Alice de la famille M P
Chez CDV
Chemin du Pré Neuf Le vingt-deux août deux-mille-vingt,
38350 La Mure
à Emmanuel de la famille Macron, l’être qui joue le rôle de Président de la Société République Française
Copies : à Jean de la famille Castex, l’être qui joue le rôle de Premier Ministre
à Jean-Michel de la famille Blanquer, l’être qui joue le rôle de Ministre de l’Éducation
Objet : Déclaration de protection absolue et inviolable de mes enfants
Je suis Alice, de la famille M P l’être humain biologique qui possède la personne juridique nommée ALICE M-P au numéro d’inscription 286117511244127. Je suis la mère de T, de la famille B et de M de la famille B. Cette présente déclaration pour cette rentrée et toutes celles à venir, fait suite à de nombreux courriers de ma part questionnant la légitimité de la loi du 26 juillet 2019 pour l’école de la confiance qui sont toujours restés sans aucune réponse légale satisfaisante de votre part. Je considère au bout d’une an que votre silence confirme mes hypothèses d’exercice abusif de pouvoir qui viole mon droit inaliénable à choisir pour mes enfants.
Je suis en âme et conscience une parcelle de l’Univers, sous les Lois duquel je me place uniquement. Les lois du système juridique ne s’appliquant qu’à ma personne juridique, je me saisis de mon droit à la représenter ou non pour choisir quand vivre en être humain libre et responsable d’après les Lois supérieures et immuables de la Vie prise ici à témoin.
Face au constat évident que malgré des apparences souvent trompeuses, la Société République Française (SIREN 100 000 017) ne vise pas le bien-être du peuple et encore moins des enfants, je mets fin ici à tous les contrats passés, actés ou tacites, qui pourraient donner à croire que je reconnais votre autorité concernant mes enfants. T et M ne vous appartiennent pas, je réserve tous mées droits les concernant et ne vous en abandonne aucun. Leur déclaration de naissance ne vaut pas accord pour contracter avec la Société République Française puisque mon consentement a été obtenu par manoeuvre, tromperie, chantage et menace. Mon consentement ne peut être obligatoire sans quoi la liberté n’existe plus.
Je reprends les textes au sommet de la hiérarchie des normes qui sont le Préambule de la Constitution avec la Déclaration des Droits de l’Homme, la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, la Convention Européenne des Droits de l’Homme auxquelles j’ajoute la Convention Internationale des Droits de l’Enfant, pour rappeler que les choix d’accompagnement des enfants reviennent absolument aux parents.
Soyez dûment et officiellement avisés que je réserve tous mes droits inaliénables et sacrés d’être humain de liberté, de propriété, de sûreté et de résistance à l’oppression. Toute violation de cette présente déclaration entraînera de lourdes conséquences pour tous les êtres ici nommés maintenant avisés qui agiraient à l’encontre de ma volonté explicite d’être humain souverain. Je reconnais une justice supérieure qui ne dépend pas de moi et qui nous concerne tous, vous y compris. Je me place sous ces mêmes lois pour me protéger et me juger. Je ne reconnais que l’équilibre d’une justice naturelle qui ne nécessite pas l’intervention d’une justice légale factice.
Je ne reconnais pas l’autorité de la Société République Française ni d’aucun des agents à son service concernant l’instruction de mes enfants, T et M, dont le Ministère de l’Éducation Nationale (SIREN 110 043 015)
Je ne consens à aucun contrôle de votre part qui est une violation de notre vie privée. Mes enfants sont et restent libres de grandir, d’évoluer et de s’épanouir mus par leur seul enthousiasme et curiosité. Étant responsable encore pour de nombreuses années de leur avenir, je refuse de déléguer mon pouvoir décisionnel de mère à une Société extérieure qui voudrait nous imposer ses contraintes d’une pensée uniforme. Au vu du temps majoritairement passé avec moi, je suis la première à décider, en accord avec leur père obtenu en second lieu. Aucun chantage ne pourra être tenté auprès de lui sans être inquiétés pour manoeuvre déloyale.
J’atteste à nouveau sur l’honneur du grand soin que je prends à l’accompagnement de mes enfants, dans le plus grand respect de leur individualité, de leurs potentiels, avec tout l’Amour d’une mère qui ne se croit pas supérieure à eux. S’il y avait mensonge en cet engagement, les Lois naturelles de la Vie se chargeraient de rendre justice. Je refuse de m’en remettre entre vos mains dangereuses qui répandent délibérément la peur et la fragilité si néfastes au bon développement de l’enfant.
Soyez donc dûment et officiellement avisés que je réitère donc mon refus de contrôle d’inspection, pour cette année et toutes les années à venir. Je refuse de me soumettre aux règles factices du Jeu légal qui n’obligent que ma personne juridique mais sûrement pas l’être humain que Je suis. J’use de mon pouvoir légitime de mère et refuse absolument de consentir à confier mes enfants à votre autorité. Théo et Maël rayonnent de Vie et d’Amour. Ils disposent également de leur propre protection. Je refuse de consentir à des manoeuvres à leur encontre qui viseraient à les affaiblir, les contrôler, les diminuer, les atteindre moralement, émotionnellement, psychologiquement, physiquement ou à nous diviser. Ils se sont placés sous ma protection terrestre en plus de toute celle lumineuse dont ils bénéficient déjà. Je refuse de consentir à une tentative de détournement de pouvoir qui m’empêcherait d’accomplir au mieux la mission qu’il m’a été donnée auprès d’eux en cette vie et que je m’emploie à accomplir au mieux, dans le respect des Principes de Vie.
Je refuse tout examen soi-disant médical de force pour évaluer la propagation d’un virus soi-disant si meurtrier. Je me saisis de mon droit à l’objection de conscience pour prévenir toute invasion de votre autorité dans notre vie privée qui ne répond en rien à vos valeurs imposées.
Je ne consens à aucun privation de ma liberté en sanction de cette proclamation, ni à aucune extorsion financière, d’un argent honnêtement perçu de mes activités d’être humain et qui me permettent de subvenir aux besoins de ma famille.
Je vous tiens pour responsable d’en informer les agents de la Société République Française qui pourraient être concernés.
En cas d’une éventuelle réponse de l’une de vos administrations, je vous demande officiellement d’adresser les courriers à moi, l’être humain que je suis : Alice de la famille M P, avec la dénomination claire de l’être ou la personne qui s’adresse à moi, dans une missive datée et signée.
Merci de votre attention
Coeurdialement
(Signature)
Alice : de la famille M P
L’être humain qui possède la personne juridique
Nommée ALICE M-P (Empreinte)