Tant qu’une personne n’incorpore pas dans sa “réalité” que notre vie de tous les jours est en permanence influencée par des forces invisibles qui veulent nous faire suivre leur volonté, elle ne peut qu’appréhender la vie que comme un sourd aveugle et encore… Sans les sens alternatifs que peuvent développer les sourds et les aveugles. Certaines de ces forces nous poussent vers une créativité fertile, d’autres vers une distraction qui finit par nous faire oublier qui on rêve vraiment d’être. Ce qui est le début de la fin de ce qui nous rend Humain.
L’homme qui se veut libérer doit comprendre que nos cultures issues des religions nous ont privé du contact direct avec les mondes invisibles. Ils nous ont obligé à passer par des prêtres, imans, rabbins, ou autres intermédiaires alors que ce n’est pas du tout nécessaire.
La plupart de ceux qui se connectent avec des forces/consciences invisibles, se connectent à ce que j’appellerais notre monde invisible local. Beaucoup l’appelle l’astral. C’est une super étape, mais le problème, c’est que la plupart des gens ne comprennent pas qu’il y a moyen d’aller beaucoup plus loin que l’astral.
Notre culture nous apprend à aller chercher l’énergie à l’extérieur de nous. Se mélanger un peu avec des énergies avec lesquelles on a envie de se mélanger est tout à fait fertile en créativité et en évolution. Mais trop de mélange finit par troubler notre personnalité. Les personnes qui sont fort dans l’avidité aspire tellement les énergies des autres, qu’elles finissent par avoir une aura grise. C’est car le noir et le blanc n’existe plus vraiment. Ce qui caractérise et rend unique la personne est noyée dans l’énergie des autres qu’elle a aspiré.
Si on ne s’occupe pas des mondes invisibles, ce sont les mondes invisibles qui s’occupent de nous. Il faut des plombiers, électriciens de l’invisible, des “thanatonautes” ce que certains appellent des chamanes.