Certains objets dont l’apparence, la dureté, la précision ou même l’esthétique peuvent apparaître totalement banales et parfaitement intégrés dans notre civilisation moderne, deviennent de véritables casse-tête pour nos scientifiques, lorsque leur datation est estimée à des milliers voire des millions d’années.

Ces objets découverts sur des sites archéologiques, dans des couches géologiques très anciennes, font exploser les frontières de la science et nous obligent à repenser l’histoire des civilisations.

L’Antikithera

L’un des plus éclatants exemples d’anomalie archéologique est ce mécanisme métallique très compliqué appelé “ordinateur d’Antikithera” découvert au large de la Grèce en 1900 dans une épave ayant sombré en 87 avant J.C.2

Composé d’un engrenage différentiel épicyclique à 30 roues dentées et de cadrans, ce dispositif cybernétique, l’un des plus compliqué au monde, ne fut breveté qu’en 1828 et incorporé dans des véhicules automobiles en 1896 ! (Léonard de Vinci avait néanmoins décrit une telle technique en 1575).

Pour certains, cet appareil a pu servir de planétarium, actionné par une chute d’eau. Le plus étonnant c’est qu’on ait découvert cet appareil dans un simple cargo, comme s’il s’agissait d’un dispositif normal à l’époque.

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Or, on ne retrouve aucune allusion à son sujet dans aucun ancien écrit de cette époque. Son origine reste une énigme.

Le poignard de Toutankhamon

Vous connaissez l’existence des deux petites momies à “grosse tête” trouvées dans la tombe de Toutankhamon (voir TOP SECRET n°16). Il est à jamais impossible de lever le doute sur leur nature véritable.

En effet les deux petites momies ont rapidement disparues et à ce jour elles demeurent introuvables. Il ne reste d’elles que les sarcophages. Quoi qu’il en soit, ces deux momies ne sont pas les seules anomalies trouvées à l’intérieur de ce fameux tombeau.

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Howard Carter et son équipe ont en effet découvert sur la momie du jeune Pharaon, deux poignards presque identiques : l’un d’apparat en or massif, et l’autre, sûrement beaucoup plus précieux, car unique en Égypte à l’époque, en fer “inoxydable” mesurant 32 cm de long.

Les égyptologues ont tout de suite été étonnés par l’apparence de la lame de ce poignard. À l’exception de
quelques points de rouille, celle-ci était intacte.

Elle semblait totalement propre et brillante comme de l’acier “inox”, en dépit d’un séjour de 3500 ans sous les bandelettes de la momie.

En 1989 Raymond Terrasse s’étonna en découvrant la lame brillante de cet objet dans une vitrine du musée du Caire. Le guide montrait le poignard aux touristes en affirmant qu’il était taillé dans une météorite ferreuse.

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Il existe effectivement dans le monde de nombreux exemples d’objets rituels réalisés dans ces pierres venues du ciel, et il est normal que les archéologues aient fait le rapprochement avec cette dague d’apparat.

Malgré tout, soyons sérieux, la sécheresse de l’air en Égypte ne peut en aucun cas expliquer le maintien exceptionnel de cette lame pendant 35 siècles.

Il faut savoir que les objets en météorites métalliques sont tout autant oxydables et parfois plus que les alliages de fer ordinaires !

En fait, et jusqu’à preuve du contraire, il n’existe pas dans la nature, à l’état brut, de fer qui soit capable de défier les siècles !

À ma connaissance, seul un acier “inox” pourrait y parvenir. On ne connaissait bien sûr pas le procédé de fabrication de l’inox au temps du règne de Toutankhamon !

Rappelons qu’à l’époque du jeune pharaon, les Egyptiens se servaient exclusivement de cuivre, de bronze et bien sûr d’or, métaux assez mous et faciles à façonner. Les outils et les armes en fer, ont commencé à être utilisés à partir de l’an 800 avant J.C.

Il est donc peu probable que les Égyptiens aient pu façonner cet objet eux-mêmes. En fait ce précieux et mystérieux poignard était sûrement un cadeau “royal”, pourvu d’une origine sans doute beaucoup plus ancienne.

A-t-on vérifié si l’objet émettait ou non des radiations ? L’a-t-on réellement analysé ?

Outre sa lame exceptionnelle, le poignard possède un manche dominé par un pommeau de cristal de roche, autre matériau rarissime qui ne peut être travaillé qu’à l’aide de diamants.

Ces deux particularités réunies font de ce poignard un exemplaire véritablement unique et étrange.

Exemples d’objets en météorites métalliques

Dans l’Himalaya le Phurbu est l’outil thérapeutique employé par le chaman, en vue de guérir une maladie physique ou psychique, ou d’exorciser les cas de possession.

Il est généralement en bois, mais il en existe en météorite ferreuse, remontant parfois au 10e siècle. PHURBU est un nom tibétain qui signifie “dague rituelle” ou “poignard rituel”.

Autre exemple, en Indonésie, à Bali, sur les hauteurs, une cérémonie appelée “Danse du Kriss”. Le Kriss est un poignard de grande valeur spirituelle dont la lame est faite de météorite ferreux (qui lui donne un aspect veiné très particulier).

Les danseurs miment l’attaque par le porteur du Kriss des dieux qui protègent leurs adversaires. Tous se mettent en transe au fur et à mesure de la danse.

Le pilier en fer d’Ashoka

En Inde, dans la cour d’un temple de New Dehli, le célèbre pilier en fer d’Ashoka, (7m de haut, 6 tonnes), ne rouille toujours pas depuis…15 siècles, malgré l’humidité extrême !

Il est à remarquer que le métal de beaucoup d’autels et d’objets de culte, en Inde et au Népal, jouissent d’une semblable et miraculeuse incorruptibilité.

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Le 18 juillet 2002, les métallurgistes de l’Institut Indien de Technologie de Kanpur ont annoncé qu’ils avaient percé le mystère ! Ce serait une fine couche de “misawite”, un composé de fer, d’oxygène et d’hydrogène qui protégerait le pilier de la rouille.

Elle se serait formée de façon naturelle dans les trois années qui suivirent l’érection du piler et ce film protecteur aurait poursuivi sa croissance pour atteindre son épaisseur actuelle de 1/20e de millimètre.

Cette protection se serait formée par catalyse grâce à la présence importante de Phosphore. Cette forte concentration étant elle-même le résultat de la fabrication du fer par les anciens indiens qui mélangeaient le minerai avec du charbon de bois.

Nanotechnologie

À partir de 1991, des expéditions scientifiques russes ont découvert dans l’Oural des objets métalliques, spiralés pour la plupart, dont la taille varie de 3 centimètres pour les plus gros à 3/1 000e de millimètre (3
microns), presque invisibles à l’oeil nu !

Des milliers de ces artefacts ont été trouvés sur les rives de plusieurs cours d’eau à des profondeurs de 3 à 12 m. Les plus gros de ces objets sont en cuivre, tandis que les plus petits sont en tungstène (point de fusion de 3410°c.) ou en molybdène (point de fusion de 2650°c.).

L’âge de ces objets est estimé entre 20 000 et 318 000 ans !

Il se pourrait que ces pièces parfaites proviennent de “nanomachines”, sortes de sondes chirurgicales employées en microchirurgie…

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L’Institut central d’investigation géologique et de prospection des métaux précieux non ferreux (Znigri), de Moscou a publié un rapport qui conclut : “Les données obtenues permettent d’envisager la possibilité d’une technologie d’origine extraterrestre”.

Conclusion

Il y a 5 ou 6000 ans, dans la région du lac Supérieur, au Canada, de mystérieux mineurs venus d’ailleurs ont extrait d’immense quantité de cuivre. Ils n’ont laissé aucune trace de leur passage ni de leur précieux butin.

La région en question : le Michigan Copper Country (péninsule Keweenaw et Isle Royale) a fourni au monde jusqu’au milieu du XXe siècle, d’énormes quantités de cuivre. Elles étaient connues depuis la découverte de l’Amérique.

Ce cuivre natif n’a pas besoin d’être affiné ; il peut être façonné directement. Cette mine composée de 5000 fosses dont certaines mesurent 12 m de long et 3 m de profondeur a produit pour de mystérieux mineurs non identifiés, la bagatelle de 45 à 225.000 tonnes de minerai.

Le chiffre le plus grand étant le plus probable. 45.000 tonnes représente déjà à lui seul beaucoup plus de
cuivre travaillé jamais utilisé dans les deux Amériques !

Les Indiens n’ayant aucune tradition se rapportant à ces mines ; aucun vestige d’habitations n’ayant été retrouvés, on est en droit de se poser des questions sur l’identité des véritables exploitants de cette mine.

On sait que ces mineurs primitifs représentaient une société hautement organisée employant beaucoup de main-d’oeuvre, or une telle société aussi avancée aurait dû laisser un témoignage ; il n’en est rien.

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L’extraction a pourtant duré plus d’un millier d’années et a nécessité au moins 10.000 hommes qui bien entendu vivaient selon toute logique, à proximité de la mine.

C’est à croire pourtant que ces ouvriers venaient d’ailleurs, en avion ou en hélicoptère, pour extraire le minerai, et qu’ils rentraient chez eux le soir à des milliers de kilomètres !

Reste à savoir s’ils faisaient ces kilomètres vers le haut ou vers le bas ? Grâce aux sondes ioniques qui analysent l’oxygène contenu dans les pierres et permettent de déterminer leur origine géographique, saurons-nous un jour, où, et sous quelle forme, se cache ce fameux cuivre ?

Grâce à ce procédé, on sait à présent d’où viennent par exemple les pierres insérées dans la couronne de Saint Louis : d’Autriche, d’Inde et -d’après certains auteurs- de…Colombie ! Et oui, décidément Colomb n’aurait pas été le premier à avoir découvert l’Amérique.

 

Source : Thierry Van de Leur/Top Secret N°18


Ma playlist de méditation que vous pouvez entendre aussi en cérémonie :
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3 Commentaires
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sami
Jan 28, 2016 9:35 pm
Benjamin
Jan 28, 2016 7:00 pm
Benjamin
Jan 28, 2016 6:57 pm

Je voit qu’en fait des recherches vous en faites pas des masses …. Toutankhamon est un faux tombeau , pourtant , c’est avec conviction qu’on nous raconte ici qu’il est en alliage spécial made in météorite …. Navrant .