Note de T-E : cet article est tiré d’extraits du dernier livre de Pierre Jovanovic “666” concernant le vol de l’or de pays européens ayant de grandes réserves d’or comme la France, l’Allemagne, la Suisse, la Belgique par cette “bête à 7 têtes” qui selon P. Jovanovic, est la façon par laquelle Jean décrivit dans le bible, le système financier actuel.
Quand la Bête à 7 têtes veut voler l’Or de la France
« Le Diable : Apprends de moi qu’avec Satan On en doit user d’autre sorte Et qu’il n’était pas besoin De l’appeler de si loin Pour le mettre ensuite à la porte ! Dr Faust : Et que peux-tu pour moi ? Le Diable : Tout, tout ! Mais dis-moi d’abord Ce que tu veux, c’est de l’or ? »
Faust, opéra de Charles Gounod, livret de Jules Barbier et Michel Carré, 1859
Les accords de Bretton Woods validés à la fin de la Seconde Guerre mondiale étaient simples : tous les pays signataires acceptaient de ne pas revenir au standard or, au profit d’un standard or strictement « souverain ».
Quand la France disposait d’une balance commerciale excédentaire vis-à-vis des Américains, avec un surplus disons de 70 millions de dollars, la Banque de France remplissait un bateau de la Marine Nationale de toutes ses coupures papier, et les renvoyait à New-York.
Là-bas, les fonctionnaires de la Fed recomptaient les billets et les remplaçaient ensuite par l’équivalent en lingots d’or, à raison de 35 dollars l’once, cours qui a été prédéfini à l’unanimité à Bretton Woods.
Le président de la Federal Reserve s’était solennellement engagé à ce que les États-Unis n’impriment JAMAIS plus de dollars qu’ils n’avaient de stocks d’or dans leur coffre, bien que la couverture or était limitée à 25,5 % de la valeur émise.
Rien de bien compliqué en réalité. Un peu comme si, en tant que viticulteur à Épernay ou à Reims, vous promettiez aux supermarchés Auchan de leur livrer, au plus tard le 15 novembre, toute votre production, limitée (par la surface de votre précieux vignoble) à seulement 7.000 bouteilles, et cela au prix fixe de 35 euros la bouteille. Vous ne pouvez pas vendre plus de bouteilles que votre vignoble ne peut en produire.
L’esprit de Bretton Woods était que, comme pour le vignoble, les Américains ne pouvaient pas imprimer plus de billets qu’ils ne disposaient de lingots d’or dans leurs coffres pour en assurer la couverture. Ce qui est d’autant plus paradoxal, vu que la proportion de celle-ci n’était déjà plus que de 25,5 % d’or. Bien loin des 100 % du XVIIe et XVIIIe siècles.
Mais en 1946, on était encore au gentlemen agreement : il n’était pas rare de voir des duels « très XIXe siècle » que ce soit à Paris, Londres, Madrid ou Berlin juste pour une parole déplacée ou une dette de jeu impayée.
Les banquiers avaient encore à l’esprit le fameux duel opposant Clemenceau à Déroulède. Il ne serait donc jamais venu à l’idée d’aucun de ces très distingués financiers, gouverneurs de Banques Centrales, économistes, diplomates et ministres des Finances, tous tirés à quatre épingles, et portant des fixe-chaussettes comme dans les livres de Marcel Proust, que Washington puisse, un jour, tous les escroquer comme ce vulgaire escroc italien, Monsieur Ponzi, en imprimant bien plus de dollars qu’il n’avait de lingots dans ses chambres blindées ! Et que la couverture en or tombe de 25,5 % à disons 10 %, voire encore moins, en fait à 0 %.
Ce n’était même pas envisageable.
Le scénario de Bretton Woods était simple et rassurant. Chargé de lingots 24 carats, le croiseur de la Marine Nationale revenait ensuite à Brest et de là, les camions à ridelle de la Banque de France, encadrés par des motards de la Gendarmerie Nationale, traçaient la route jusqu’au 20 de la rue du Colonel-Driant à Paris où des essayeurs répertoriaient et testaient les lingots avant de les ventiler définitivement sur les étagères spécialement conçues pour soutenir leur poids colossal des divers coffres.
C’est de cette manière que s’est reconstitué, après la Seconde Guerre le stock d’or du Peuple Français, par le commerce international, un or empirique, symbole, au sens propre comme au figuré, du labeur et du génie de tous les citoyens français, dont les produits se vendaient dans le monde entier, en particulier aux États Unis.
Pourtant la France aurait dû se méfier, La Bête à 7 têtes est avide d’or. Il n’y a même que cela qui l’intéresse et Paris, avant la guerre, possédait justement le deuxième plus grand stock du monde, après elle !
Personne ne doit jamais oublier qu’en 1939, sous prétexte de leur neutralité, les Américains avaient exigé du gouvernement français, et à De Gaulle ensuite, que tous nos achats d’armes (canons, munitions, etc.) soient payés non pas avec des billets émis sur la Banque de France ou sur la banque de la future France Libérée, non, non, mais « cash » avec les lingots d’or. Même Churchill demanda à De Gaulle de lui donner l’or de la France.
La Bête ne voulait que du « sonnant et du trébuchant ». Et elle savait qu’entre 1932 et 1940, les fonctionnaires de la Banque de France eurent le temps de mettre à l’abri plus de 2000 tonnes d’or, en prévision d’une éventuelle défaite face aux Allemands, en les cachant un peu partout dans nos départements et territoires d’outre-mer (Dakar, Fort de France, Alger, Casablanca et même le Mali tuel).
Quand vous savez que Louis XV et Louis XVI, ont saigné les Français, au sens propre, pour que les Américains puissent acheter des armes et munitions afin de résister aux Anglais, cela laisse vraiment pantois, et plus encore quand on sait que la Révolution Française a été, en grande partie, causée par nos caisses vidées de l’or qui a été envoyé de l’autre côté de l’Atlantique pour soutenir la jeune nation États-Unis !
La crise financière des assignats de 1789-1799, la planche à billets de l’époque…
Vous pensez que Barrack Obama avait été audacieux en tentant de voler l’or du Rhin d’Angela Merkel ? En réalité, il n’a fait que répéter la tentative de son prédécesseur Franklin Roosevelt qui avait déjà personnellement demandé, en 1940, à ce que tout l’or de la France soit envoyé aux États-Unis.
En échange, il promettait de donner du papier à la place !
Regardez ce que Lucien Lamoureux, Ministre éclairé des Finances du gouvernement de Reynaud, a décrit dans son journal personnel : le comportement précis de la Bête à 7 têtes, avide d’or à tout prix, exactement comme le gnome de l’opéra de Richard Wagner L’Or du Rhin :
« Le président Roosevelt avait marqué ses inquiétudes au sujet de l’or français qu’il souhaitait voir entreposé aux États-Unis. Morgenteau, le Secrétaire aux Finances américain, entendait garder notre or aux États-Unis et nous remettre des dollars en contrepartie.
C’était inacceptable.
Après nous avoir appauvris, les Américains pourraient financer leur propre guerre avec NOTRE OR. Ils ignoraient la philanthropie.
Le 5 juin 1940, Paul Reynaud téléphona à l’ambassadeur pour lui dire que nous ne leur remettrons pas notre or au bateau américain ».
Lucien Lamoureux (1888-1970), inspiré ministre des Finances de Paul Reynaud, de mars à juin 1940. Il a sauvé l’or de la France. Presque 60 ans plus tard, Nicolas Sarkozy vendra l’or de la France !
Il s’en est fallu d’un cheveu pour que tout l’or de la France disparaisse à Fort Knox… Après avoir volé le peuple américain en 1932 pour sauver Wall Street de la faillite (suite du crash de 1929 34) en le forçant à remettre à la Federal Reserve toutes ses pièces d’or et lingots en échange de coupures papier imprimées à la volée, Franklin Roosevelt voulut réaliser un second hold-up plus grand encore : voler de la même manière l’or de la France (et d’autres pays), en échange de papier imprimé !
Dieu merci, le ministre Lucien Lamoureux, définitivement inspiré par Saint Michel ou Jeanne d’Arc, réussit à empêcher l’opération in extremis.
Par ce geste il a été le premier à sauver la France, même si l’Histoire officielle a totalement oublié son nom. Puis ce fut au tour de Winston Churchill d’exiger l’or de la France à De Gaulle (car les Anglais aussi étaient obligés de payer leurs armes en lingots aux Américains sous le plan « Cash & Carry »).
La Bête est vorace.
De Gaulle refusa catégoriquement, prétextant que cet or lui servira à reconstruire la France. Et c’est sans aucun doute une inspiration divine semblable qui a soufflé sur Angela Merkel face à Barrack Obama et à Nicolas Sarkozy, qui lui a permis de sauver l’or de l’Allemagne des griffes de la Bête à 7 têtes, tantôt incarnée par Roosevelt, tantôt par Johnson, tantôt par Nixon, et dernièrement comme vous l’avez vu, par Obama.
L’Histoire se répète…
Mais voyez la suite, encore plus surréaliste, des aventures de l’or du Rhin !
Quand la Bête à 7 têtes veut voler l’Or des Allemands
« Hangman, Hangman, Hangman Slack your rope awhile I think I see my father ridin’ many a mile Father, did you bring any silver ? Father, did you bring any gold ? Or did you come to see me hangin’ from the gallows pole ? No, I didn’t bring any silver No I didn’t bring any gold I just come to see you hangin’ from the gallows pole »
Chanson anglaise The Maid Freed from the Gallows du XVIIIe parlant d’or pour la restauration d’une virginité perdue enregistrée entre autres par Led Zeppelin
Imaginez que vous décidiez de louer un coffre dans votre agence bancaire locale du Crédit du Nord et que vous y entreposiez les alliances en or gravées de vos grands-parents, la bague de fiançailles signée Carrera y Carrera de votre épouse et un lingot d’or hérité de votre papa, estampillé « Compagnie des Métaux Précieux, Fondeurs Affineurs à Paris » avec une abeille et le numéro 757395 de gravé dessus.
Un an plus tard, vous décidez de vendre le lingot. Vous vous rendez avec votre épouse à votre agence et demandez à descendre à la salle des coffres.
Et là, le directeur de l’agence vous dit « Désolé Mr et Mme Lecteur, vous n’avez pas le droit d’y aller, c’est interdit ». Scénario strictement identique, comme vous l’avez vu, à ce qu’ont vécu les fonctionnaires de la Bundesbank.
Vous faites un scandale, appelez la presse et vu les répercussions, la banque vous envoie finalement une lettre vous expliquant qu’elle vous rendra progressivement le contenu de votre petit coffre-fort personnel, mais que cela lui prendra 7 ans !
Devant n’importe quel tribunal, votre banque serait condamnée pour escroquerie et vol qualifié. Pourtant, c’est exactement ce que la Federal Reserve a officiellement écrit à la Bundesbank : « Cela nous prendra 7 ans pour vous rendre tout votre or ».
Pour rassurer le monde, la Fed avait promis de rendre une bonne partie en 2013. Mais les Allemands eurent plusieurs surprises désagréables fin décembre :
1) Sur les 370 tonnes, ils n’en livrèrent que 30 ! ! ! et
2) Ce ne sont même pas les lingots estampillés par des fondeurs germaniques purs à 999 % déposés il y a 50 ans à New York qui ont été rendus ! La Fed leur a renvoyé des lingots différents, même pas d’affineurs allemands, et purs à seulement 991 % ! ! !
Cela revient à ce que votre banque vous rende finalement des alliances différentes, fabriquées en 2010 par Leclerc Or, et qu’au lieu des 24 carats, elles ne soient plus qu’à 18 ! Quant au lingot de votre papa, il a été remplacé par un autre, venant d’on ne sait où, avec une pureté à 991 %.
Conclusion logique : la banque a ouvert votre coffre sans votre permission et pire, elle a vendu son contenu !
C’est exactement ce qu’a fait la Federal Reserve avec l’or du Rhin. Sans demander la permission à Berlin, les Américains ont volé le métal jaune des trois ondines, et maintenant ils sont coincés car ils ne peuvent pas le rendre !
Pourtant sur le site de la Federal Reserve de New York, il est clairement mentionné qu’aucun des lingots n’appartient à la Fed, mais bien à des nations étrangères !
The New York Fed’s gold vault is on the basement floor of its main office building in Manhattan. Buitt during the construction of the building in the early 1920s, the vault provides account holders with a secure location to store their monetary gold reserves.
None of the gold stored in the vault belongs to the New York Fed or the Federal Reserve System. The New York Fed acte as the guardian and custodian of the gold on behaff of account holders, which include the U. S. government, foreign governments, other central banks, and official international organizations. No individuals or private sector entities are permitted to store gold in the vault
« Aucun or stocké dans les coffres n’appartient à la Fed de New York ou au Federal Reserve System. La New York Fed agit en tant que gardien et dépositaire de l’or pour le compte des titulaires de comptes, ce qui comprend le gouvernement des États-Unis, des gouvernements étrangers, d’autres Banques Centrales et des organisations internationales officielles. Les personnes privées ou entités du secteur privé n’ont pas le droit de stocker de l’or dans ses coffres ».
Copie écran de la page de la NYF (exacte au 12 février 2014). New York Fed
La réalité est que, hormis les 30 tonnes, 300 autres ont, semble-t-il, été refusés par les ingénieurs allemands, considérant qu’ils ne répondaient pas aux normes attendues d’un lingot de banque, sans mentionner le fait qu’il ne s’agit même plus des lingots originaux.
La panique à la Fed de New York a entraîné deux choses aux cours de l’année 2013 : une extraordinaire baisse du cours de l’or, orchestrée par la Maison Blanche en compagnie des patrons des plus grandes banques américaines, afin que la Fed puisse racheter des lingots à bas coût pour commencer la restitution.
Les Chinois, comme on l’a vu, raflant tout, il ne reste aux Américains que des miettes. Cela explique pourquoi « la Bête à 7 têtes » a demandé, humour bien involontaire, 7 années, pour tout renvoyer en Allemagne…
Ses coffres sont bien vides, et l’or des ondines, eh bien seuls les dieux germaniques savent où il se trouve maintenant (bien que j’aie ma petite idée). Mais le pire est : la Bundesbank n’a vraiment reçu que 5 tonnes d’or conformes au cahier des charges bancaires !
La parution du Die Welt du 19 janvier 2014 révélant le pot aux roses des 5 tonnes a aussitôt provoqué une pression tellurique sur les organismes internationaux de stockage d’or, comme le Comex, censés gérer les lingots pour les banques, les fonds de pension et gestionnaires privés.
Après avoir manipulé les prix à la baisse, le gouvernement américain a cherché par tous les moyens à racheter de l’or à n’importe qui, même au Diable. Mais comme celui-ci s’est déjà glissé dans la « Bête à 7 têtes », c’est le Diable qui, sans le savoir, se mord la queue…
Le problème s’est d’autant plus compliqué pour la Fed puisque, en temps incertains, les propriétaires s’attachent à leurs lingots avec des chaînes et ne bougent plus.
« Aucun lingot ne sort quand la confiance n’est plus là » avait expliqué le Pr. Antal Fekete, spécialiste mondial du marché du métal jaune, lors de ses interviews en France pour la sortie de son livre. « Aucune personne censée ne veut échanger un lingot d’or contre du papier sans valeur, surtout quand on sait que Fort Knox est vide de vrai or de banque… »
Par-delà le temps et l’espace c’est bien le dollar « sans or » que Jean et l’Ange nous expliquaient en se servant des « 666 lingots du roi Salomon ». Ils nous disent « ne les croyez pas ».
Ils ajoutent de facto que si le système financier de Salomon basé sur le standard or et argent était parfaitement sain, et surtout en conformité avec la loi divine de Yahvé, le système financier mis en place par la « Bête à 7 têtes » ne l’est pas, car sa « balance est faussée » selon un autre passage de l’Ancien Testament.
En traduction, ils nous disent que les États-Unis « sont des voleurs de grand chemin », précisant ensuite « que cela emmènera le monde à sa ruine, suivi dun bain de sang ».
Par extension, l’Ange et l’apôtre nous préviennent aussi que tout système financier ne reposant pas sur un système métallique est d’ores et déjà condamné à mort.
Malheur aux citoyens des pays utilisant de la monnaie papier, et pire encore pour celles adossées plus ou moins au dollar. Mais la réalité est encore plus cruelle : la Bête à 7 Têtes de Jean a bien mis les Allemands en esclavage, la preuve avec le document suivant…
Le document secret par lequel les États-Unis ont mis l’Allemagne en esclavage jusqu’en 2099
VS-Verschlussache
pour la sécurité seulement
BUNDESNACHRICHTENDIENST
Kontroll-Abt. II/OP
UNIQUEMENT POUR LE MINISTRE
Confidentiel Défense
Processus : Traité d’État du 25/5/49
Ici : Perte de la copie officielle N°4
Très honoré Monsieur le Ministre,
La copie N°4 du traité d’État entre les puissances Alliées et le gouvernement provisoire de l’Allemagne de l’Ouest du 21 mai 49 est définitivement égarée.
Ce traité d’État secret révèle entre autres :
– la hauteur de contrôle média des Alliés sur les journaux et les radios allemands jusqu’en 2099.
– les dits « Actes du Chancelier », soit le document écrit que chaque Chancelier Federal de l’Allemagne doit signer sur ordre des Alliés, avant de prononcer le serment de ses fonctions,
– ainsi que la saisie des réserves d’or de la République Fédérale par les Alliés.
Dans la mesure où la copie N°4 du Traité d’État secret pourrait tomber en de mauvaises mains, je recommande expressément d’en nier l’authenticité.
Dr Rickermann
Ministre d’État
Ce document des services secrets allemands, le Bundesnachrichtendienst (BND), est éloquent car il illustre à merveille mon interprétation du texte de Jean et le génie de l’Ange qui l’accompagne.
La Bête Argent à 7 têtes met l’Allemagne en esclavage en prenant tout de suite le contrôle de son or, en mettant ses médias radio, presse et télévision entre les mains de son Faux-Prophète, et en forçant le chancelier à lire ces accords secrets avant de prendre le pouvoir.
En examinant cette note interne, je « voyais » les Bundeskanzler successifs les plus populaires, Konrad Adenauer, Willy Brandt, Helmut Schmidt, Helmut Kohl et Angela Merkel jurer en secret les « Actes du Chancelier »… En réalité, ils ont juré d’être les esclaves fidèles de Washington et de lui obéir en tous points jusqu’en 2099 !
En clair, l’Allemagne a toujours été le Cheval de Troie des États-Unis au sein de l’Europe !
Le document montre aussi que l’Or du Rhin a été pris d’office par Washington dès 1949. « A été » parce que depuis, les Allemands se sont révoltés apprenant que la NSA a espionné toutes les conversations de leur chancelière, jusqu’à ses paroles les plus intimes avec son mari. Maintenant ils veulent la restitution.
L’autre question fondamentale que pose ce document est : « la France, la Belgique, la Hollande ont-elles signé, elles aussi, un Traité secret similaire avec les Américains ? ».
L’origine du document ne fait aucun doute, authentique à 100 %, pour la simple raison que l’auteur, Gerd-Helmut Komossa, un officier de carrière, l’a publié dans son livre Die Deutsche Karte, das verdeckte Spiel der geheimen Dienste, autrement dit La Carte Allemande, le jeu obscur des services secrets.
Le général Komossa a été pendant très longtemps le chef des services secrets, en particulier du Militärischen Abschirmdienst, le contre-espionnage allemand, qui a permis d’identifier et arrêter le bras droit du chancelier Willy Brandt, en réalité une incroyable taupe des services russes du KGB. Après sa carrière de contre-espion militaire, il a été nommé chef de corps du XIIe Panzer Division.
Pas vraiment un comique. En ne publiant que très récemment ce document, cet officier supérieur a voulu montrer à ses semblables, et au monde, que les Américains, selon ses termes, « se sont efforcés, pendant des années après la guerre, à effacer l’identité des Allemands ».
Les éditeurs allemands ont immédiatement refusé de publier son livre ! Normal, si on regarde la nature de l’accord. Le général a alors signé avec une petite maison autrichienne, Wolfgang Dvorack Stocker. Mais là, nouveau drame : le plus gros distributeur allemand (genre Hachette en France) a refusé de le mettre en vente dans son immense circuit de diffusion !
Une censure venue d’on ne sait où (note : si en fait, on sait très bien) s’était abattue sur cet ouvrage justement à cause de ce document particulièrement géant.
Les Allemands ne doivent pas savoir qu’ils ont été mis en esclavage. Et que les médias germaniques sont entre les mains des intérêts américains qui leur dictent ce qu’il faut dire, écrire et penser.
À bien y regarder, il me semble que c’est aussi le cas des médias en France : JP Morgan ne dispose-t-il pas d’un pourcentage très confortable dans le capital de TF1 ?
Pour vérifier la logique de la Bête à 7 têtes, il suffit de regarder du côté des stocks d’or du Japon. Que s’est-il passé après Hiroshima et Nagasaki ? Les Américains ont-ils foncé droit vers la Banque Centrale du Japon, comme les Allemands à leur arrivée en France ? Évidemment.
En réalité ils ont mis la banque sous surveillance, et rien ne pouvait sortir de l’immeuble sans l’accord des troupes américaines. Mais dans ce cas, l’occupation était légale. La marine nippone avait agressé les États-Unis sans véritable déclaration de guerre en bonne et due forme, et là, eh bien il était logique que Washington se serve pour se dédommager.
Cela n’a pas raté : dès 1949, sous un prétexte totalement fallacieux, la décision a été prise de transférer tout l’or du Japon à la Fed à New York ! Raison invoquée par la presse (sous contrôle américain, comme la presse allemande) : les risques de guerre et surtout la demande des banquiers de mettre l’or en garantie des prêts faits au Japon par les établissements américains et anglais.
Ferdinand Lips rapporte une anecdote très intéressante et qui recoupe le document des services secrets allemands avec la situation de l’or japonais :
« Un banquier japonais qui ne souhaite pas être nommé et que j’ai rencontré lors de la conférence du World Gold Council à Paris en 1999, m’a expliqué que “le Japon n’est pas autorisé à acheter de l’or aussi longtemps que les navires de guerre américains croiseront dans le Pacifique pour assurer sa sécurité”.
Le 23 février 1949 l’australien Canberra Times reprend une information publiée dans le New York Times.
LA RÉSERVE D’OR DU JAPON POURRAIT ÊTRE ENVOYÉE AUX ÉTATS-UNIS
New York, Mardi. Il existe une forte possibilité que les autorités américaines puissent décider de ramener les 140 millions de dollars des réserves d’or du Japon aux États-Unis afin de sécuriser un crédit commercial, écrit le correspondant du New York Times à Tokyo.
Il ajoute qu’à cause de l’état instable du monde et la chance qu’une nouvelle guerre puisse mettre en danger les stocks d’or au Japon, les banquiers américains et britanniques, qui ont accepté de prêter contre les réserves de la Banque du Japon, ont été disposés à avancer seulement 70 millions de dollars, à la condition que leurs prêts soient de plus sécurisés par des matières premières.
La même chose s’applique sans doute à Taïwan. S’il est difficile de le vérifier, cela semble plausible surtout si l’on prend en compte le fait que récemment des pays comme le Koweït, le Sri Lanka, le Bangladesh, l’Uruguay (naguère si prospère qu’on l’appelait “La Suisse de l’Amérique du Sud”) et la Jordanie ont été persuadés de louer et vendre leur or physique. Le Liban semble être le prochain sur la liste ».
Notez que l’or du Soleil Levant était composé aussi de l’or pris à la Banque Centrale de… Taïwan et surtout des vols massifs commis par l’armée japonaise lors de ses deux guerres avec la Chine ! Le voleur nippon qui avait volé les Chinois a été volé à son tour par les États-Unis.
Vous le verrez d’ailleurs tout au long de ce livre, tout voleur d’or est volé à son tour. Comme si une loi divine non écrite et non encore découverte dans l’ADN de ce métal si précieux, agissait systématiquement, exactement comme une loi physique. Alors dans ce cas, cette loi nous annonce aussi la chute, à double titre, des États-Unis.
Ce nouveau cadre d’esclaves posé (Allemagne et Japon), vous allez mieux comprendre : 1) pourquoi la Deutsche Bank a racheté la banque en faillite Banker’s Trust 41 dont le patron s’est retrouvé N° 3 de la CIA, et 2) la phénoménale baisse des cours de l’or de 2013. Il est passé de 1900 dollars l’once à 1200…
Le coup vint évidemment des États-Unis (alliance des 12 plus grandes banques convoquées dans le bureau d’Obama à la demande de la Fed) et de la… Banque du Japon. Normal que l’esclave vienne épauler son maître, comme dans le feuilleton télévisé Rome.
L’éditorialiste vedette du Telegraph de Londres, Ambrose Evans-Pritchard écrivit que la Fed paniqua totalement en 2012 à cause de la montée de l’or, qui est, rappelons-le, « le canari dans la mine du dollar » :
« Mon opinion est que la Federal Reserve et la Bank of Japan ont “causé” le crash de l’or. Tout le reste n’est que bruit. L’assaut de la Fed a commencé en février lorsqu’elle avait publié un article avertissant que plus la planche à billets conti-nuait, plus il sera dur pour la banque de s’en sortir… Il disait que le capital de base de la Fed pourrait être pulvéri-sé plusieurs fois à partir du moment où le coût pour emprunter ira à la hausse. »
Comptez officiellement les lingots et vous mettrez la Bête à 7 Têtes à genoux. Vous comprenez mieux la corruption de bien de nos politiciens et économistes patentés qui ne veulent surtout pas voir l’horrible vérité en face, et encore moins la catastrophe mondiale qui arrive à cause de sa planche à billets.
Quand la Bête à 7 têtes s’empare de l’Or des Belges et des Suisses
« Tiens, Voilà du boudin Voilà du boudin Pour les Alsaciens, les Suisses et les Lorrains, Pour les Belges, y en a plus Pour les Belges, y en a plus Ce sont tous des tir’ au cul »
Voilà du Boudin, Wilhem Chant de la Légion Étrangère, 1840
Un système financier est censé rassembler les hommes en leur permettant d’échanger des biens sur une base commune. Pas les diviser. Il est l’huile avec laquelle les rouages du commerce tournent. Il permet de déployer et d’échanger le travail et l’imagination des citoyens à tous les niveaux et cela sans difficultés.
Cette « huile monétaire » transfère les dynamiques, les idées, les arts, les talents et les efforts dans tous les niveaux de la population.
La beauté et la richesse de Venise sont le résultat exemplaire de 600 ans de commerce exclusivement au standard or, tout comme Paris, Londres, Versailles, Rome, Florence, Madrid et Berlin des XVIIIe et XIXe siècles.
La Tour Eiffel en est le fruit, tout comme le Parthénon. Les fameuses « Trente glorieuses » sont avant tout celles du standard or indirect de Bretton Woods qui ont reposé sur une once stable à 35 dollars. Le chômage de masse n’a commencé qu’après la sortie de la couverture or des États-Unis.
Quand le système économique et la monnaie ne reposent plus sur l’or, ils entraînent la planche à billets à trouver une autre compensation. Leur première victime est le peuple.
L’inflation que génère la planche à billets empêche les citoyens de garder les fruits de leur travail, fruits qui s’évaporent comme une glace exposée au soleil de l’inflation.
Eric Joubert m’avait expliqué qu’entre les années 1972 et 1980, à chaque fin de mois une file se créait devant sa boutique de la Rue Vivienne : « Tous les peintres en bâtiments, les mécaniciens, commerçants, mères de famille, etc., venaient échanger leurs francs en pièces d’or pour se protéger de l’inflation devenue folle ».
Et imaginez qu’à l’époque, les salaires étaient indexés sur l’inflation, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui… C’est Jacques Delors, socialiste, si, si, qui l’a supprimé dans les années Mitterrand, privant aussitôt les ouvriers de la hausse de leur salaire ajusté à l’inflation. Les patrons ont été les grands gagnants.
Tableau de l’inflation aux États-Unis avant et après la déconnexion or-dollar en 1968 (on voit le bond) et après la sortie du standard or Bretton Woods de 1971 (on voit là aussi l’évolution radicale)
www.miseryindex.us/indexbyyear.aspx?type=lR
Voici un exemple typique jamais enseigné dans les cours d’économie, et pour cause : les États-Unis après leur sortie du standard or, soit les ères Richard Nixon, Gerald Ford et Jimmy Carter.
L’inflation que l’Amérique a connue a été la conséquence directe de l’émission de monnaie de singe, comme en France après le 14 juillet 1789. La compensation n’arrive pas à trouver une cible, a être immobilisée, dans un lingot d’or par exemple.
L’inflation appauvrit invariablement 90 % des acteurs de la vie économique et n’enrichit (massivement) que les 10 % restants. « L’inflation, c’est la taxation du peuple sans textes législatifs, c’est le vol invisible du peuple par le gouvernement » avait dit Milton Friedman, l’économiste favori de l’École de Chicago et de Washington. Même lui le reconnaît, c’est dire !
Au bout du compte, les privilégiés de ce 1 % deviennent une caste qui finit alors par contrôler 60 % des richesses du pays. Le grand vrai résultat tangible de la sortie or de 1971 a été vu, entre autres, en 2014. La richesse cumulée de seules 85 personnes représente celle des 3,5 milliards de gens les plus pauvres !
Idem en Angleterre. Le Guardian de Londres, stupéfait, a écrit en mars 2014 que les seules 5 premières familles anglaises sont plus riches que les 20 % les plus pauvres de toute la population anglaise réunie ! Merci aux 5 planches à billets lancées officiellement après l’explosion de Wall Street le 29 septembre 2008.
Britain’s five richest families worth more than poorest 20 %
Oxfam report reveals scale of inequality in UK as charity appeals to chancellor over tax
Normal, avec une planche à billets, on peut racheter la terre entière, du moment que les hommes politiques des autres pays sont suffisamment corrompus par la CIA pour accepter les billets papier toilette venant des États-Unis comme du vrai argent.
Et que font ces 1 % ? Ils achètent tous les membres du gouvernement, les journaux, les radios et les chaînes de télévisions pour informer les 99 % autres restants, les pauvres, les manants, les gueux, en leur expliquant qu’ils n’ont pas à se plaindre de la hausse des prix (qui selon l’INSEE n’a été cette année que de maximum, choisissez, 1 ou 2 ou 3 %) et que s’ils veulent garder leur emploi, ils ne doivent pas trop poser de questions.
Depuis 1971, les gouvernements ont même pris l’habitude de modifier le taux d’inflation officiel.
Il est de 10 % en moyenne par an ? Pas grave, l’INSEE ou autre va vous dire que vous êtes un crétin et que vous ne savez pas compter et encore moins lire les étiquettes.
La vraie inflation a été de 2 %. Marcus Chown et Olivier James, vivant en Angleterre ont formidablement résumé ce mensonge global.
Extrait de ma Revue de Presse Internationale du 13 janvier 2014 :
Marcus Chown et Olivier James ont envoyé ce tweet :
« Et ils nous disent (à Londres) que l’inflation est à 2,2 % par an ?
Gaz 30 % ?
Essence 13 % ?
Eau 18 % ?
Loyer 15 % ?
Alimentation 19 % ?
Tickets de train et bus 20 % ? »
Eh bien oui, la moyenne de tout cela fait 2,2 % selon une méthode de calcul qui de toute évidence provient d’une planète sur laquelle la gravitation et le reste dégagent d’autres résultats. Comme quoi l’INSEE anglais ment autant que le french…
À ce propos l’INSEE french va nous expliquer que l’inflation 2013 a été de 1 %. Vont-ils vraiment oser ? Bien sûr puisque ce taux entraîne la hausse ou la baisse du taux du Livret-A.
Ajoutez une bonne dose d’immigration constante avec des désespérés du Burkina Faso ou de Roumanie prêts à vous remplacer pour seulement 20 % ou 30 % de votre salaire, et vous obtenez un calme social constant grâce à la peur/crainte permanente des gueux qui noie toute idée de grève dans l’oeuf.
Du moins pendant un temps.
Car l’Histoire nous montre qu’avec les monnaies planches à billets massives non convertibles en métaux, cela se termine toujours avec une révolution, qui elle-même s’achève par l’arrivée d’un dicta-teur, ou d’une guerre, ou, pour les planches à billets les plus intenses, les deux. Ou par la disparition pure et simple du pays en question.
La France donne déjà les signes d’une Révolution Française 2.0. Comme un puissant acide qui ronge 24h sur 24, la compensation ne se contente pas seulement de créer l’inflation, elle va détruire bien plus de choses que ça. En réalité l’inflation ronge doucement un pays entier avant de le briser. Incidemment, l’or, lui, ne rouille pas.
Il résiste au temps. Les pièces d’or et colliers retrouvés au fond d’un galion espagnol coulé en 1715 sont aussi neufs et brillants que le jour où ils ont été frappés 45. Même l’eau de la mer respecte l’or.
Revenons à la « Bête à 7 têtes ».
Quel que fût le président américain en place, à l’exception de John Kennedy qui justement voulut mettre fin au monopole de la planche à billets de la Federal Reserve (beaucoup d’Américains pensent qu’il a été abattu pour cela), tous n’ont eu qu’une seule tâche principale au nom des États-Unis : dépouiller les autres pays de leur or et de leurs richesses à l’aide de leur dollar qui ne repose en réalité que sur une chose, le soufre.
Dans les pages suivantes, les documents de la CIA ou du Département du Trésor vous montreront que c’est en effet la seule préoccupation majeure de la Bête à 7 têtes.
Aidée par Langley, elle a réussi d’innombrables fois à dépouiller des pays souverains de leur or, principalement par la corruption de leurs politiques, de leurs fonctionnaires des Finances et ceux du Trésor (par exemple en Belgique dont l’or a disparu).
Lorsque la CIA n’y parvenait pas par la corruption des politiques, les États-Unis demandaient au chef de station local de déclencher, au choix, des guerres (Liban), une révolte (Chili), une insurrection (Lybie).
Parfois, les opérations étaient menées conjointement avec le Mossad israélien, en particulier en Afrique et au Moyen-Orient (surtout au Liban) et parfois avec les Français (Lybie en 2012, au Mali en 2013 où on trouve beaucoup d’or).
Un rideau de fumée médiatique était créé de toutes pièces, le moindre opposant politique, malgré son QI d’huître, était financé et armé avant d’être jeté devant les caméras de la Bête Média, le Faux Prophète, et présenté comme le nouveau sauveur politique. Mais derrière le rideau de fumée, c’est l’or qui était emporté.
Exemple pratique, le Chili. À la mort d’Allende, Washington y enverra tous les économistes de l’École de Chicago tester les théories bidons de Friedman sur le peuple chilien, la junte militaire applaudis-sant à deux mains.
Et les stocks d’or de la Banque Centrale du Chili de disparaître soudain, sans que personne ne proteste, junte militaire oblige. Les Américains ayant expliqué que la théorie des 3 ou 5 % de déficit permis par an de Friedman valait bien mieux que l’or (qu’ils ont du coup racheté avec leur planche à billets) ! ! !
La Stratégie du Choc appliquée grandeur nature selon la sociologue canadienne Naomi Klein. Juste pour voler l’or si indispensable à la Bête à 7 têtes.
Prenons la Belgique. Encore en 1989, ce pays disposait dans ses coffres de 1300 tonnes de métal jaune. EXACTEMENT dans la même période que les ventes réalisées par Nicolas Sarkozy et Gordon Brown, le gouverneur de la Banque Nationale Belge, le vicomte Alfons Verplaetse, Grand-croix de l’Ordre de Léopold II, Grand officier de l’Ordre de Léopold et Grand-croix de l’Ordre d’Orange-Nassau et ancien du conseil de la Banque Centrale Européenne, décida de tout vendre.
Isabelle Dykmans du journal belge L’Écho avait constaté :
« Il y a une trentaine d’années, la Belgique possédait 2,5 % de tout l’or du monde. En 10 ans, sous la houlette du gouverneur Alfons Verplaeste, la BNB a vendu son stock d’or, en catimini, au rythme d’une centaine par an ».
Plus de 1000 tonnes de l’or du peuple belge ont été vendues sans son assentiment, ni aucune nécessité d’ailleurs. Le journal précise bien « en catimini ». Exactement comme Sarkozy et Brown. Cela s’appelle le vol du peuple, un crime de haute trahison, etc.
Cela revient à ce que le conservateur du Musée Royal de Bruxelles ait vendu sur les marchés d’art mondiaux, mais dans le plus grand secret, les tableaux de Memling, Bruegel, Rogier de la Pasture, Dirk Bouts ou Jérôme Bosch. Son oeuvre les Tentations de saint Antoine se trouve justement à Bruxelles.
Le site Contrario Belgique résume les ventes progressives, pas-sées par l’Afrique du Sud, au moment où le cours de l’or était au plus bas :
« Sous la pression du gouvernement Dehaene, la cession de cette “relique barbare”, à savoir le stock d’or de la BNB, déjà amorcée depuis 1989 sous le gouvernorat d’Alfons Verplaetse, se fera à un rythme accru dès 1995 pour atteindre la masse astro-nomique de 1000 tonnes d’or vendues en 1999.
Il est à noter que, pour ne pas affoler les marchés et provoquer un effondrement du cours de l’or, Verplaetse, ami du ministre des finances sud-africain, avait déjà un accord en place dès 1989 pour procéder à la vente de 1 à 3 tonnes par semaine au fur-et-à-mesure que l’industrie aurifère sud-africaine procédait à l’écoulement de sa production sur les marchés internationaux.
Le produit des cessions d’or rapportera à l’État un produit de l’ordre de 8.3 milliards d’euros versé sous la forme de dividendes sur les actions de la BNB détenues par l’état belge (…)
Au final, nous retiendrons de ce triste épisode de la finance belge que le surendettement mène toujours à devoir se défaire de biens Précieux, voire inestimables, de son Patrimoine dans des conditions de marché pas toujours favorables. Tel fut le triste sort de 1000 tonnes d’or belge pendant les années 90 ».
Résultat factuel, il ne reste plus que quelques 200 tonnes d’or aux Belges, au même niveau que les Philippines. Sans la vente, Bruxelles serait DEVANT la Chine dont les stocks officiels sont à 1054 tonnes selon les chiffres du Gold World Council ! ! !
À qui a profité le crime ?
Aux États Unis évidement, car ces ventes, plus de 2000 tonnes (France, Belgique, Angleterre) ont permis au cours de l’or de rester au plus bas, tout en mettant la confiance dans le dollar américain au plus haut. « Le cours de l’or, c’est le canari dans la mine ». Seul problème, le canari dans la mine est mort en 2010.
Le monde financier, tout petit, sait que le jeu de chaises musicales prendra fin subitement, avec des conséquences dramatiques derrière.
Je ne voudrais pas être à la place du vicomte Alfonso qui a sacrifié le bien le plus important de son peuple qui lui aurait permis de redémarrer économiquement avec une monnaie saine.
La richesse de la Belgique a disparu, et les magiciens sont les hauts fonctionnaires belges eux-mêmes. Quoi de mieux ? La main des Américains est invisible.
Depuis le cours de l’or a plus que triplé ! Autre exemple effarant, la Suisse, capitale mondiale des financiers, paraît-il, les plus intelligents. Le 3 mars 2008, donc avant l’effondrement de Wall Street le 29 septembre, Werner Wüthrich écrivait dans le magazine web suisse Horizons & Débats, que « la Banque Nationale possédait encore 2600 tonnes d’or.
Elle en a déjà vendu la moitié. Maintenant, elle a recommencé à en vendre. Jusqu’en septembre, 250 tonnes supplémentaires seront vendues. Elle ne possédera alors plus que 40 % de la réserve originale.
D’autres ventes sont tout à fait possibles (…) les 250 tonnes (…) vont être vendues contre des dollars américains. ». Vous remarquez qu’au même moment, la Bête à 7 têtes ne vendait toujours pas un gramme du sien ! Étonnant de constater ce pillage de l’or européen.
Et toujours dans la plus grande discrétion vis-à-vis du peuple. Pour « catimini », le vieux dictionnaire Robert nous dit : « En cachette, discrètement, secrètement. Cachette, secret, tapinois. S’approcher, faire quelque chose en catimini. Rencontre en catimini. Façon d’agir secrète, dissimulée ».
Au fait ?
Pourquoi en secret ? Pour ne pas réveiller les citoyens évidemment, ces derniers pourraient très très mal le prendre et demander des comptes à leurs politiques. Illustration supplémentaire, s’il en fallait encore une, de la trahison des peuples par leurs politiques véreux, même Suisses.
Le 20 septembre 2011, un citoyen plus réveillé que les autres, le parlementaire Luzi Stamm a finalement demandé des comptes à la Banque Centrale Suisse et il a découvert au passage qu’une partie de l’or helvète était entreposé, devinez où…, dans les coffres de la Fed de New York !
Avec plus de 100.000 signatures de citoyens pour son projet « Sauvez l’or de la Suisse », clairement une espèce en voie de disparition, monsieur Stamm voulut obliger la Banque Centrale « de stopper ses ventes d’or, de ramener en Suisse tout l’or stocké à l’ étranger, et de constituer des réserves d’or pour au moins 20 % de ses actifs (…)
Ils évoquent pour mémoire la vente de 1550 tonnes d’or depuis 2001. Ces transactions ont bradé l’or suisse, entraînant une perte de 50 milliards de francs, a souligné Luzi Stamm, conseiller national UDC-AG et membre du comité d’initiative ».
Il va de soi que cette initiative populaire a été rejetée en toute discrétion en novembre 2013 par des forces qui dépassent ce pauvre mais honnête homme.
Comme on l’a vu précédemment, le métal jaune suisse a été mas-sivement vendu entre 1994 et 1999. Ce n’est pas un hasard. De plus, cela fait beaucoup de monde dont l’or s’est réfugié aux États Unis, vous ne trouvez pas ?
C’est d’autant plus étrange que les Suisses n’ont couru aucun risque d’être braqués ni pendant la Seconde Guerre mondiale, ni pendant la Guerre Froide, en raison de leur légendaire neutralité.
Mais voici la vraie clé : imaginez que la sacro-sainte Constitution suisse, pourtant gravée dans le marbre, a été violemment attaquée à coups de burins par les agents manipulateurs de la CIA.
En effet, un des articles précisait que le franc suisse devait être garanti à 40 % de sa valeur émise par des stocks d’or nationaux.
Pour chaque billet de 100 francs suisses émis, la Banque Centrale devait ajouter l’équivalent de 40 francs en or dans ses coffres. Ce qui expliquait les réserves massives suisses qui rendaient les Américains complètement fous.
Le plan de la CIA mis en place en 1988 a été simple : convaincre les politiques helvètes de rejoindre le Fonds Monétaire International qui, comme le Diable dans Faust, leur a ouvert ses bras en leur promettant mille et une choses, à une seule petite condition en revanche, oh, si mineure, si insignifiante : que la Suisse abandonne aussitôt la couverture de sa devise par 40 % d’or !
Bien sûr, il n’était pas question de laisser tout cet or bien au chaud dans un grand coffre à Bâle loué au nom du FMI (solution la plus logique et la plus simple), non, non, cet or devait immédiatement prendre l’avion pour être mis en sécurité dans les coffres de la… Fed ! ! ! !
C’est bien connu, Lausanne, Genève et Bâle sont les villes les plus dangereuses au monde. Vous ne pouvez pas retirer 100 francs à un distributeur sans être braqué dans la minute suivante. Et on ne compte même pas la centaine de hold-up de banques suisses chaque année !
Résultat : en 1992, les politiques suisses ont validé et voté l’abandon de l’or garantissant leur franc, mondialement réputé à cause même de cette couverture métal !
Les Suisses !
Et la Suisse s’est retrouvée presque nue.
L’or du peuple s’est donc retrouvé chez la Bête à 7 têtes par l’action de chantage de la CIA sur tous les hommes-clé suisses, appuyé par une action de « lobbying » intense dans le circuit politico-financier.
Vous avez compris : l’intégralité de cet or a sans doute été vendu, comme celui des Allemands. Les Suisses ne le reverront pas au moins pendant 10 ou 20 ans…
Le temps pour la Fed d’en voler à d’autres pays. Le jeu des chaises musicales continue.
Et clairement il y a un grave problème dans les coffres de la Fed de New York dont les officiels interdisent à ceux qui y ont déposé leurs lingots de vérifier qu’ils s’y trouvent encore ! « Comptez le nombre de la Bête, car c’est le nombre d’un homme et c’est le 666 ».
Et il est encore plus amusant de constater que les officiels suisses n’aient pas demandé un audit de leur or, malgré le scandale allemand !
La NSA et CIA travaillent les politiques helvètes non seulement au corps, mais aussi à la tête…
Source : Extraits de “666” de Pierre Jovanovic.
“Les personnes privées ou entités du secteur privé n’ont pas le droit de stocker de l’or dans ses coffres ». Copie écran de la page de la NYF (exacte au 12 février 2014). New York Fed” Ah bon…?Ces escrocs de la FED parlent pour eux???Parce que la FED est une… Lire la suite »