Note SM: la faction Bush sait parfaitement que la fin est proche et le démantèlement de leurs réseaux de drogues est un immense signe de la défaite  prochaine de cette faction majeure de la Cabale. Dès lors, les fonds générés par la drogue commencent à être coupés pour eux.

http://stopmensonges.com/la-chute-de-la-cabale-continue-un-prince-saoudien-et-4-autres-personnes-detenus-a-beyrouth-suite-a-une-saisie-record-de-drogue-rapport-sm/

http://stopmensonges.com/des-negociations-secretes-de-haut-niveau-continuent-alors-que-larmee-de-letat-malsain-disrael-est-mise-sous-blocus-aerien-et-maritime/

En panique totale et dans un geste de désespoir visant à sauver les meubles avant que le couperet tombe, Père Bush en vient à s’en prendre de manière virulente aux membres sa mafia dans son livre. Dans une moindre mesure, il s’en prend à son fils, mais le livre vise plus particulièrement Donald Rumsfeld et Dick Cheney. En effet, ces deux criminels de la faction Bush en prennent littéralement plein la gueule et sont désignés comme des “mauvaises fréquentations” pour Bush Junior et bien plus encore. Ces gens-là seraient en grande partie responsable de la mauvaise tournure du mandat présidentiel de Bush Jr (2001 à 2009).

On observe ici qu’une fois qu’ils sont au pied du mur, ces gens-là deviennent de véritables traîtres entre eux et sont prêts à tout faire afin de sauver leurs peaux …

Tout est devant vos yeux.

 


Quand Bush «41» donne la fessée à Bush «43» !
Bush «41» avec Bush «43»
Les présidents Bush père et fils en 2013.© BRENDAN SMIALOWSKI / AFP

 

Papa Bush s’en prend à son fils, George W, dans un livre qui sort aux Etats-Unis. Président des Etats-Unis de 1989 à 1993, George H. Bush raconte dans «Destinée et pouvoir, l’odyssée américaine de George Herbert Walker Bush» comment, selon lui, son fils, président de 2001 à 2009, était sous l’emprise «néfaste» de Dick Cheney le «dur» et de Donald Rumsfeld le «crâneur».

Bush contre Bush… La presse américaine se délecte des remarques de Bush père (41e président), d’où ce surnom de Bush 41 sur son fils, Bush 43. Le New York Times a été jusqu’à titrer «quand Papy Bush donne une fessée à son fils».

Au coeur de la polémique, la guerre d’Irak. Selon l’ex-président, âgé aujourd’hui de 91 ans , ce sont les mauvaises fréquentations de son fils qui ont poussé ce dernier à faire la guerre, en Irak notamment. Deux personnages centraux de la présidence du Républicain George W. Bush sont les cibles des flèches de papa Bush: son vice-président, Dick Cheney,  accusé d’avoir bâti son «propre empire», et son secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld, un «arrogant» qui a «mal servi le président», selon les bonnes feuilles de l’ouvrage, révélées par le New York Times.

La ligne dure de Cheney

Dans cet ouvrage biographique, Bush père reproche à M. Cheney d’avoir  adopté une «ligne dure» pour convaincre George W. Bush d’avoir recours à la force militaire américaine en Irak en 2003 et en Afghanistan en 2001. Deux conflits qui ont traumatisé l’Amérique et auraient contribué à la victoire en 2008 du démocrate Barack Obama, élu en partie pour y mettre un terme.

«Il est assez facile de faire les titres de l’actualité avec une rhétorique enflammée, mais cela ne règle pas nécessairement les problèmes diplomatiques», tacle le dirigeant Républicain, qui déclencha la première Guerre du Golfe en janvier 1991 et fut battu lors de sa seconde candidature à la présidentielle par le démocrate Bill Clinton en novembre 1992… alors que son fils fut, lui, très facilement réélu en 2004.

Bush père dénonce notamment le leitmotiv du discours de son fils en 2002 centré sur «l’axe du mal»  dans lequel l’Irak, l’Iran et la Corée du Nord étaient désignés comme les bêtes noires de l’Amérique. Il accuse notamment Dick Cheney, vice président de son fils (qui précédemment fut son Secrétaire à la défense lors de la première guerre du Golfe) d’être devenu un «partisan de la ligne dure, très différent du Dick Cheney  que je connaissais et avec lequel j’ai travaillé».

Dans la famille Bush, John Ellis (connu sous le nom de Jeb), fils et frère des deux précédents, tente lui aussi la course à la Maison blanche…mais avec, pour l’instant, de grosses difficultés à en croire les sondages. Et dans ce duel à distance, Jeb choisit de défendre plutôt le frère que le père. Il a défendu George W, « un grand garçon », et critiqué son père pour chercher à «réécrire l’histoire».

Une histoire qui, selon le papa Bush, pourrait se résumer à une nouvelle version du «Bon, la brute et le truand» en quelques sortes.

Destiny of Power
Le livre de Jon Meacham sur George H. Bush © Random House

Source: http://geopolis.francetvinfo.fr/quand-bush-41-donne-la-fessee-a-bush-43-85781

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3 Commentaires
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godard bernadette
godard bernadette
Nov 9, 2015 10:07 pm

ADN de criminel terroriste de père en fils. Il n’y a que les mauvaises herbes qui ne crèvent jamais. Et ça repousse,. A quand l’éradication totale de ses mauvaises graines ?

PAM2/3
Membre
PAM2/3
Nov 9, 2015 6:50 pm

Y° Donc c’est le dernier clone du premier qui critique le Xème du second car le troisième sosie du “jeunet” (prononcer à l’allemande svp) à filé l’intendance de la base DUMBS créée par son clone d’avant au successeur de l’imposteur qui a pris la place de… Heu, là je crois… Lire la suite »

godard bernadette
godard bernadette
Nov 9, 2015 10:12 pm
Répondre à  PAM2/3

En homéopathie, on fait des remèdes avec du poison. Ils pourraient peut-être encore servir à quelque chose ces bouchers. Bush 5 CH, Bush 200 CH, on pourrait peut être soigner tous les irakiens qui ont été gazés…