HARARE, (Xinhua) — Des véhicules blindés ont bouclé le siège du pouvoir présidentiel au Zimbabwe et le bâtiment du Parlement dans la capitale Harare, alors que des hélicoptères survolaient le centre-ville après que l’armée a annoncé avoir pris le contrôle de toutes les institutions gouvernementales.
Note KundaLight: Les Etats-Unis, l’Arabie Saoudite et maintenant le Zimbabwe se sont lancés ouvertement dans l’inéluctable travail de purification qui permettra la naissance du Nouveau Monde.
La population reste calme, preuve que la transition continuera sans heurts, comme prévu, impactant profondément de ses bienfaits la totalité du territoire planétaire et ses habitants.
Comme prévu également ce processus se matérialise par les arrestations d’âmes fortement déconnectées du Coeur. Il convient de les soigner et non de les punir.
N’oublions jamais que c’est grâce à elles que le Choix Nous a été donné. Qu’elles reçoivent notre infinie Gratitude pour cela.
Le Choix étant effectué, elles peuvent désormais considérer leur mission d’éveil comme accomplie et s’aligner à l’Unité.
L’Europe semble à la traîne donc l’imminence d’heureux évènements ne fait aucun doute.
Quoi qu’il en soit, le monde causal prend le pas sur le monde mental. Irréversiblement et définitivement.
Inutile de résister plus longtemps. Les dés sont jetés 🙂 ❤
La police de la République du Zimbabwe n’était pas visible dans les rues, alors que des soldats contrôlaient la circulation. Selon des informations non confirmées, un certain nombre de ministres et quelques hauts responsables du parti au pouvoir ZANU-PF auraient été arrêtés.
Les soldats ont procédé à quelques contrôles d’identité, mais la situation restait calme, la population continuant à vivre normalement.
L’Organisation des Nations Unies a publié un avis de sécurité demandant à son personnel de travailler à domicile, tandis que certaines écoles ont été fermées et que certains étudiants n’ont pas pu passer leur examen final, notamment à l’Université du Zimbabwe.
Le personnel gouvernemental aurait été remplacé par des soldats au bureau des départs de l’aéroport international Robert Gabriel Mugabe.
Le chef d’état-major de l’armée de Terre, le général Sibusiso Moyo, est apparu tôt mercredi à la télévision nationale, déclarant que la position prise par l’armée depuis la publication lundi du communiqué du chef d’état-major de l’armée zimbabwéenne, le général Constantino Chiwenga, avait atteint « un autre niveau ».
Il a toutefois évité de préciser où se trouvait le président Mugabe.
Le chef de l’Etat a limogé la semaine dernière le vice-président Emerson Mnangawa, son allié politique depuis plus de 40 ans, pour « manque de loyauté » et « malhonnêteté ».
Le général Chiwenga avait publié lundi un communiqué appelant à un arrêt immédiat de la purge visant les hauts responsables du parti au pouvoir.
Le général Moyo a assuré mercredi aux Zimbabwéens et à la communauté internationale qu’il ne s’agissait pas d’un coup d’Etat militaire et que la situation retournerait bientôt à la normale.
« Ce que les Forces de défense zimbabwéennes sont en train de faire est de ramener le calme dans une situation politique, sociale et économique en train de dégénérer dans notre pays et qui, si rien n’est fait, pourrait se terminer en conflit violent », a-t-il souligné.
Toutes les permissions ont été annulées et les soldats ont reçu l’ordre de rentrer immédiatement dans leur caserne. Le général Moyo a par ailleurs demandé aux habitants de réduire leurs déplacements, tout en autorisant la poursuite des activités économiques et en exhortant les autres forces de sécurité à coopérer avec l’armée.
« Permettez-moi de préciser que nous voulons faire face à la menace à la sécurité humaine dans notre pays et que toute provocation sera traitée de manière appropriée », a-t-il averti.
La télévision d’Etat diffusait des chansons sur la guerre de libération mercredi matin, indiquant que l’armée était en charge de la société de diffusion nationale Zimbabwe Broadcasting Corporation
Le journal du gouvernement The Herald, qui n’avait pas diffusé mardi la déclaration du général Chiwenga, devrait préparer une édition spéciale pour mercredi.
Selon le général Moyo, la purge des hauts fonctionnaires menée par certains hauts membres du gouvernement sera arrêtée et le système judiciaire pourra faire son travail sans ingérence extérieure.
Partagé par: reseauinternational.net / KundaLight
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L’Afrique pays de souffrances infligées par les voleurs de richesses, pareil sur les terres des indiens d’Amériques et bien d’autres, les peuples qui souffrent d’un mal qui n’est pas le leur comprennent plus vite et finissent par passer a l’action, rien ne dure sauf le changement, chaque peuple a ses… Lire la suite »
Pendant ce temps Macron fait ses ordonnances …
Bizarrement, on a l’impression que pendant que certains se libèrent les autres sont de plus en plus fliqués…
Yes, très belle article. Une purge en douceur par l’armée du Zimbabwe qui anéanti des années de règne. Surtout pour un président de 93 ans! 😉
Ce n’est pas en france que ceci arrivera.
Lorsque que l’on écoute les propos de certains chefs d’Etat Major français.