Les armes scalaires sont les armes non conventionnelles les plus secrètes utilisées par les États Unis, l’Union Soviétique et la Chine. Ce sont des armes à énergie dirigée dont la technologie a été développée à partir des travaux de Nikola Tesla.
https://www.youtube.com/watch?v=DhoiCUElTX8&feature=youtu.be
Lisez cet incroyable document (datant du début des années 2000) , quelque fois un peu technique, mais bluffant …
Ce dossier présente les concepts de bases des armes électromagnétiques scalaires soviétiques, parmi les principaux types disponibles, ainsi que les preuves et les indices de leur utilisation largement répandue.
L’Electromagnétisme scalaire, c’est l’Electrogravitation
L’électromagnétisme scalaire est une extension de l’électromagnétisme (EM) actuelle qui inclut la gravitation. C’est une électrogravitation unifiée, et, ce qui est plus important, c’est une théorie unifiée. Ses bases ont été découvertes par Nikola Tesla.
Dans l’extension EM scalaire, l’énergie du champ EM peut être transformée en énergie de champ gravitationnel et vice et versa. Cette transformation peut être structurée et localisée, dans des zones ou objets spécifiques. Un tel passage contrôlé de l’électromagnétisme à la gravitation n’est pas possible dans l’EM normal ou la physique actuellement enseignée dans les manuels occidentaux.
Cependant des fragments et morceaux de cette théorie ont été éparpillés à travers la littérature de physique depuis quelques temps, mais aucun scientifique orthodoxe de l’Ouest ne semble avoir réalisé que ces portions anormales pouvaient être intégrées en une nouvelle physique étonnante. Des expérimentateurs non-orthodoxes, des inventeurs, et des scientifiques ont réalisés des découvertes dans cette arène depuis plusieurs décades, mais de nouveau personne n’a réalisé les implications exactes ou la manière précise dans laquelle leurs résultats pouvaient être combinés avec la physique électrique actuelle .
Fer-De-Lance
Une telle léthargie n’est certainement pas présente en Union Soviétique. Depuis au moins trois décennies, l’Union Soviétique a développé l’électrogravitation et l’a appliquée pour développer d’étranges nouvelles armes secrètes d’une capacité et d’une puissance incroyable. Ils ont poursuivi le plus grand programme de développement d’armes jamais lancé par aucune nation et, de manière efficace, ils l’ont tenu caché des yeux occidentaux indiscrets. J’ai appelé ce programme « Fer-De-Lance », d’après le serpent mortel d’Amérique du Sud du même nom
Le redouté fer-de-lance est un serpent d’une grande agilité dont l’effet de la morsure est létale.
Il dresse souvent une embuscade à sa proie infortunée, et frappe à l’improviste sans prévenir. Sa première frappe soudaine est habituellement mortelle à sa victime qui expire rapidement en se tordant de convulsions dans son agonie. Puisque le développement soviétique d’armes scalaires électromagnétiques a été prévu pour le même but, le nom semble approprié.
Un effort équivalent à environ sept projets Manhattan a été placé dans Fer-De-Lance par les soviétiques, et le programme a réussi presque au-delà de l’imagination. Les sinistres armes sont maintenant développées, déployées, et testées. L’embûche est complète ; Fer-De-Lance est enroulé et prêt à frapper.
Les armes « énergétiques » et « à énergie dirigée (DEWs) »
Le nom soviétique ordinaire pour ce type de science de l’armement est, « énergétiques ». A l’Ouest ce terme est habituellement associé aux armes à énergie dirigée conventionnelle (DEW) [Directed Energy Weapons] comme les armes à faisceaux de particules, lasers, systèmes d’énergie dirigée en radio-fréquences (RF), etc. Les Soviétiques ne limitent pas le terme de cette façon.
Les scientifiques occidentaux se sont uniquement familiarisés avec les armes à énergie dirigée où, des fragments, des masses, des photons, ou des particules, parcourent l’espace et entrent en contact avec la cible pour délivrer leurs effets. A partir de là, dans leur pensée, ils limitent le terme soviétique « énergétiques » aux types d’armes qu’eux mêmes comprennent — armes exotiques mais normales c’est-à-dire utilisant une énergie ou une masse traversant l’espace et allant impacter une cible.
Cependant il est possible de focaliser un potentiel afin que les effets d’une arme aillent au travers de l’espace-temps lui-même, de manière que masses et énergies « ne parcourent pas l’espace » entre l’émetteur et la cible. Au lieu de cela, les ondulations et les structures dans la fabrique de l’espace-temps lui-même sont manipulées pour se rencontrer et interférer à, et dans, l’espace temps local depuis une quelconque distance de la cible. Là, l’interférence de ces structures ondulatoires crée l’effet énergétique désiré (d’où le terme « énergétiques ») dans et à travers la cible elle-même, émergeant de l’espace-temps (du vide) dans lequel la cible est incorporée dans le lieu où elle se trouve à distance. « Énergétiques », comme les soviétiques l’utilise, se réfère à ces sinistres nouvelles armes, ainsi qu’aux plus banales DEW connues à l’ouest.
En conséquence de la découverte soviétique et de décennies de développement fébrile, des armes stratégiques monstrueuses insoupçonnées à l’ouest sont déjà dans les mains des Soviétiques. Un nœud coulant est lentement et fermement resserré sur nos gorges, et il est déjà la onzième heure.
Les Soviétiques ont planifié une supercherie.
Parallèlement à ce programme de développement super-secret, les Soviétiques ont développé et mis en oeuvre un plan de mystification pour dissimuler ces armes étonnantes, ainsi que leur nature, des regards occidentaux jusqu’à ce qu’il soit trop tard.
La mystification soviétique a si bien réussie que même lorsque les scientifiques occidentaux sont confrontés avec les tests réels de ces armes directement au dessus de leurs têtes, ils n’identifient pas l’arme de guerre ni la nature des effets produits.
Dès le début de janvier 1960, Nikita Khrouchtchev a annoncé le développement en Union Soviétique d’une nouvelle arme fantastique.
Le 10 avril 1963 l’une des premières nouvelles superarmes déployées opérationnellement a été utilisée pour détruire le sous-marin atomique U.S.S. Thresher en plongée, au large de la côte est des États-Unis.
Le jour suivant, le 11 avril 1963, la même superarme déployée a été utilisée dans un mode différent pour produire une explosion sous-marine géante dans l’océan sur la Fosse de Porto Rico à 160 kilomètres au nord de Porto Rico.
Au fil des années, différents avions ont subi des interférences ou ont été descendus par les essais de ces armes soviétiques. Un cas particulier concernait la perte mystérieuse de plusieurs F-111 dans le conflit du Vietnam. Au moins un équipage de F-111 descendu a été récupéré dans les échanges de prisonniers de guerre qui ont suivi.
Sur cet avion tous les systèmes électriques se sont trouvés en difficulté simultanément. Cela était probablement dû aux équipes soviétiques spéciales convertissant des systèmes radars de missile nord-vietnamien SA-2 au mode EM scalaire, et employant une interférence de « faisceau scalaire » pour produire des bruits EM parasites dans les systèmes électriques et électroniques de l’avion.
En fin avril/début mai 1985, l’armada entière des superarmes EM scalaires stratégiques soviétiques a été activée lors d’une célébration spéciale du 40ième anniversaire de la fin de la seconde guerre mondiale.
L’activation de cette armada (qui comprenait probablement plus de 100 armes géantes), couplée à 27 générateurs géants et un grand nombre de commandes et de contrôles de transmissions, ont été surveillés sur un système de détection avancée appartenant à Frank Golden.
Après le gigantesque exercice stratégique, qui a duré plusieurs jours, la plupart des armes et des sources d’énergie ont été désactivées pour se tenir prête à l’action.
Les lancements de la navette de la NASA ont fourni une opportunité de choix pour les tests soviétiques de ces superarmes en mode ABM dans la phase de lancement, là où un missile lancé peut être détecté et détruit peu de temps après le décollage [NDT : ABM pour anti-missile balistique]. Au début, les explosions de la pulsation électromagnétique (EMP) sur la trajectoire que la navette venait d’emprunter, ont été délibérément décalées dans le temps, pour empêcher en fait la destruction de la cible et éviter d’alerter les U.S.A. que quelque chose d’inhabituel était en train de se passer.
Le tir de navette du 26 novembre 1985 a vu un test particulièrement significatif dans ce domaine.
Dans ce cas, une très forte explosion ou « boum sonique » a eu lieu sur le site de lancement 12 minutes après le décollage de la navette, tandis que la navette était déjà au loin sur sa trajectoire prévue. Au moins deux lancements précédents de la navette avaient été utilisés comme pseudo-cibles, avec sur le pas de tir des boums décalés dans le temps qui retentissaient bien en arrière des véhicules.
Après que l’absence de réaction américaine à ces tests ait montré que les U.S.A. n’avaient encore aucune connaissances de cette nouvelle technologie et n’identifiaient même pas son emploi, les soviétiques ont apparemment décidés d’effectuer des tests où la cible serait réellement détruite.
Le 12 décembre 1985 la même arme soviétique testée contre les lancements de la navette de la NASA a délibérément interféré avec les contrôles d’un DC-8 Arrow décollant de la base Gander Air Force à Newfoundland. A une altitude de 30 mètres, l’avion transportant plus de 250 soldats américains et les membres de l’équipage civil, a perdu sa puissance et s’est écrasé au sol, tuant tout le monde à bord. Trois Canadiens témoins du crash ont été interviewés aux informations télévisées de la Canadian Broadcast Corporation le 8 avril 1986 à 22 heures. Aucune flamme ou fumée n’est sortie de l’avion avant sa chute et son crash. Cependant l’avion a été vu mystérieusement illuminé d’une lueur jaune.
Cela est la signature d’un obusier scalaire dans le mode « émergence EM continue », similaire à la manière dans laquelle les F-111 ont été descendus au Vietnam. En résumé, les systèmes électriques du DC-8 ont subi une interférence avec un bruit électromagnétique créé à travers l’espace-temps occupé par l’avion.
La charge puissante créée dans et autour de l’avion a aussi causé apparemment la perte des deux moteurs, l’un après l’autre. Avec ses contrôles inopérants et sa puissance considérablement réduite, l’avion est retombé au sol, encore dans sa configuration de décollage « nez en l’air, queue en bas », et s’est crashé et a brûlé. La « lueur jaune » était un halo électrique dû à l’acquisition d’une haute charge électrique par la paroi de l’appareil.
D’autres facteurs ont pu contribuer au crash en perturbant le décollage, la faiblesse de la maintenance des moteurs, le poids accru de l’avion dû à la glace et à la forte charge.
Jusqu’à présent personne n’a identifié la « lueur jaune » ou ce qu’elle implique, ou la possible connexion entre la perte de l’avion et le test soviétique précédent d’un système ABM en Phase de Lancement contre les tirs de navette américaines…
En septembre 1987, les deux derniers missiles Titan 34-D de l’Air Force mis à feux à la base de Vandenburg Air Force en Californie se sont désintégrés peu après le lancement. Le premier s’est désintégré le 28 août 1985 juste après le décollage. Cette perte a été attribuée a une panne d’une pompe de carburant haute puissance, provoquant une fuite massive de comburant et une fuite moindre de carburant. La seconde perte de Titan a eu lieu le 18 avril 1986 quand le missile s’est désintégré 5 secondes après le décollage. Son échec est encore sous investigation et aucune cause n’a été déterminée. Apparemment la navette et le Titan sont actuellement les seuls lanceurs viables pour le lancement des satellites américains « spy ». La perte de ces satellites sensitifs — si vraiment ils constituaient les charges utiles — n’aide pas mais peut être dommageable à notre capacité stratégique. Selon le Los Angeles Times (en 1986) l’unique rescapé, le satellite KH-11 a été lancé en décembre 1984 et, avec une espérance de vie de deux à trois ans, pourrait arrêter de fonctionner à la fin de cette année.
Pour le moment nous ne savons pas s’il a existé ou non une activité significative de la grille/réseau « Pivert » dans le voisinage du lancement du Titan en août 1985. Cependant, une activité significative a eu lieu manifestement dans le réseau avant le désastre du Titan du 18 avril et le jour même.
Le dimanche de Pâques 30 mars 1986, l’ingénieur Ron Cole a observé une interférence significative qui corrélait avec les mesures du Pivert soviétique. Le 18 avril, T.E. Bearden, peut-être le chef de recherche SEM aujourd’hui, a observé des traces d’un nuage radial sur Huntsville en Alabama et en a pris des photographies. Des rapports préliminaires de Thousand Oaks en Californie indique à nouveau une activité importante du réseau le 18 avril, le jour où le second Titan a explosé.
La seconde au moins de ces deux destructions de missiles peu après le décollage est suspicieuse, puisque le réseau était positivement actif à ce moment là. Il y a également une preuve claire de l’existence de systèmes ABM en Phase de Lancement, depuis le grand exercice scalaire d’avril/mai 1985. Donc la première explosion de Titan en août 1985 tombe dans la période soviétique « maintenant testons les contre les lanceurs américains ». La perte du second Titan suit les pertes hautement suspicieuses du DC-8 Arrow du 12 décembre et de Challenger du 28 janvier 1986. La même arme soviétique qui a détruit ces cibles peut aussi avoir détruit l’un ou les deux Titans incriminés.
Les Soviétiques furent capables également de manipuler significativement le climat sur l’Amérique du Nord depuis plus de dix ans sans être découvert. Ils ont testé une gamme fantastique d’armes de défense anti-missiles balistiques (ABM) depuis plus de deux décennies, et personne n’est plus avisé dans l’Ouest.$
Comme cela a été dit précédemment, avant la fin novembre 1985, au moins trois essais « tirs à blanc » soviétique d’un « système ABM en phase de lancement » contre les lancements réels de la navette américaine avaient été effectués directement sur Cap Canaveral lui-même et personne encore n’avait identifié ce qui se passait ou quelle sorte d’arme était en train d’être testée. Le 12 décembre, la destruction du DC-8 Arrow à Newfoundland n’à apporter aucun indice que les américains et les canadiens savaient quelque chose sur la nature de l’arme probablement employée.
Par conséquent, après un temps d’attente suffisant pour tester nos réactions (s’il y en avait), les soviétiques se sont préparés à détruire réellement une navette après son lancement…
la suite ici : http://voltair.free.fr/scalar/scalaire.htm
———note de stopmensonges.com———-
On retrouve parmi ces technologies sclalaires, le projet HAARP.
Namasté
La torture électronique existe-t’elle?
https://www.youtube.com/watch?v=JTNYzt-9hlU
LES RICAINS POURRISSE LA PLANETE AVEC LEURS ARMES SCALAIRES QUI DETRUI LES GENS..?TOUT CELA POUR FAIRE DE L’ARGENT..EXEMPLE LE PROJET..HAARP.?ET LES TORNADES EN AMERIQUE..?POURQUOI PERSONNE NE DENONCE CELA..?ET EN FRANCE LES TORNADES ET LES TSUNAMIS..EN HAITI…?ET AILLEURS DANS LE MONDE…??TOUT CELA NOUS DEGOUTE..TOUS SES POLITIQUES AMERICAINS QUI VEULENT DEVENIR LES… Lire la suite »
Bien vu le site Pierre Philo sur Youtube – http://www.youtube.com/user/PierrePhilo – est une mine d’info que j’ai découvert il y a plus d’un an.
Ouf, je me sens moins seul …
Merci.