Un système physique constitué de particules de matière peut être ouvert ou fermé. Deux particules en interaction gravitationnelle ou électromagnétique forment un système ouvert où le potentiel d’interaction varie en fonction de la distance entre elles. Le système est dit ouvert, par convention, parce qu’il est possible d’agir individuellement sur chacune des particules et d’en modifier ce potentiel par une action extérieure en déplaçant une des particules par exemple. Un système est dit fermé s’il n’y a pas de transfert de matière ou d’énergie entre les particules en interaction et l’extérieur. Dans le cas des interactions nucléaires, les noyaux atomiques forment des systèmes fermés. Faire varier significativement l’énergie potentielle des protons et des neutrons qui le compose peut se réaliser alors par une action indirecte. Dans ce cas, il est possible de modifier l’énergie potentielle de ces particules, non pas en faisant varier la distance entre elles (elles sont confinées dans le noyau), mais en agissant sur leur énergie totale qui inclut leur potentiel ϕ décrit dans le cadre d’un espace-temps à 5 dimensions.
La fusion thermonucléaire contrôlée pour la production d’énergie n’a pas pu être réalisée jusqu’à maintenant. Des phénomènes de dissipation de chaleur dans les plasmas à hautes températures ne permettent pas d’atteindre des conditions de réactions en chaîne autoentretenues. Ces fluctuations d’énergie thermique peuvent être contrôlées par une technologie basée sur une physique qui supprime ces pertes de chaleur.
Dans cette nouvelle physique, le photon possède une énergie potentielle en plus de son énergie E habituelle. Dans un cycle (thermodynamique) fermé où un photon voit son énergie varier sans échange de chaleur par un processus (dit adiabatique) conservant son énergie globale, son énergie E diminue et son énergie potentielle ϕ augmente. Des photons dans un tel état d’énergie, s’ils sont émis en direction des instabilités de plasma (engendrant les pertes thermiques), permettent de réguler le comportement de ce plasma pour que la chaleur (rayonnement thermique constitué de photons) produite lors des réactions de fusion servent à renouveler des réactions de fusion pour les noyaux voisins et entretenir ainsi une réaction en chaîne. Les nucléons (protons et neutrons) peuvent être considérés comme se mouvant librement à l’intérieur d’une « prison » d’énergie potentielle formant, vu de l’extérieur, le noyau. Ce noyau étant considéré comme un système fermé (sans pertes d’énergie), lorsque ces nucléons libres voient leur énergie totale augmenter par absorption de photons à haut potentiel ϕ, la barrière de potentiel doit obligatoirement diminuer par le principe même de la conservation de l’énergie totale d’un système fermé. Cette diminution facilite alors la fusion des noyaux qui s’entrechoquent et permet d’accéder aux conditions de réactions en chaîne.
La fusion aneutronique à très haute température devient possible par ce procédé. Seul cette absence de neutrons émis pendant les réactions de fusion assure que l’environnement aux alentours du réacteur ne devienne pas radioactif et ne génère pas de déchets.
Les investissements technologiques pour y parvenir demandent des moyens financiers incompatibles avec des industries militaires servant une logistique de pays en guerre.
J’ai l’impression que la physique quantique tout le monde en parle sans vraiment savoir ce que sait
Conseil: Pour ceux qui souhetent comprendre la physique quantique. Il faut lire la physique quantique de David Bohm. Pour aller plus loin( en toute direction), il y a un monsieur italien qui s’appelle Corrado Malanga. Ca fait une 30taine d’annees qu’il est sur le coup. A lire absolument!!! Son travail… Lire la suite »
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