiction juridique (nom MAJUSCULES) avec l’Homme. Bien sûr, la plupart des personnes physiques ne feraient pas volontiers un tel illégale mais juridiquement jonction réductionniste, si la ruse et faux-fuyants sont utilisés; et cela commence lorsque nos certificats de naissance sont créés.

=== fin ===

Le Nom en droit, dans la section anthroponymie fait bien correspondre Nom à nomen et Surnom à cognomen, ce dernier étant un sobriquet donc pas le vrai Surnom qui vient du coup Sur le Nom… Mais où se situe alors le prénom romain ?

Sur cette définition, il semble que cognomen se glisse entre le prénom et le nom ? Quand voit le nom romain, cela se passe aussi, du coup le « SURNOM », avant le « Nom », passerait pour le cognomen s’immisçant ainsi comme le décrit Romley, le Surnom est le cognomen alors qu’en faite c’est notre Nom de famille qui est le nomen, une tromperie?

Écoutez Romley en parler :

Quels code, manuel, grammaire ou orthographe sont utilisés?
traduction de l’article 11:147 du Chicago Manual of Styles

Apparemment en anglais, la Glose, Gloss et Glossa est dans le Blacks Law dictionary, ainsi que dans le Chicago Manual of Styles article 11:147; donc c’est le Code justinien.  Voir aussi la section « À Propos« , mais il reste encore à amasser des infos sur ce sujet. Par exemple avec le Portail du Droit français! Alors que c’est les règles de grammaire et d’orthographe française qui doivent être employées, car on peut les comprendre, alors que la Glose est un langage incompréhensible.

latin de cuisine et tromperie
Comparaison de textes presque similaires mais écrits dans deux langues différentes mais qu’on pense identiques

En aparté:

La Trinité:

C’est ce qui s’appelle la Sainte Trinité (Holy Trinity en anglais),
le père, le fils et le Saint-Esprit:
Le titre, le surnom, le prénom.
Le maître, l’esclave, l’affranchi.
Le propriétaire, le débiteur, le créditeur.

Le Titre « M. » Militaire, le père, le pouvoir, l’administrateur qui engendre la vie, du SURNOM, le fils, le débiteur du père, la patrie, il lui doit reconnaissance à celui qui lui à donner vie (son acte de naissance, mais pas l’Existence), il doit être bon patriote, et doit (devoir) même se donner la mort au combat s’il le faut (faux). Il doit le respect à son père qui détient le pouvoir sur l’enfant, il doit lui obéir, il en est même de tout les sacrifices que le père fait pour lui, il est endetté, et devient donc le débiteur du Père (de L’État donc de l’ÉTAT).

Le fils, c’est le Verbe, la parole, le Marketing, langage du latin de cuisine, qui jou(t)e et crée des mots, des phrases symboliques et des logos (signifiant Jésus Christ, donc le fils de Dieu, chrétien: oindre, ) (un jeu de lego de mots, la raison du monde) pour tromper la vérité, et divertir l’attention.

Le Saint-Esprit qui apparemment sign-i-fie: avocat, intercesseur (Cessant/Cédant, Cessation de Pouvoir (voir la déclinaison de l’étymologie super intéressante), Grantor of Dominion, G.O.D donc D.I.E.U), il est l’esprit et le souffle de D.I.E.U, c’est le vrai pouvoir de l’être vivant, c’est lui le vrai Dieu. C’est le seul à « Être » vraiment crédible, le seul à Être vrai, à avoir du Crédit, et comme le dit Romley, le prénom/nomen c’est le créditeur, créateur de la vrai Existence, la sienne, sur laquelle il a tout pouvoir (enfin devrait avoir), son seul maître (m’être, aime-être). Il a le droit inaliénable sur sa vie et l’accès gratuit à la Terre, la Mer, le Ciel et la Nourriture. C’est pour cela que Romley & Co mentionne les codes bibliques et notamment la genèse 1:26.

Mais l’homme vivant a été trompé à penser qu’il devait payer, et il en est mort. Il a oublié la vérité après des millénaires de conditionnement à l’esclavage et du fait qu’on lui a toujours occulté la con-naissance (bien-naissance) du latin de cuisine. La TROMPERIE. Le prénom, le seul titre qu’on ne lui ai jamais donné, par ses vrais parents, est de droit divin, la signification de sa propre souveraineté Royale et donc bien réel et non plus imaginaire.

 Voila c’est le Complexe Militaro-Industriel d’Oedipe… (le complexe trio: Titre-SURNOM/LOGO/CORPORATION-prénom royal) de la langue du Serpent, donc il faut apprendre le latin de cuisine mais aussi le langage des oiseaux… lire entre les lignes, reprendre son pouvoir inaliénable sur l’Existence, la nôtre… DIEU, dei, divinité E-I, je suis divin et unique, je suis D.I.E.U.

Larousse étymologie:

p207: Dieu: a servi à designer   (dé-signer, enlever le signe, comprendre le signe? éclaircir par la lumière car dieu est aussi le soleil)

p272: Être, I-E i-es, je suis, esse….essence….

p507: Père: Papa, pape, pope, pater, parent, le propriétaire des biens, piter, patronus: ancien maître d’esclave affranchi, patronage, un patron; patria, patriote, patronyme (nom de famille/surnom), parrain (mafia), Divus: dieu, divinité, DIEU: Divus E-I donc D-E-I, je suis divin (dico éthymo et gaffiot). je suis divin et unique, je suis D.I.E.U.

Fils: filius…enfant

p593: Saint: sacré, sacrifié, sanctio: punir, sanctifier, sainteté, consacrer. serment (serf-ment), sacramentum: assermenter, sanctuaire, fameux, extraordinaire, un sacre (royal), sacrifier, sacrifice, consécration.

Masque: premier sens représente le démon! mascotte, masco: sorcière.
Démon: faux dieu, être infernal.
Milice: d’origine obscure, être soldat.
Militaire: Militant: à propos de l’église, militare: soldat, combat, service militaire, servitude militaire, de la guerre.

p627: Esprit: Soupirer, spirare, souffle vital, âme, Saint-Esprit, spirit, de l’esprit immatériel,

p106: Cesser: concéder, mourir, accéder, décéder, excéder, procédure, procès, succéder, accès, cessionnaire, excessif, , procession, récession, succès…

Je pense qu’il y a tout une recherche à faire sur la Trinité et la grammaire: Sujet, Verbe, Objet, et le Trivium: regroupant la grammaire, la rhétorique et la dialectique. Par exemple, le sujet, le pronom (je, tu, il) de-signe une « personne » ou un objet inanimé (mort), il remplace un nom (définition Bescherelle). Au commencement était le verbe, dans la représentation graphique Bescherelle, il est au centre du cercle avec le sujet et l’objet gravitant autour étant opposés…le verbe est l’action, la vie, l’existence, le vrai pouvoir (le prénom?). le sujet est assujetti…(voir 392, 426, 454, 480 pour des pistes).

A noter que la langue de bois et d’origine russe, la langue de chêne, donc des chaînes! de l’esclavagisme! et la TV composée de chaînes est un belle instrument de manipulation et de programmation à l’esclavage consenti…

La trinité, c’est « le Bon, la Brute et le Truand » mais comme nous sommes au pays d’Orwell, cela est inversé (maître, esclave/débiteur, affranchi/créditeur) devient « le Truand, la BRUTE et le Bon »!

Les rôles sont inversés dans cette fausse pièce (ou billets ou documents) de théâtre…le vrai créditeur, c’est nous, le travailleur qui produisons la monnaie, la valeur, la création, etc… mais par la magie du truchement du dialogue, on est l’endette! Et la Banque devient le créditeur, donneur de crédit! Mais pour ses propres besoins trompeurs, elle peut aussi nous faire croire qu’elle est endettée et qu’il faut ‘sauver la banque de la faillite en la renflouant’! Pourquoi? Parce que l’argent fictif, l’attribution fictive des biens est passée aux maîtres! un coup de maître par une main de maître! Des voleurs très doués! Car l’argent n’est plus indexé sur l’or (lol contradiction dans les métaux!).

Jésus Christ est une trinité: je-suis-le centre, je suis divin! le Christ, c’est le Christos, la Croix, qui marque le X sur la carte, l’emplacement du Trésor! Vous voyez que tout cela est très complexe mais qu’il y a des ponts, des similarités, langue des oiseaux, langue de bois, latin de cuisine, français, anglais… quel mélange! quelle cuisine! quelle soupe de chaudron! Et surtout quelle recette! (pour les maîtres). Un peu de langue de vipère, un peu de langue de serpent, de bave de crapaud, de langue de pute, etc… l’addition va être salée! Et là, on pourrait partir sur le Graal, car la liberté suprême est le Graal!

Donc le logos J-C, revenons sur chrétien, signifiant « ouinter » passer de l’huile, on sait que Jésus guérissait en massant les pieds des gens, il leur « graisser la patte! », serait-ce un début de vérité et de signification lointaine d’une telle maxime?

La trinité doit correspondre aussi au drapeau, bleu-blanc-rouge et au couleur maçonnique donc à l’alchimie, rouge/vert-blanc-noir. Et aussi au ‘Liberté, Égalité, Fraternité’. Ici encore les choses doivent être inversées?

Le Trivium est ramené par certain sur le devant de la scène car il a été supprimé des enseignement (en-saignée, l’Éducation fait bien couler le sang!). C’est une super méthode, comme la méthode socratique de questionnement pour se protéger, se défendre et comprendre et se libérer.

Car le trivium: grammaire, rhétorique, dialectique apprend les rudiments de base des langues, il apprend à déchiffrer, d’ailleurs à déchiffrer chaque lettre car chaque lettre est un signe est à un sens oublié. Il est fascinant de voir l’Étymologie des mots, l’origine latine, pour aller plus dans les signes et la signification, il faut remonter au grec, à l’araméen et au babylonien car Romley/Rohan disent que le latin de cuisine est la langue de Babylone.

Comme chaque hiéroglyphe peut signifier une phrase ou plusieurs choses, et suivant le contexte, le même signe peut avoir une signification différentes. Par exemple en langage Akha, il simplifie les phrases, exemple: « je reviens du champ », donnera: « je-re-cha ». « je reviens du champ et j’ai planté du riz », donnera: « je-re-cha-pla-riz », et « je-re-cha-rec-riz » signifiera « je reviens du champ et j’ai récolté du riz ». Donc il est fascinant de voir la puissance des significations, les méthodes, le sens, derrière tout cela!

On dit: « Un esprit sain(t) dans un corps sain(t) » pour profit-er de la vie, mais c’est plutôt « le Saint-Esprit dans un corps (mort) saint » qui amène la vie de l’Existence vraie et réelle! Et qui insuffle la vie (l’existence, l’essence) au corps (mort).

Pour reprendre, l’histoire de royauté, Kate Middleton a été a-noblie par le mariage (marie, la mère, la mer, maritime), Romley a un truc sur la loi maritime mais on n’en sait pas plus, mais cela a avoir aussi avec l’au-delà et l’eau-delà et les voies maritimes, la navigation, le passage dans la mort. Dans ce cas là, on n’a peut-être le mariage qui anoblie (car noble est divin), il a certainement fait passé Kate MIDDLETON de la mort à la vie en devenant Princesse Catherine Elizabeth Duchesse de Cambridge… Il passe aussi par l’Église pour cela mais si celle-ci n’est pas Catholique, elle est toujours rattachée au VATICAN. Par le mariage église on rebaptise, on renomme, en tout cas dans ce cas ci, on redevient Royal! Leur fille a quand-même un acte de naissance donc un papier, de la pape-rasserie, assujetti au Pape et au VATICAN.

— Jackfruit —

Source : https://latromperieducodejustinien.wordpress.com/2016/11/03/la-tromperie-du-code-justinien/

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Car elle nous libère.

Namaste

L.


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2 Commentaires
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Abdelhafid
Abdelhafid
Sep 23, 2022 11:39 pm

bonjour ,
je découvre votre site depuis que je m intéresse a la fraude du nom légal donc , je donnerai mon avis un peu plus tard en temps voulu .
Merci pour votre compréhension .
Cordialement .

ymdougoud
Membre
ymdougoud
Sep 4, 2019 9:16 am

C’est ce qui semble regner sur une partie du monde en train de s’etendre à l’ensemble puisque de fait pratiquement tout le monde ( essaie ) de commu-Niquer l’autre ( l’alter , en l’alterant et en le niant – avec – est inutile il n’y a pas de reciprocité !)… Lire la suite »