Selon Boris Cyrulnik, comme pour A. Chauprade , le terrorisme est un moyen économe d’obtenir des résultats dans l’ingéniérie sociale et la fabrique du consentement, permettant d’obtenir des résultats militaires (crédits) tant à l’étranger que dans le pays lui même (état d’urgence ).
L’obéissance a des slogans, comme moteur d’action, annihile le discernement. L’époque actuelle l’inquiète par cette résurgence de la soumission aux ordres plutôt qu’à sa conscience, éternel débat des moments de crises et de légitimité des actions de l’État.
Sa connaissance personnelle de la “rafle sur dénonciation” rend plus que légitime la réflexion qu’il a mené pour éviter la reproduction de ces schémas comportementaux. Il n’a pas poussé la divulgation trop loin, pour rester partiellement dans les “clous”.
Nul doute qu’il poussera plus loin dès que l’opinion publique sera rodée, à travers les révoltes verbales diverses des stars du PAF du moment .