La psilocybine, une substance que l’on trouve dans certains champignons “dits hallucinogènes”*, améliorerait rapidement et avec une grande ampleur les symptômes de la dépression grave. D’ici à imaginer une mise sur le marché ?**
La psilocybine, une substance que l’on trouve dans les champignons (dits “hallucinogènes”), entraîne une réduction rapide et importante des symptômes dans les formes de dépression sévère, atteste une nouvelle étude parue dans JAMA Psychiatry. « L’ampleur de l’effet que nous avons constaté est environ quatre fois plus élevée que ce que les essais cliniques ont montré pour les antidépresseurs traditionnels sur le marché », se réjouit Alan Davis, professeur de psychiatrie et de sciences du comportement à l’Université Johns-Hopkins et l’un des auteurs de l’étude.
Les effets prometteurs de la psilocybine sur les symptômes de la dépression
Les résultats ont été obtenus auprès de 24 patients qui ont présenté des symptômes dépressifs persistants pendant environ deux ans avant leur inscription à l’étude. Près des trois quarts des volontaires (71 %) ont observé une réduction de plus de 50 % des symptômes de la dépression après quatre semaines, indique l’étude. 54 % étaient ainsi considérés comme « en rémission » après un mois.
Même s’il ne s’agit là que d’une étude à très petite échelle et sans comparatif placebo, la psilocybine semble se confirmer comme traitement antidépresseur (voir notre précédent article ci-dessous) ou de l’anxiété. Cela fait d’ailleurs plus de 10 ans que l’on explore ses potentiels effets bénéfiques en psychiatrie. En 2017, une étude de l’Imperial College de Londres avait montré que ces champignons sacrés pouvaient « réinitialiser » le cerveau des patients dépressifs, en modifiant la connectivité et les flux sanguins. Quand on voit les réticences déclenchées par l’autorisation de cannabis thérapeutique, on se doute cependant que le chemin vers une mise sur le marché de la psilocybine va être long…
Les champignons pour combattre la dépression ?
Article de AFP Paris publié le 15/05/2016
La psilocybine, une substance contenue dans certains champignons, a donné de premiers résultats prometteurs sur une demi-douzaine de malades atteints de dépression résistant aux traitements.
« C’est la première fois que la psilocybine a été testée dans le traitement potentiel des dépressions majeures », souligne le docteur Robin Carhart-Harris, de l’Imperial College de Londres qui a dirigé cette étude publiée dans la revue britannique The Lancet Psychiatry.
La dépression est un problème majeur de santé publique qui touche des millions de personnes à travers le monde et qui, parfois, résiste aux traitements existants (médicaments antidépresseurs et psychothérapie). Selon les recherches, un patient sur cinq ne répond pas aux traitements actuels tandis que beaucoup de ceux qui voient leur état s’améliorer dans un premier temps font des rechutes par la suite.
Les chercheurs ont commencé à étudier la psilocybine, la substance active de certains champignons, dès les années 1950. En 2008, des scientifiques américains ont montré qu’elle entraînait des effets durables de bien-être psychique et de plénitude. Cela les a conduits à penser que l’hallucinogène* pourrait aider certains malades souffrant d’anxiété face à un cancer ou à une dépression.
Les chercheurs britanniques ont pour leur part testé la psilocybine sur 12 patients atteints de dépression modérée à sévère depuis plus de 15 ans en moyenne. Après un traitement de deux jours, les patients ont été suivis pendant trois mois. Selon eux, les effets psychédéliques ont été observés entre 30 et 60 minutes après la prise des gélules, avec un effet culminant deux à trois heures après. Une semaine plus tard, les 12 patients présentaient tous une amélioration et huit étaient en rémission. Au bout de trois mois, cinq étaient encore en rémission.
La psilocybine a-t-elle des effets thérapeutiques ?
Compte tenu du petit nombre de patients testés, les chercheurs avertissent qu’il ne faut pas tirer de conclusions « probantes » sur les effets thérapeutiques de la psilocybine mais que les recherches doivent se poursuivre.
Le professeur David Nutt, qui a participé à l’étude, souligne que l’hallucinogène « cible les récepteurs de la sérotonine, comme la plupart des antidépresseurs actuellement disponibles, mais qu’il possède une structure chimique très différente et qu’il agit plus rapidement que ceux-ci ».
Dans un commentaire joint à l’étude, le professeur Philip Cowen, de l’université d’Oxford, reconnaît que les résultats obtenus sur trois mois sont « prometteurs mais pas complètement convaincants ». Un autre spécialiste, Jonathan Flint, professeur de neurobiologie à l’université d’Oxford, estime de son côté qu’il est « impossible » d’affirmer à ce stade que la molécule est efficace sur la dépression.
—Note L. LSG—
*Concernant le terme “Hallucinogène”…
Ce terme fut inventé par les “mages noirs” qui contrôlent le troupeau d’humains (académie française ici en l’occurrence) pour dénigrer les effets de cette médecine sacrée en essayant de la faire passer pour une hallucination, une sorte de drogue… Ce qui est l’inverse de ce que sont ces champignons sacrés utilisés depuis la nuit des temps comme médecine sacrée ultra puissante quand celle-ci est utilisée dans un cadre sacré avec une intention sacrée et avec un Shaman ou une Shamanesse.
J’ai conduit des cérémonies shamaniques avec cette plante plus de 100 fois avec des groupes de 5 à 40 personnes et je témoigne ici que je n’ai jamais eu d’hallucinations mais que bien au contraire de profondes guérisons se sont produites.
Il ne faut pas confondre hallucinations et visions multidimensionnelles dues à l’ouverture du troisième œil !!!
**Concernant la soit disante mise sur le marché…
Ici on touche le nœud du problème pour l’industrie pharmaceutique. Cette médecine est tellement puissante et efficace qu’elle causera des milliards de pertes pour Big Pharma.
Quelle mise sur le marché ???@@@!!!
Ces champignons poussent par la grâce de Dieu GRATUITEMENT. Il suffit de les faire pousser chez soi, c’est facile, et quasiment gratuit si vous achetez les substrats déjà ensemencés de spores, et entièrement gratuit si vous récupérez des spores vous-même et faites votre propre substrat pour les faire pousser.
Vous pouvez en acheter pour démarrer vos propres cultures ici : https://www.zamnesia.fr/
Concernant les prescriptions et leur utilisation, c’est là aussi ou le bas blesse, c’est que c’est pas un médecin qui est en capacité de les prescrire mais un Shaman !!!
Un médecin ne sera jamais un Shaman, cela demande un profond et long travail spirituel sur soi avant.
Donc autant vous dire qu’il ne sert a rien d’attendre un Gouvernement, une industrie pharmaceutique ou un médecin pour vous aider… il faut aller voir un Shaman compétant pour ce type de médecine sacrée, et faire pousser votre propre médecine.
N’attendez rien d’eux, vous êtes un être Divin et SOUVERAIN.
Namaste
L.