En 2016 le site de la Grande Loge de France et du Grand Orient de France (les 2 plus grandes loges maçonniques françaises) ont été piratées et des données privées contenues sur leur serveur ont été mises sur le net. Un utilisateur de stopmensonges.com me les a envoyées et j’en ai fait un article ou j’ai republié ces données qui étaient déjà accessible sur le net.
Le but de cet article était de souligner le problème récurrent en France de « La Double allégeance » dans le milieu judiciaire.
Car beaucoup de magistrats français font partie de la franc maçonnerie ce qui a pour effet dans certains procès ou des « frères franc-maçons » sont impliqués de discréditer la justice à cause de la « double allégeance » que cela entraine. Il est impossible en effet de rester partial avec 2 allégeances à des causes différentes et parfois totalement opposées.
Fait aussi relayé par des magistrats eux-meme : https://www.liberation.fr/societe/2000/03/23/le-juge-qui-denonce-les-pressions-maconniques_321123/
Il n’y à là aucune volonté de nuire mais simplement d’aider à une meilleure transparence de la justice.
Suite à la publication de mon article en 2016, de simple journaliste indépendant repostant ce qui était déjà sur le net, je me suis retrouvé accusé de piratage informatique par les 2 loges maçonniques (GODF et GLNDF), le FBI m’a interrogé sur cette affaire et n’a rien trouvé à redire. Quand j’ai été en France pour cette affaire fin 2018 j’ai rencontré la juge d’instruction « Sophie Mougenot », j’ai lu le dossier d’instruction qui clairement indiquait que je n’étais pas l’auteur du hacking, bien qu’alors encore l’accusation de hacking soit toujours dans la liste des plaintes accusatoires. Suite à mes échanges de courriers avec la juge d’instruction « Sophie Mougenot », celle-ci a retiré la plainte concernant le hacking, prouvant ainsi son intégrité en tant que juge d’instruction et validant aussi le fait que je n’en étais pas l’auteur du hacking. Cela n’a pas empêché la condamnation de l’entité juridique “Laurent Gouyneau” (que je ne suis pas) en 2020 à 4 mois de prison ferme et 8 mois de sursis.