Se nourrir de la récolte de son petit jardin urbain près de Rouen : c’est le défi réussi de Joseph Chauffrey. Un bel exemple à suivre
« La permaculture, c’est créer un jardin qui soit autonome, durable, harmonieux, résiliant, et qui demande le moins d’énergie possible pour fonctionner. »
Joseph n’utilise ni pesticide, ni engrais. Pour l’arrosage, il récupère l’eau de pluie, et pour nourrir les plantes, il prend le compost qu’il produit lui-même. Il utilise aussi de la paille pour limiter la fréquence des arrosages et éviter que l’eau ne coule sur la terrasse couverte.
Un potager de 25m2, à peine la moitié pour les arbres fruitiers, une petite serre et une mare, c’est le jardin extraordinaire de Joseph.
Plus de 150 variétés de fruits et légumes, parmi lesquelles on trouve : courges, courgettes, tomates, salades, bourrache, carottes et menthe.
« La haie n’est pas seulement un brise-vue, mais elle a aussi une fonction comestible avec les sureaux, de biodiversité car elle attire les oiseaux, et je récupère les branches pour faire les tuteurs… »
« Des alternatives sont possibles pour produire autrement, en quantité, localement, durablement et en améliorant la qualité des sols… »
« Mon plaisir, c’est passer du temps dans mon jardin, ramasser des légumes extra-frais et déguster des variétés qu’on ne trouve pas ailleurs ! »
N’oublions que le but de Joseph Chauffrey est de se nourrir en cultivant ses propres récoltes. Objectif atteint en ce qui concerne les légumes, pas encore pour les fruits, mais cela ne saurait tarder !
Si vous avez envie, vous aussi, de vous lancer dans l’aventure, vous trouverez dans cette vidéo tous les conseils de Joseph.
Le jardin de Joseph Chauffrey est vraiment un jardin extraordinaire : produire 300 kilos de légumes par an sur un espace aussi réduit est un vrai record ! Pourtant, ce qu’il faut retenir, ce n’est pas l’exploit, mais l’exemple. Un exemple dont on peut s’inspirer, chacun à sa mesure et selon ses propres moyens. Vous pourriez peut-être commencer en cultivant des plants de tomates. Voici la méthode.
Source : http://positivr.fr
(VIDEO) Vivre en Autarcie avec la Nature
Yves Gillen vit en autarcie depuis plus de quarante ans
https://alalumieredunouveaumonde.blogspot.com/2017/07/yves-gillen-vit-en-autarcie-depuis-plus.html
En effet c’est bien mais c’est pas couvert et soumis a la pollution urbaine et général.
Au moine il payeras moins de charge en nourriture (mais a quel prix sur la santé!)