L’affaire dont il est question ici a valu à Gérard Deforge, ufologue enquêteur, l’honneur de figurer en citation dans le livre testament de l’astrophysicien français Pierre Guérin : “OVNI, Les mécanismes d’une désinformation“, paru en octobre 2000 chez Albin Michel.
Gérard Deforge a mené une des enquêtes les plus rigoureuses et des plus palpitantes de ces dernières années, rencontrant les témoins, et notamment le témoin principal, un monsieur d’une soixantaine d’années en retraite que nous appellerons M. D. afin de préserver sa tranquillité.
Il faut dire que l’homme a occupé des fonctions importantes : accrédité “Secret Défense“, organisant la sécurisation de sites stratégiques de commandement de l’armée française. Pour les lecteurs, Gérard s’est efforcé de rédiger une synthèse de toute cette affaire hors du commun.
Les faits
Sur la route
Avec d’autres amis de haut rang social, M.D se retrouve régulièrement pour chasser dans les bois de Haravilliers, dans le Val d’Oise. Ce 10 janvier 1998, deux amis l’accompagnent dans sa voiture : une Peugeot d’un modèle récent, encore sous garantie. Une autre voiture les suit, une Xantia, avec à son bord le conducteur et son chien de chasse.
Ces quatre personnes se dirigent vers leur rendez-vous de chasse habituel, sis au Ruel, commune de Haravilliers. Bien avant d’arriver sur le secteur du Ruel, M.D et ses deux compagnons voient comme une lueur aux couleurs multiformes au-dessus du bois, loin devant eux. Le ciel est étoilé. Il est 7h.
Il fait bien froid ce matin-là. M.D. aborde le dernier virage avant d’entrer dans le hameau du Ruel. Il se demande ce que peut bien être cette illumination festive, devant eux, au-dessus du bois dans lequel se perd la rue principale du Hameau.
Chez le garde-chasse
Au même moment, à deux kilomètres de là, le garde-chasse, qui participe à ce rendez-vous, sort de chez lui. Sa demeure surplombe un peu le bois situé au loin .
L’illumination qu’il voit au-dessus des arbres le surprend. Il enfourche son vélomoteur et s’apprête à partir. Mais à cet instant, il est survolé par un avion immense, volant à très basse altitude, 100 ou 200 mètres, pas plus. “C’était bien un avion”, me dit-il lors de notre rencontre.
Quelques minutes plus tard, alors qu’il n’est pas encore parti, l’homme voit passer au-dessus de lui un objet rond, fortement éclairé par trois lumières colorées. Tous les témoins décriront les mêmes couleurs : vert, rouge, jaune.
J’aurais bien voulu revoir ce témoin, décédé depuis. J’avoue ne pas l’avoir pris au sérieux sur le coup, mais les récits que j’ai lus depuis, et notamment l’affaire de “Point Pleasant“, par John Keel, m’ont fait comprendre que ce type de témoignage n’est pas unique.
La carte de Haravilliers dans le Val d’Oise. La direction indique le déplacement de l’engin
Sur le lieu du rendez-vous
Sur le parking du rendez-vous, attend un autre participant, très lié à M.D. Il attend son ami, au chaud, assis dans sa Mercedes à toit ouvrant. Il n’y a pas de brouillard, pas de brume ce matin-là.
Ce monsieur, que nous appellerons M.K., va entendre une espèce de ronronnement sourd, un bruissement d’air, quelque chose d’indéfinissable. Il lève les yeux. Un immense objet opaque défile au-dessus de lui, masquant les étoiles.
Tout à coup, un faisceau de rais de lumières perpendiculaires atteint et enveloppe sa voiture. Ce sont des rayons de lumière très particuliers. Ils sont discontinus, forment comme des gouttes ou des galettes de lumière indépendantes les unes d’autres.
Cela produit effectivement des taches aux contours bien nets qui circulent sur sa voiture, éclairent l’intérieur par le toit ouvrant transparent. M.K., le témoin à la Mercedes, aperçoit maintenant comme des guirlandes de lumière sous l’objet. Cet objet, il le voit d’une forme circulaire, d’une bonne quarantaine de mètres de diamètre.
Le parking étant en haut du chemin, cette immense masse progresse devant lui à la vitesse d’un homme au pas, il la voit plonger doucement vers le sol, et il a juste le temps de se dire -voyant comme un rideau noir s’abaisser devant lui- que cet objet va se crasher. M.K perd alors la conscience des choses.
Dans la voiture de M.D.
Pendant ce temps, M.D. et ses amis arrivent à la sortie du dernier virage. Ils vont entrer dans le bourg. Je rappelle que deux voitures se suivent. Tout à coup, la “chose” leur apparaît dans toute sa splendeur, si je puis m’exprimer ainsi. C’est une débauche de lumières. Des lumières qui n’éclairent pas le paysage.
Un énorme disque, (40, 50m de diamètre), immobile, à quinze ou vingt mètres au-dessus du sol, en suspension dans l’air. Pas un bruit. La formation technique de M.D. lui permet d’enregistrer une foule de détails précis, avec des évaluations de mesures instantanées.
Il baisse la vitre gauche pour mieux examiner le phénomène…les trois couleurs, les rampes d’éclairage de 5m x 5m, et tout le reste, qui lui permettront de produire des représentations précises de l’objet. La voiture avance doucement en direction de ce pinceau de lumière blanche…
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Deux phénomènes étranges
Sur la trajectoire supposée de l’engin, deux phénomènes étranges dûment vérifiés vont se produire. Je subodore qu’une dizaine d’autres phénomènes non répertoriés vont se dérouler sur la trajectoire de la chose. Toutefois, pour des raisons impératives de discrétion, contentons-nous d’évoquer les deux phénomènes avérés.
1/ Tout d’abord, le long de cette rue qui traverse le village, habite une importante personnalité. Ce personnage est connu pour être un travailleur acharné qui se lève toujours très tôt. C’est un cadre supérieur d’industrie.
Le matin de l’évènement, il a un important rendez-vous, à 10 H, pour une réception organisée en son honneur, où sont conviées de nombreuses autres personnalités. Or, ce matin-là, il va dormir à poings fermés et arrivera très en retard à ce rendez-vous, sans jamais avoir compris pourquoi ni comment une telle chose a pu lui arriver.
2/ Un proche collaborateur de cette personne va aussi vivre indirectement une expérience beaucoup plus redoutable, par le truchement de sa petite fille. Inutile de vous dire que la maison de cette personne se trouve aussi sur la trajectoire de ce qu’on peut appeler l’engin, mais sans certitude quant à sa véritable nature.
Ce collaborateur, cadre commercial, et sa ravissante épouse, ont une adorable petite fille, âgée de 2 ans, à l’époque. Je signale au passage que ce papa se souvient d’autant mieux de la date du 10 janvier que c’est la date de son anniversaire, à 7 H 30, précisément.
N’ayant nullement connaissance de ce que vivent au même moment nos chasseurs, la petite fille du couple, jusque là douce et équilibrée, va être prise de terreurs nocturnes frisant l’hystérie. Il en sera ainsi les nuits suivantes. La maman, pour la calmer, ira même chercher dans l’armoire un petit jouet mécanique que la petite fille adore : il s’anime et lance des petits éclairs multicolores.
Mais rien à faire, les cris de l’enfant redoubleront et elle continuera de regarder avec effroi vers la fenêtre. Les parents devront faire appel au médecin et il faudra plusieurs mois avant que la petite fille retrouve un sommeil normal.
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Des pensées rapides traversent l’esprit de M.D. : cet engin est énorme ; il doit peser des centaines de tonnes ; il est au “parking” ; et sa puissance doit être phénoménale…
M.D a soudain le sentiment que son cerveau se “vide”, sa tête devient “une coquille vide”. En dépit des lumières et des couleurs, il y a comme une sensation totalement dénuée de gaieté dans l’environnement de l’objet. Les deux autres témoins du véhicule voient la même chose.
Confrontation des témoins
Je précise que la chronologie des événements rapportée ici, est le fruit d’une longue et patiente enquête. J’ai communiqué mes premières informations, à Jacques Vallée, notre ami qu’il est je crois inutile de présenter.
Celui-ci a réussi le tour de force d’être présent lors de l’unique réunion ayant pu regrouper l’ensemble des témoins valides : trois personnes et une quatrième au téléphone.
M.D. poursuit ainsi son témoignage : “Lorsque la voiture a été atteinte par le pinceau lumineux, j’ai perdu conscience”. Il en sera de même pour ses deux compagnons. Eux ne se souviendront que de leur réveil. Mais M.D., sans l’aide d’une quelconque hypnose, (ce qui est assez exceptionnel), se souviendra du traitement très particulier auquel il a eu droit.
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Qu’est-ce que Toboo ?
À l’issue de cette incroyable aventure, M.D compulsera toute la presse spécialisée sur l’astronomie et les phénomènes qui s’y rattachent. En parcourant le n°338, p.79, de la revue “Ciel et Espace”, M.D aura finalement la surprise de lire que “TauBau” est le nom d’une exoplanète, identifiée dans la constellation du Bouvier ! D’autres recherches, d’autres hypothèses étonnantes seront proposées par M.D.
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Souvenir du témoin principal
M.D. se souvient d’avoir été aspiré dans ce tube de lumière, d’avoir vu “à bout touchant” les plaques de métal de la sous-structure, avec des orifices couronnés d’un liseré de métal “brûlé”, grisâtre, avant son aspiration dans une salle blanche, éclairée de nulle part.
M.D. se souviendra plus tard s’être retrouvé allongé, avec, au-dessus de lui, légèrement penché, un heaume métallique extraordinaire qui le regarde. La rangée de dents qu’il aperçoit est immobile.
“Ce n’est pas une bouche, nous précise M.D., c’est un organe de communication”. Ce qu’il appelle des “dents”, “ce sont des plaques régulièrement espacées par un mince sillon, avec un séparateur horizontal. C’est un appareil ; il est très blanc. Il peut communiquer des sons, des ondes, je ne sais pas.
C’est quelque chose qui peut “vibrer”, pour émettre. Je suis très mal à l’aise à ce moment. Et puis le temps, qu’est-ce que c’est ici ? Je suis dans un monde où le temps n’existe pas. Je ressens que cet…ces entités (je devine la présence des autres) cuirassées sont dépourvues de pensée, de vie.
Elles sont dirigées pour faire un certain travail. Les orbites des yeux, je les vois vides. Tout est métal, artificiel, sans âme ni conscience. Et puis il y a cette “odeur d’ovni”( sic). M.D. dit qu’elle est indéfinissable.
Elle va avec le reste. Elle n’est pas agréable du tout, loin de là… Cette odeur, il la ressentira parfois plus tard, chez lui, ou en d’autres circonstances, et personne à ses côtés ne la décèlera pendant ces instants-là…
En attendant, l’organe émetteur au-dessus de lui émet des sons gutturaux dont la sonorité est celle de nos robots : TOBOO, TOBOO… et un foisonnement de pensées viendront envahir son esprit.
“Sensation de rigueur, dira M.D. dureté, rigidité morale et intellectuelle, honneur, intégrité, sécheresse du coeur. Pas “bons”, ni “méchants”. Chevaliers de l’espace, gendarmes de l’espace, militaires en mission.
Ambiance à la limite de l’inhumain.” Voici pêle-mêle les expressions que prononcera le témoin pour mieux faire passer son ressenti aux enquêteurs. Plus tard, des “messages” imprégneront l’esprit de M.D : “les Petits Gris sont des charognards, et si ça ne va pas, on viendra les taper”, “nous, les corps, on n’en a rien à faire “, “on est des placentas secondaires” “énergie vitale dans l’éther, essentielle”, “tout fonctionne sur le principe positif/négatif”.
Impression d’inversion, vision d’un futur ouvert, “le passé est moins important”, “on a le pouvoir de punir par la pensée”. Avant cette aventure, M.D. ne s’est jamais intéressé aux astres ni aux mystères qui s’y rattachent.
Conversation avec le “robot”
M.D. se souvient aussi de bribes de la conversation. Le robot au casque aurait fait une allusion au ruban de Möbius. Il lui aurait parlé “d’inversion de polarité” ; lui aurait dit : “nous sommes de grands voyageurs de l’espace” ; “Nous voyageons à des vitesses supérieures à celle de la lumière, grâce aux tachyons” ; “Deux vies en une, vie parallèle” ; “il y aura autre chose : apocalypse, catastrophe”, (M.D. quelque temps plus tard, assistera le 13 mai 1998, vers 0H50, heure locale- dans la région parisienne-, depuis son balcon, à un nouveau phénomène dont il pensera qu’il lui donne la “clé”, sur la nature de cette future catastrophe : dans de brèves années, la chute sur terre d’un énorme géocroiseur. (M.D tentera, en vain, d’alerter la communauté scientifique…)
Beaucoup plus tard, M.D. me confiera qu'”on” l’a fait voyager à très grande vitesse dans l’espace, et qu’il se souvient d’avoir été un bref instant transporté dans un autre vaisseau, vraiment immense celui-là. Il aurait été présenté à des entités de grande taille, à l’allure étrangement gallinacé, très caractéristique particulièrement au niveau de l’articulation des “pattes”… “Assurément, c’était les chefs”, me dira M.D. Il ne voudra ou ne pourra se montrer plus précis sur le sujet.
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Conséquences matérielles
La montre de M.D., jusqu’alors en parfait état, s’est retrouvée avec la pile complètement vidée. Un couple de mes amis, horloger-bijoutier, à qui j’avais soumis l’objet, s’en étonnera. Le remplacement de la pile par une neuve ne règlera pas le problème et la montre n’a plus jamais voulu marquer l’heure exacte.
L’autoradio quant à lui finira à la poubelle ! La voiture, encore sous garantie, se mettra à cliqueter douloureusement en roulant sur les défauts du bitume. Des semaines durant, le concessionnaire n’y comprendra rien.
De guerre lasse, il alertera la Maison Mère qui dépêchera des experts. Les experts ont “désossé la voiture”, et ils ont fini par trouver la cause du problème : la tôle du pavillon arrière de la voiture, soudée par des robots à deux autres tôles à l’arrière du véhicule.
Les points de soudure ont fondu. Les experts feront réparer en insistant qu’ils n’ont jamais vu un tel cas. (Témoignage du concessionnaire vérifié par l’enquêteur, en présence de M.D.)
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Le réveil
M.D. et ses deux compagnons de voyage vont reprendre conscience vingt minutes environ après le début du phénomène. La voiture est sur le parking où l’attendait M.K., son ami à la Mercedes, qui a été lui aussi survolé par l’énorme engin avec ses lumières en gouttes.
Cet ami, M.K., va voir la voiture de M.D comme si elle se matérialisait devant lui. (Notons au passage que, récemment, le Contre-amiral Gilles Pinon, (auteur du livre récemment paru : “Fatima, un OVNI pas comme les autres ?” , aux éditions Osmondes, a récemment rencontré M.K., le conducteur de la Mercedes.
Ce dernier lui a confirmé en tout point son témoignage. Gilles Pinon semble avoir été profondément bouleversé par cette rencontre. Comment la voiture de M.D aura-t-elle pu franchir une distance de plus d’un Km ; tout le long d’une rue étroite de village, avec ses trois occupants anesthésiés ?
Sans oublier la voiture qui était derrière celle de M.D., avec son unique passager, un ancien directeur dans le domaine du bâtiment et des travaux publics, spécialiste de la construction des tunnels, accompagné de son chien de chasse. Lui aussi aura remarqué cette masse lumineuse énorme qui s’approchait.
Hyper rationaliste, il refusera tout d’abord d’accorder du crédit à cette histoire, préférant parler d’un “gros nuage”, mais, au téléphone, en présence de Jacques Vallée, il ne pourra pas expliquer comment lui aussi s’est retrouvé sur le parking sans se souvenir d’avoir conduit sa voiture.
À l’époque, l’homme ne savait pas encore que ses redoutables certitudes allaient se transformer en hésitations tumultueuses, dans le déroulement futur de sa vie.
Il ignorait aussi que son excellent chien de chasse ne pourrait plus l’accompagner à la chasse, étant devenu sujet, depuis cet événement, à des crises d’épilepsie.
Il se trouve qu’un des passagers de la voiture de M.D, avait quelques problèmes psychologiques. Après cette “expérience”, son état s’est dégradé très rapidement au point de devenir gravissime. Je ne pourrais pas l’interroger.
Une journée presque ordinaire
Curieusement, la journée de chasse du 10 janvier 1998 se déroulera presque normalement. En dehors de quelques paroles échangées ici ou là, les témoins évoqueront à peine à demi-mot les sensations vécues et remémorées dans la matinée. Un autre participant à la chasse, arrivé plus tard et n’ayant pas vécu l’expérience, témoignera cependant s’être rendu compte de perturbations psychologiques importantes chez ses amis.
Il a du reste signé une lettre de témoignage et a demandé à la presse locale de la publier. La presse locale n’a pas publié ce document inédit dans lequel il est notamment écrit : “Membre de cette équipe de chasse depuis très longtemps, je suis arrivé au pavillon 30 minutes après les faits et mes cinq amis étaient encore sous le choc de ce qu’ils avaient vécu en deux temps….”
Séquelles et autres conséquences
Tout comme pour un autre témoin -le rationaliste-, M.D va avoir des soucis de santé à la suite de cette expérience. Entre autres, il souffrira d’une vilaine conjonctivite. Il n’est pas inutile de lire attentivement le bulletin médical qui confirme bien la possible origine étrange de cette affection.
Autre détail inattendu, M.D va voir sa vision lointaine se développer d’une manière qui le surprend encore aujourd’hui. D’autres phénomènes physiques sont relevés.
Au niveau des mains par exemple le témoin éprouve des sensations de courants d’énergie. Pendant quelques mois, son corps présentera également une pigmentation orangée, comme s’il avait été longuement exposé au soleil. Et il y a, comme nous l’avons déjà vu, ces pensées qui ne lui sont pas habituelles…
Enfin, il va se former sur sa cuisse une espèce de furoncle. En le perçant, le 21 avril 1998, dans le trou rond et sec qui s’ouvre, il extrait une sorte de gélule blanche de 12mm sur 4mm, de consistance gélatineuse, et qui fait comme un bruit sec lors de l’extraction.
La “plaie” se refermera très vite, sans suppuration. Où ira la gélule ? Dans la poubelle ! Mais, dès son extraction, M.D. ressentira tout à coup comme une forme de libération dans sa tête… “Ainsi, nous dira M.D., ce que j’au vu, pour moi, c’est quelque chose qui venait de nulle part, et qui est reparti vers le néant…”
Dernier rebondissement
En 1999, un nouveau témoin, se présente à moi. C’est une relation familiale des parents de “la petite fille”. Le témoin prend contact avec moi au sujet d’une affaire très différente, mais qui concerne une nouvelle manifestation -complexe- d’ovni, sur le même secteur de la commune d’Haravilliers. Si cela est possible, cette relation pourra être publiée dans “Top Secret”. D’autres enquêtes sont disponibles ou en cours d’étude.
Source : G. Deforge/Top Secret N°16
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Un autre document en Pdf, sur cette affaire
http://lesconfins.com/HARAVILLIERS02.pdf
une enquête du Contre Amiral Gilles Pinon à l ‘époque, un grand monsieur.