Dans la vidéo suivante, un astrophysicien de la NASA présente un phénomène naturel dont il ne connaît pas la cause et que l’on retrouve reproduit dans un crops circle (dont la photo est mise en illustration de l’article). L’objet astronomique visible dans cette vidéo a fait l’objet d’un article précédent (« La 5e dimension et ses manifestations physiques : un défit scientifique »).

https://youtu.be/2yZoJvRXRek

L’objet figurant dans cette vidéo est similaire à ce qu’on pourrait nommer un « mirage gravitationnel 5d ». Ce phénomène qualifié de « naturel et fréquent » par ce scientifique (minutes 0:31 à 0:54) est une manifestation analogue observée sur Terre avec le phénomène des tornades. Observées en altitude, ces structures nuageuses sont des tourbillons essentiellement tridimensionnels (2 dimensions d’espace plus le temps). Ce que nous observons dans cette vidéo est l’équivalent des vortex nuageux terrestres, mais à 5 dimensions : les trois dimensions d’espace, le temps et le potentiel ϕ. Cette fluctuation erratique est par nature très momentanée et locale dans l’espace. Ceci se comprend en considérant les bases de la mécanique quantique usuelle mais étendue à un espace-temps 5d (relations d’incertitudes de Heisenberg à 5d). Elle ne peut exister que dans une portion restreinte de l’espace et pendant une durée limitée, c’est le sens de ces relations. La sphère noire visible qu’on nomme « ovni » est plus précisément un vortex assimilable à un trou noir, mais sans phénomène gravitationnel classique associé car il n’y a pas de masse en son centre. Le seul phénomène de type gravitationnel visible est la présence de ce que j’avais nommé dans le premier article consacré à cet objet des vortex cosmo-telluriques, vortex d’interactions s’appuyant sur les propriétés du potentiel ϕ (5d) dans le cas de corps astronomiques en rotation.

L’existence de tel phénomène révèle la nature 5d de notre soleil. Alors pourquoi ne l’a-t-on pas observé il y a des décennies ? Le réponse est à chercher dans une généralisation de ce que les Oummains ont décrit comme étant un phénomène de fluctuation entre notre univers et l’univers jumeau associé au nôtre (repris par le scientifique Jean-Pierre Petit), du nom de « fluctuations isodynamiques » du cosmos. Ce sont ces fluctuations qui permettent les voyages interstellaires en faisant passer un vaisseau spatial de notre univers à notre univers jumeaux où les distances sont plus courtes. C’est ce phénomène de fluctuations qui est à nouveau en jeu dans le cas de la sphère noire de la vidéo. Pour qu’un tel événement puisse avoir lieu, il faut une situation géométrique particulière qui se produit préférentiellement lors de la traversée de l’équateur galactique. Grande incertitude est synonyme de grande fluctuation. Des conditions de grandes incertitudes sont atteintes à l’équateur galactique dans le cadre d’une topologie (science qui étudie les propriétés géométriques) tétravalente, qui est une généralisation de la topologie classique. L’étude des propriétés des tangentes dans un tore en zone équatoriale mets en évidence que le point équatorial se caractérise par une indétermination de nature complexe (au sens mathématique) de leur orientation en logique tétravalente. Dans cette logique, les notions d’intérieur et d’extérieur d’une forme géométrique perdent leur caractère absolu. Nous avons déjà vu une situation similaire en 5e dimension dans l’article consacré à la fusion (« Principe de la fusion thermonucléaire contrôlée par variation locale du potentiel de confinement nucléaire ») où les notions de système physique ouvert et de système physique fermé perdaient également leurs caractères absolus. Dans cette généralisation de la topologie classique, aux fluctuations isodynamiques entre univers viennent se superposer des fluctuations topologiques complexes (fermées sur elles-mêmes, sphères noires), contrairement aux fluctuations isodynamiques qui sont ouvertes et permettent les voyages entre deux points de notre univers.

Cette sphère noire, bien que résultant des relations d’incertitudes de Heisenberg, constitue un réel événement physique. Fictif au sens de Heisenberg (ce n’est qu’une fluctuation momentanée et locale des propriétés de l’espace), ce phénomène tangible interagit également de façon physique avec le soleil par l’’intermédiaire des vortex cosmo-telluriques (propriété du potentiel ϕ).

Le mouvement visible d’éloignement de la sphère noire par rapport au soleil mettant fin au phénomène est due à la structure du soleil qui est fortement 5d dans sa périphérie proche (comportement disruptif de la matière exprimé par les éruptions solaires). A forte distance, le soleil peut, comme n’importe quel corps céleste « inerte » se décrire par l’espace-temps usuel (et approximatif) à 4 dimensions. La disparition de la sphère noire implique sa décroissance énergétique (c’est une fluctuation dont l’énergie doit revenir à zéro). Dans le cadre de la topologie, une décroissance d’énergie provoque une dégénérescence du nombre de dimensions de la sphère noire qui tend à se réduire à une structure géométrique moins dépendante des propriétés 5d de l’espace. Cette diminution de l’énergie du phénomène ne devient alors possible qu’en s’éloignant du soleil, dans une direction de l’espace où la physique peut se décrire approximativement en 4 dimensions. La diminution de l’énergie de la fluctuation s’effectue de façon très caractéristique selon une décroissance exponentielle, d’où l’accélération très élevée de la sphère par rapport au soleil.

L’observation de la dynamique de disparition des vortex cosmo-telluriques (de nature gravitationnel) montre une décroissance du nombre de vortex avec la diminution de l’énergie et l’augmentation de la distance. A la minute 1:11, nous pouvons observer 3 à 4 vortex principaux. Lorsque la sphère s’éloigne du soleil, à la minute 2:10, un seul vortex principal reste visible. On observe également que l’éclatement de ce dernier vortex induit une contre réaction sous la forme d’une onde de choc en provenance de la sphère dont l’impact est visible à la surface du soleil à l’endroit d’attachement du vortex qui a disparu (minute 2:11). Cette onde de choc peut être assimilée à la rupture d’une tension de surface spatio-temporelle liant la sphère noire au soleil, en considérant le potentiel ϕ comme un substrat (de nature subquantique) de la matière (tel que la théorie de l’éther l’envisageait). En faisant l’analogie avec une goutte que l’on essaie de prélever à la surface de l’eau, c’est lorsque cette goutte s’éloigne suffisamment que le tension de surface de l’eau subit une rupture : une certaine quantité d’eau retombe à la surface (le soleil) en même temps que la goutte devient sphérique.

La vidéo montre d’ailleurs la présence d’une seconde sphère noire (beaucoup plus évanescente) à gauche de la première qui est mise en évidence par un jet de plasma solaire entre 0:31 et 0:32, avec également la présence d’un vortex à peine visible en parallèle sur la gauche du pont de plasma solaire (en couleur claire sur les images). Le nombre de sphères noires possibles est fonction de la situation énergétique du soleil (notamment de sa position sur l’équateur galactique) : plus l’énergie de fluctuation globale sera élevée, plus le nombre de sphères sera grand. Une autre forme sombre manifestement non sphérique est d’ailleurs visible dès la minute 1:37 (notamment 1:39 et 1:48) en haut à gauche de l’écran. Cette forme évanescente indique que le niveau de fluctuation énergétique est moins élevé (et donc plus instable), car c’est la forme sphérique qui garantit une stabilité maximale dans le temps, c’est-à-dire la plus longue durée de vie pour une fluctuation. C’est dans le cas de la forme sphérique que le volume (ou l’énergie) contenu est maximal par rapport à la surface totale nécessaire pour enfermer un volume d’espace.

Dans d’autres vidéo disponibles sur internet, il y a une apparition nettement visible de ces sphères noires par paire de façon symétrique autour du disque solaire. Dans la nôtre, on devine effectivement une structure sphéroïdale sombre symétrique à notre sphère aux alentours de 2:11 qui est anormalement persistante, avec un phénomène singulier dans le plasma solaire entre le soleil et cette forme. On peut y apercevoir une microstructure sphérique noire semblant transiter dans le pont de plasma du côté de la sphère entre 2:09 et 2:12. Cette anomalie clairement sphérique (énergie élevée) se situant visiblement au centre de la structure sphéroïdale sombre, les images montrent que nous sommes en présence d’une superposition de deux sphères emboîtées l’une dans l’autre et constituant une unique structure. Il est possible d’interpréter cette petite sphère noire comme l’entrée d’un pont 5d (analogue à un trou de vers dans l’espace-temps de la relativité générale) dont la sortie est la grande forme sphéroïdale en cours de formation. Lorsque l’énergie est suffisante, cette forme devient une sphère noire parfaitement circulaire. L’analogie est alors nette avec un trou noir (au sens de Jean-Pierre Petit) où la petite microstructure est une singularité stabilisée du trou et la forme sphéroïdale le corps du trou noir. Dans notre cas, cette singularité ne représente pas le passage vers notre univers jumeau mais vers une autre structure géométrique (topologie tétravalente). Cette superposition visible de la singularité et de l’autre extrémité du pont est possible par le fait que la formation de ce pont ne dépend pas de notre temps physique, contrairement au cas du trou noir classique, mais d’un autre temps caractéristique de la géométrie qui les engendrent par fluctuations.

Le phénomène montré dans cette vidéo n’a pas d’explication selon la NASA. Ceci montre l’écart de niveau scientifique entre les black programs (connaissances issues de certaines civilisations exobiologiques) et la science officielle. L’équation de l’article « Introduction à un espace à 5 dimensions et dangers des hautes énergies » montre la possibilité d’obtenir des solutions où le potentiel et la masse acquiert des valeurs complexes. La partie complexe de l’inertie (dont la masse d’une particule matière est un cas particulier) est directement à mettre en lien avec la topologie tétravalente (et les fluctuations associées) utilisée pour décrire le phénomène analysé ici, la partie réelle permettant de décrire les propriétés physiques de la masse ordinaire (positive ou négative) lors des transferts hyperspatiaux entre univers jumeaux.

La structure de notre étoile est décrite par une physique 5d (voir article « La 5e dimension et l’être humain : une autre physique »). Toute physique de 5e dimension peut aussi servir de base au développement de véhicule interstellaire intégrant naturellement la possibilité de traverser une étoile. Dans la vidéo suivante, le véhicule spatial est une boule de plasma blanche. Il reproduit dans son entourage (à des milliers de kilomètres) les mêmes conditions de température que celles du soleil, à l’intérieur de l’étoile comme à l’extérieur (couronne solaire, avec plusieurs millions de degrés). De tels objets entourés de plasma sont aussi mentionnés dans l’article « La 5e dimension et l’être humain : une autre physique ». La vidéo suivante montre l’objet sortant du soleil :

https://youtu.be/MGfkNBcQ72w

La technologie utilisée par ce vaisseau exploite une physique 5d pour se déplacer. L’apparition de ces sphères est décrite par une théorie équivalente aux fluctuations isodynamiques des Oummains mais plus générale, qui inclue la topologie tétravalente. L’étude des fluctuations isodynamiques est celle des relations géométriques entre notre univers et l’univers jumeau du nôtre. Nos connaissances dans ce domaine sont contenues dans la théorie de Jean-Pierre Petit qui utilise une physique à 4 dimensions pour définir un cadre général pour ces fluctuations isodynamiques, par la théorie de la relativité générale d’Albert Einstein mais étendue à deux univers. La 5e dimension ne représente que l’épaisseur géométrique qui existe entre ces deux univers. Dans ce sens, pour pouvoir être visibles, toutes les fluctuations dues à la topologie de l’espace doivent de façon générale s’exprimer dans la 5e dimension de l’espace de l’univers dans lequel se situe l’observateur, même si ces phénomènes font appel à des dimensions spatiales supplémentaires. En résumé, que ce soient les trous noirs classiques dont l’existence est admise par tous les astrophysiciens ou les sphères noires solaires, la 5e dimension intervient dans la description visible des phénomènes, bien qu’elle ne soit pas à l’origine de leurs apparitions.

Pour illustrer la notion de topologie tétravalente, la vidéo du mathématicien Eddie Woo nous révèle une contradiction que les mathématiques standard évitent en affirmant que dans le cas où un calcul mène à deux valeurs numériques opposées (voir vidéo), on doit admettre qu’aucune des deux n’existent. En logique tétravalente, la contradiction est admise comme vraie et les deux valeurs opposées sont utilisables. Si ces deux valeurs représentent ce qu’on nomme les pentes des tangentes à un tore (comme la forme d’un donut) au point de son équateur, en ce point précis les pentes (verticales) sont de valeurs +ꚙ et -ꚙ simultanément (ꚙ étant le symbole d’un nombre infiniment grand). Les tangentes existent réellement car on peut les dessiner et sont strictement identiques, mais leurs pentes sont opposées… Conclusion : étant donné qu’on peut dessiner (sans difficulté) au point de l’équateur un équivalent géométrique des deux valeurs +ꚙ et -ꚙ citées dans la vidéo (qui sont les solutions du calcul de 1 divisé par 0) exprimées sous forme de deux pentes, il faut admettre que les mathématiques standard sont incomplètes car l’exemple du tore montre clairement que nous devons admettre comme vrai l’existence simultanée des deux valeurs opposées +ꚙ et -ꚙ comme résultat du calcul précis de 1/0. Cette contradiction a donc une réalité dans le sens qu’elle peut se représenter graphiquement. En définissant les pentes au point de l’équateur d’un tore par leurs orientations à l’aide des infinis (+ꚙ et -ꚙ), l’équateur se redéfinit comme un point géométrique « contradictoire » de l’extérieur du tore (topologie tétravalente).

https://youtu.be/J2z5uzqxJNU

C’est la superposition de ces infinis au point équatorial de notre galaxie (dont l’archétype géométrique est la forme toroïdale) qui est la cause racine de l’augmentation du chaos à tous les niveaux de notre réalité spirituelle et physique sur notre planète pendant sa traversée de l’équateur galactique. Symboliquement, spirituellement et physiquement, ce chaos se représente par un mélange des infinis +ꚙ et -ꚙ dans la région du passage de cet équateur.


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3 Commentaires
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Membre
cecchini
Jan 3, 2019 4:26 pm

Aux risques de ne plus revenir dans notre univers à 3 + 1 dimension ( le temps actuel )
L’Univers est insondable !

Membre
cecchini
Jan 3, 2019 4:18 pm

Grand Merci pour cette nouvelle ouverture de la Physique
reste à inventer l’Energie et les appareils permettant le voyage dans des univers spatiotemporels

Verité
Nov 28, 2018 5:40 pm

C’est bien c’est bien vous avez bien mélangé plein de mots savant dont vous n’avez aucune idée du sens.