J’avais une discussion téléphonique avec deux amis dernièrement. Comme ce sont deux très bons amis, je leur dis sincèrement que je pensais que cette pandémie était un coup politique ciblant Trump à l’approche des prochaines élections de novembre, ce qu’ils savaient déjà car ils avaient lu mes deux derniers articles sur ce site, et l’un d’entre eux me dit : « pour moi, Trump, c’est juste un milliardaire comme les autres! Il n’a pas pu en arriver là sans faire ce que font tous les autres, il a forcément les mains sales, lui aussi », et l’autre d’ajouter : « comment peux-tu te porter garant d’un mec comme ça ? Tu sais bien qu’il est là pour sa gueule, tu ferais pareil à sa place, c’est la nature humaine… ».
Quand il s’agit de milliardaires ou de politiciens, j’ai remarqué qu’il n’est pas gênant de faire des généralités en les mettant tous dans le même sac. C’est étonnant car on trouve scandaleux que ce genre de propos soient tenus sur une certaine ethnie, une catégorie sociale, une appartenance religieuse ou une nationalité, c’est même puni par la loi, mais selon de qui il s’agit, ça passe…
Concernant Trump et la suspicion qu’il ait les mains sales, je réponds sans hésiter qu’avec tout ce que les médias balancent sur lui 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, s’il y avait vraiment quelque chose qui pourrait le destituer, un crime quelconque, ce serait sorti depuis longtemps déjà. Même Hitler n’était pas autant détesté des médias avant et après sa prise de pouvoir, bien au contraire, puisque ceux de son pays n’avaient pas d’autre choix que de mettre en avant sa propagande. Trump n’en a pas les moyens, ce qui devrait faire réfléchir ceux qui le rapprochent des pires dictateurs, nazis compris.
En ce qui concerne les garanties qui me poussent à croire en Trump, je le rappelle une nouvelle fois, tout le monde peut lire sur internet les messages de « son » lanceur d’alerte QAnon, il vous suffit d’aller sur https://qmap.pub, vous pouvez même faire traduire les posts en français. Et là vous verrez, par exemple avec l’aide des vidéos de Radio Québec consultables sur YouTube, qu’en déchiffrant ces messages on comprend qu’il s’agit de l’intelligence militaire aux mains de « bons gars » enfin prêts à rendre le pouvoir au peuple. Bien sûr, si nous pouvons lire ces messages, les ennemis des « bons gars » aussi, d’où l’importance de les crypter, de balancer de faux renseignements de temps en temps (pas tant que ça au vu de ce qui s’est déjà réalisé et qui avait été annoncé), de ne pas tout dévoiler. Et non, je ne pense pas que la nature humaine soit mauvaise ! Je pense qu’elle a peut-être été élevée de manière à être divisée, éduquée à s’autodétruire comme on tuteure une plante afin qu’elle pousse d’une manière domestiquée, comme on la taille afin qu’elle ait plus de rendement. On est toujours l’esclave de quelqu’un. Si on croit que c’est la nature humaine de penser à sa gueule, comment peut-on espérer une seconde que l’humanité s’éveille un jour ? Ça reviendrait à dire qu’il n’y a rien à faire pour changer les choses, et je suis peut-être idéaliste, mais c’est le postulat dont chacun a besoin pour ne rien foutre. Une bonne excuse pour ne croire en rien…et ça je ne peux pas. Désolé, c’est contre-nature…c’est pour ça que, plutôt que de débattre sans jamais vraiment se renseigner, j’essaye de vous amener à analyser les informations. Et ne me traitez pas de complotiste, car comme vous le verrez dans mes sources, je ne fais que piocher dans les médias traditionnels afin d’analyser leur récit au regard de ce qu’écrit Q dans ses posts. D’ailleurs, si vous tombez dans ce piège tendu par les médias traditionnels consistant à qualifier tous ceux qui contredisent leur récit de conspirationniste, renseignez-vous sur les vrais complots : des citoyens mettant en garde contre le génocide des juifs traités de fous avant que celui-ci ne devienne irréfutable, au scandale du Watergate, et rappelez-vous que sans remise en question, il n’y a pas d’avancement. Ok j’avoue j’ai peut-être fait une bêtise : vous donner les dates prévues par deux analystes des messages de Q. D’ailleurs Q lui-même les rappelait à l’ordre le 10 avril 2020 (« Patriotes: soyez prudent dans vos interprétations des informations publiées. Les fausses attentes [& poussées] basées sur la « spéculation » ne vont armer que ceux qui nous attaquent [médias mainstream]. Pourquoi [les médias mainstream] dépensent-ils [quotidiennement] des ressources pour tenter de nous discréditer ? Donnez-vous à l’ennemi le calendrier des dates précises? Pensez logiquement. […] ». Je me rends bien compte que je n’aurais pas du car cela jette le discrédit sur mes écrits et sur les alertes de Q. Cela ne veut pas dire qu’il ne se passera rien. Au contraire, comme je me propose de vous l’expliquer, il y a matière à ce que bien des choses se passent, en plus de l’aspect déjà extraordinaire de ce que nous vivons ces temps-ci.
Dans mon article « De notre confinement, un black-out prévu de longue date par QAnon », je vous faisais part des prévisions concernant l’arrivée de la Tempête, une phase d’arrestations massives des hautes arcanes du pouvoir américain en place depuis des décennies, soumises par le biais de réseaux pédocriminels aux hautes élites financières oligarchiques contrôlant les médias et de nombreuses industries à commencer par le militaro-industriel et le pharmaceutique désignés sous le nom d’État Profond. Les messages 34 et 35 de QAnon faisaient référence à une situation d’urgence nationale que j’ai lié à la crise de pandémie que nous vivons actuellement.
Ces messages, comme bon nombre parmi les premiers de Q, semblaient nous donner des informations sur une situation de « guerre » au sein de l’Establishment politique de Washington DC impliquant une série d’arrestations d’officiels et un état d’urgence médiatique et de sécurité nationale, soit ce que les adeptes de Q appellent The Storm, la Tempête. Il est fait référence à une profonde division au sein du pays, et à des protestations, peut-être l’œuvre de citoyens se fiant aveuglément au récit des médias traditionnels, lequel est « corrompu et diabolique ».
C’est une des raisons pour laquelle le gouvernement aurait potentiellement recours au Système de diffusion d’urgence. Une autre raison pourrait être le discrédit quotidiennement jeté sur la présidence Trump par la quasi-totalité des médias mainstream. En particulier, leur refus pur et simple de diffuser les adresses quotidiennes du président Trump à son peuple par le biais des conférences de presse de la commission de travail de la Maison Blanche sur la pandémie du coronavirus serait enclin à créer une situation nécessitant ce même système permettant au chef de l’état de s’adresser à ses concitoyens en temps de crise. En effet, les médias mainstream américains ont été nombreux à exprimer leur volonté de ne plus relayer ses propos auprès du public, certainement parce que ceux-ci représentent pour eux un danger. Charles M. Blow, du New York Times, prétextant que les médias ont « trop rendu service à Trump », malgré une couverture négative, depuis sa campagne présidentielle de 2016, propose purement et simplement de supprimer les messages présidentiels car ils « propagent de la désinformation » à l’approche des élections présidentielles de 2020. Si l’on se rappelle les propos de Mathieu Vasseur de Contrepoints comme quoi Trump agît tel un « viagra médiatique» après son élection, moment où les médias en avaient grand besoin au vu de leur perte d’audimat et leur banqueroute, les médias mainstream tenteraient aujourd’hui d’éteindre le feu qu’ils ont eux-mêmes allumé. Ils sont nombreux à ne plus vouloir laisser Trump s’adresser au peuple américain alors que l’urgence nationale a été décrétée du fait de la pandémie. Une vidéo diffusée par la Maison Blanche laissant paraître que les médias ont sous-estimé la gravité de l’épidémie de coronavirus à son origine serait notamment un des objects de l’opprobre. Il est pourtant clair que les médias ont massivement relayé les messages de l’Organisation Mondiale de la Santé, qui, comme l’avons déjà vu, a pêché par manque de précaution.
Toutefois, l’OMS, en tant qu’institution mondialiste, s’est vu protégée par les médias mainstream et réseaux sociaux. Facebook mit en place des alertes prévenant ses usagers lorsque ceux-ci entraient en contact avec de la « désinformation sur le coronavirus ». Les personnes ayant évalué ou commenté des contenus jugés par l’OMS comme étant de la désinformation étaient réorientées sur un site de l’OMS censé réparer les méfaits de cette même « désinformation ». L’ensemble des réseaux sociaux mit en place une politique de censure des messages non validés par l’OMS, fournissant ainsi un bouclier à celle-ci.
Le Parti Démocrate prenait également part à la censure. Après que Karen Whitsett, une députée Démocrate guérie du COVID-19, ait rencontré Trump et loué son action face à la pandémie, le Parti Démocrate décida de censurer ses élus accréditant le président.
Le 23 avril, suite à la présentation de Bill Bryan, directeur des sciences et technologies du Ministère de la Sécurité Intérieure, sur les bienfaits du soleil et de l’humidité contre le coronavirus, Trump suggéra que des rayons ultraviolets soient envoyés à l’intérieur du corps des victimes, entraînant les railleries des médias. Le surlendemain, John Roberts de Fox News confirmait que des expériences visant à émettre des UV dans les voies respiratoires des malades étaient sur le banc d’essai d’une compagnie du Colorado. Il s’agissait là d’études très sérieuses. Twitter suspendit le compte de la compagnie AYTU Bioscience, qui expérimentait cette technique. Il semblait donc que la censure empêchait de différentes manières de répandre des informations permettant de sauver des vies.
Le post 40 de QAnon explicitait la signature « 4, 10, 20 » au bas du message 35 : « 4,10,20 / A,b,c,d,e…… ». En assignant un chiffre à chaque lettre de l’alphabet dans l’ordre croissant, « 4, 10, 20 » signifie « D.J.T », soit Donald J. Trump. Dès les touts premiers messages de QAnon, les membres de sa communauté en ont déduit que le président rédigeait certains messages de Q lui-même. De très nombreux indices validant cette hypothèse ont été disséminés au cours des publications de QAnon et des communications de Trump, à commencer par des messages Twitter du président simultanés à des posts de Q, des photos prises à bord d’Air Force One ou à l’intérieur de la Maison Blanche, la déclassification de documents top-secrets par Trump confirmant des affirmations préalables de QAnon, etc.
L’on retrouve un décors de situation d’urgence nationale planté par les messages 34 et 35 de Q dans ses messages 1, 2, 3 et 4 :
Attendez-vous à des émeutes massives organisées en dépit de la loi, et à ce que d’autres fuyant les États-Unis se produisent. Les Marines US mèneront l’opération pendant que la Garde Nationale est activée. Vérification de donnée : trouvez un membre de la GN et demandez-lui s’il est activé pour le service au 30/10 dans la plupart des grandes villes.
Ce post fait référence au déploiement de la Garde Nationale dans plusieurs villes. Or, la Garde Nationale fut, sous Trump, activée dans plusieurs états à partir d’avril 2018 le long de la frontière sud dans l’optique de la sécuriser durant la construction du mur et lors de la pandémie de coronavirus de 2020. Comment comprendre les mots de Q comme quoi la Garde Nationale est déployée dans plusieurs villes alors que son message date d’octobre 2017 ? Les membres de la communauté de Q acceptèrent en novembre 2019 l’idée que la technologie classée secrète de l’intelligence militaire du projet Looking Glass consistant en des voyages temporels était accessible aux personnes derrière QAnon, comme lui-même l’affirmait : « […] Projet Looking Glass? Aller de l’avant pour regarder en arrière. Q ». Les références de Q à de possibles voyages temporels sont nombreuses, si l’on liste ses allusions au passé comme au futur : « Parfois le passé permet de trouver le futur. […] Parfois le futur permet de confirmer le passé. », « […] Le futur valide le passé. », etc. Se peut-il dans ces conditions que la référence au déploiement de la Garde Nationale dans plusieurs villes américaines faite en novembre 2017 traitait en fait du moment de la pandémie de coronavirus du printemps 2020 ?
Le message suivant donnait plus de détails sur le travail conjoint de la Garde Nationale et des Marines :
Qui contrôle la Garde Nationale ?
Pourquoi la GN a-t-elle été récemment activée dans certaines villes des États-Unis ?
Est-ce que la GN peut-elle travailler en coordination avec les Marines ?
Quelles conditions doivent être remplies pour que l’autorisation soit accordée ?
[…] La plus grosse diffusion à jamais être fournie sur /pol/. Étudiez et préparez-vous. Les masses ont tendance à paniquer dans de telles situations. Aucune guerre. Aucun trouble civil. Propre et rapide.
La Garde Nationale des États-Unis obéit au président. Au moment de la publication du message, celle-ci n’avait pas été activée, mais elle le fut afin d’apporter une réponse à la pandémie du coronavirus. En temps d’urgence nationale, la Garde Nationale et les Marines peuvent être appelés à travailler en coordination. Face aux protestations de plus en plus nombreuses appelant à rouvrir l’économie et cesser le confinement, ouvertement soutenues par Trump, la Garde Nationale fut déployée dans certains états et pourrait l’être à nouveau à mesure que ces manifestations s’intensifient. Lors de ces rassemblements, qui sont perçus par certains observateurs comme des mouvements populaires de soutien à Trump dans sa gestion de la crise, les appels à la liberté sont de plus en plus clairs dans les messages scandés et sur les pancartes : « Libérez mon état », « Je préféré une liberté dangereuse à un esclavage sécuritaire ». Parfois la limite du « complotisme » est même franchie : « Je n’ai pas peur du grand méchant loup. Méfiez-vous des loups déguisés en agneaux », laissant entendre une colère contre des puissants qui tireraient profit de cette crise, soit essentiellement les adversaires de Trump. Ce sont surtout les appels au retour au travail qui priment : « Laissez-nous travailler », « Vous ne pouvez pas fermer l’Amérique ! » ; en effet, 22 millions d’américains pointaient au chômage en mars 2020 du fait du confinement, et le programme de protection des petites et moyennes entreprises, s’élevant à 350 milliards de dollars, arrivait à court de ressources fin avril. Le gouvernement Trump est parvenu, malgré l’opposition des Démocrates au Congrès, à faire passer le Stimulus Pack permettant aux Américains déclarant moins de 75 000$ à l’année, soit 90% des foyers, de toucher un chèque de 1200$ et 500$ par enfant. Cependant, la revue Neoscope, se basant sur une étude de Yahoo News, estime que la plupart des Américains sont opposés aux protestations anti-confinement, et, non sans indiquer de dangereux retranchements parmi la population du pays, vont même jusqu’à affirmer que la plupart des Américains pensent que les manifestants sont des « idiots ».
De plus, il y a une scission politique au sein du pays entre les gouverneurs Démocrates, qui cherchent à prolonger le confinement par tous les moyens, et les Républicains, qui devraient respecter l’échéancier donné par Trump. Le Ministre de la Justice Bill Barr a donné l’ordre aux procureurs des États-Unis de veiller à ne laisser passer aucun abus de pouvoir de gouverneurs, particulièrement concernant les libertés religieuses des citoyens. Dans certains états en effet, les rassemblements dans des mosquées ont été interdits alors que d’autres types de réceptions ont été autorisés, provoquant le sentiment légitime d’être victimes de discrimination de certaines communautés. Ce climat de tensions autour de la crise liée à la pandémie du coronavirus est pour le moins propice aux débordements nécessitant l’intervention des forces armées et aux troubles sociaux. Les premiers messages de Q dépeignent exactement ce type de situation. Incompris lors de leur publication, se peut-il qu’ils aient en réalité fait référence à des événements à venir ?
Il est dit dans le message de Q plus haut, que les membres de sa communauté analysèrent comme faisant référence aux événements se déroulant en Arabie Saoudite (avec des arrestations massives au moment de sa publication fin novembre 2017), que les masses ont tendance à paniquer dans de telles situations mais que les guerres sont ainsi évitées, ainsi que les troubles civils, lorsque des opérations sont menées de manière « propre et rapide ». Certes, dans le message 88, Q révélait que c’était bien en direction de l’Arabie Saoudite qu’il fallait regarder au moment de sa publication : « Le focus était sur les États-Unis aujourd’hui alors que les événements réels dans le même contexte se passaient en Arabie Saoudite (contrôle militaire, loi martiale, frappe de missiles (renégats), etc.). », toutefois Q précisait que le même contexte serait à venir aux États-Unis.
Dans le message numéro 3, Q se faisait plus précis:
[…]
Ce n’est pas entre républicains et démocrates à ce niveau.
[…]
Pourquoi la Garde Nationale est-elle appelée dans 12 villes ?
Faites confiance à votre Président.
Que Dieu vous bénisse, Patriotes.
Il est confondant d’observer que, bien que le message ci-dessus date de fin octobre 2017, la Garde Nationale a précisément été déployée dans douze villes en réponse à la pandémie du coronavirus fin mars 2020 (et jamais auparavant sous Trump) comme le rapportait un article de USA Today.
Il en va de même des références à des mises en accusation prêtes à être descellées. Dans le post 4, Q écrivait :
Certains d’entre nous jettent ici des miettes, juste des miettes.
Le président est 100% isolé — toute discussion suggérant qu’il est même une cible est fausse. Le président ne s’adressera pas à la nation sur aucune de ces questions car les gens commencent à être inculpés et doivent rester neutres pour des raisons optiques pures. Dire que c’est un plan est faux et devrait être une question de bon sens. Concentrez-vous sur l’intelligence militaire / les secrets d’État et pourquoi cela pourrait-il être utilisé contre une agence de renseignement. […] Encore une fois, il y a beaucoup plus de bonnes que de mauvaises personnes, alors ayez la foi. Il s’agissait d’une prise de contrôle hostile d’un réseau maléfique de joueurs corrompus (pas seulement des démocrates).Ne vous trompez pas en pensant qu’Obama, Soros, Rothschild, Clinton, etc. ont plus de pouvoir aujourd’hui que le président.
Les patriotes sont en contrôle. Asseyez-vous confortablement et appréciez le spectacle.
Après avoir introduit le message en précisant que celui-ci n’apporterait que des « miettes » d’information, Q ajoute que le président est en lieu sûr et n’est pas la cible d’attaques. Il est dit qu’il ne s’adressera à la nation sur aucun des sujets débattus en ce moment car des personnes sont mises en accusation, afin de garder une position d’objectivité, suivant un plan clairement établi et rappelé maintes fois par Q stipulant qu’aucune date du début de la Tempête ne sera donnée pour des raisons évidentes de dissimulation de renseignements cruciaux au bon déroulement des opérations de l’intelligence militaire, et que celle-ci arrivera au moment des mises en accusation FISA (pour Foreign Intelligence Surveillance Application) (« […] Donne-t-on le calendrier à l’adversaire avec des dates spécifiques ? Pensée logique. Mises en accusation FISA = début (justice_publique). Q […] »). Or, courant avril 2020, l’équipe du procureur John Durham enquêtant sur le Spygate (espionnage illégal de la campagne Trump de 2016 par le FBI) s’étoffait pour inclure le responsable de la section des violences criminelles et trafics de drogues auprès du bureau du procureur de Washington, Anthony Scarpelli, ainsi que des agents du FBI supplémentaires, et confirmation était donnée par le Ministre de la Justice William Barr que la situation d’urgence de la pandémie du coronavirus ne changerait rien au calendrier prévu malgré l’approche des élections présidentielles de novembre 2020. Autrement dit, les mises en accusation seraient bien officialisées à la fin du printemps, voire au début de l’été 2020, soit durant la pandémie du coronavirus.
Le 12 mars 2019, Q publiait un message suggérant qu’une des premières mises en accusation pourrait être Barack Obama :
Le dévoilement des premiers actes d’accusation entraînera une « unité » et un « changement » — un « changement » auquel « nous » pourrons croire. Rendre le « POUVOIR » au PEUPLE. Ramener « L’ÉTAT DE DROIT » dans NOTRE PAYS. NOUS LUTTONS TOUS ENSEMBLE. NOUS SOMMES ENSEMBLE EN TANT QUE PATRIOTES.
Sans le nommer, Q fait clairement référence aux slogans de campagne d’Obama pour la campagne présidentielle de 2008 « Oui, nous pouvons » et « Nous croyons au changement ». Il apparaît qu’il soit nécessaire de rendre le pouvoir au peuple après les deux mandats de celui-ci, et notamment les crimes dont Obama se rendit coupable durant la campagne présidentielle de 2016, ordonnant la surveillance d’un candidat opposé comme le fit Nixon lors du Watergate, ce qui fait dire à Q qu’il est temps que la justice revienne aux États-Unis. Voir Obama faire l’objet d’accusations dans le cadre de l’affaire sur l’espionnage de la campagne Trump ne serait pas étonnant, comme le laissait présager le témoignage du directeur du Renseignement National James Clapper justifiant la surveillance de la campagne Trump par une simple obéissance aux ordres : « nous avons fait ce que le président Obama nous a dit de faire ».
Naturellement, il est probable que ces actes d’accusation n’affaiblissent la stratégie électorale du Parti Démocrate pour 2020, laquelle pourrait bien consister en une candidature « surprise » de Michelle Obama. En effet, Joe Biden est loin de faire l’unanimité dans le camp Démocrate : tout d’abord, il a montré des signes de fatigue, voire de démence, et les médias, mainstream y compris (malgré leur parti pris évident pour le camp Démocrate suggéré par plusieurs études et par Q, qui dresse la liste des nombreux journalistes mainstream ayant des liens de parenté avec des membres du Parti Démocrate) émettent tous des doutes sur sa capacité à diriger le pays, du Washington Post au Federalist. De plus, Biden lui-même et son épouse Jill ont fait des appels du pied manifestes en direction de l’ex-Première Dame. Trump, en conférence de presse, avait déjà probablement poussé Barack Obama à annoncer son soutien à Joe Biden, ce qu’il fit le 14 avril 2020.
Cependant, Q a déjà établi que si Barack Obama était mis en accusation, Hillary Clinton le serait tout autant de ce fait. Tout d’abord, dans l’affaire de l’espionnage de la campagne Trump, c’est bien Hillary Clinton qui paya pour obtenir le dossier Steele salissant Trump de manière mensongère, comme elle le confirma elle-même. Clinton est également justiciable dans une autre affaire notamment :
Pourquoi Hillary Clinton n’a-t-elle pas été poursuivie pour les courriels? En termes simples, Obama a finalement validé son utilisation d’une addresse e-mail non gouvernementale pour communiquer avec Clinton. Obama avait également un alias avec chacun des membres de son cabinet. Par conséquent, inculper Hillary conduirait à inculper Obama et son cabinet, etc., ce qui ne pourrait jamais se produire. N’oubliez pas qu’il a menti sur le fait de savoir, mais cela a finalement été révélé dans la décharge. Pouf!
Dans l’affaire de l’utilisation du serveur privé d’Hillary Clinton, qui était tout à fait illégale et exposait des secrets d’état alors qu’elle était Ministre des Affaires Étrangères, le directeur du FBI d’alors, James Comey, boucla vite l’enquête afin de lui laisser le champ libre pour la campagne présidentielle de 2016. Le fait qu’Obama communique avec Clinton sur cette même adresse mail confirmait sa connaissance de celle-ci et le rend coupable également, comme le confirme le rapport de l’Inspecteur général Horowitz.
Également, si Obama fait l’objet de poursuites dans le cadre de l’espionnage de la campagne de Trump en 2016, le financier George Soros devrait lui aussi être mis en accusation comme l’affirme Q suite aux déclarations du professeur de Droit d’Harvard Alan Dershowitz, qui déclara en février 2020 avoir des preuves qu’Obama lança l’espionnage de l’équipe de campagne de Trump à la demande de Soros.
Naturellement, les premières personnes visées par des mises en accusation seront probablement les directeurs et les agents des différentes agences de renseignement lançant les procédures menant à l’espionnage de la campagne Trump : John Brennan, alors directeur de la CIA, James Comey, du FBI et son adjoint Andrew McCabe, ainsi que Clapper du Renseignement national, tout comme certains de leur subordonnés à commencer par l’avocate du FBI Lisa Page et son amant Peter Strzok, qui tentèrent de mettre en place des garanties contre l’élection de Trump.
Pour preuve du genre de conduites criminelles qui furent adoptées par ces agences de renseignement avant et après l’élection de Trump, son proche collaborateur le général Michael Flynn, un temps pressenti comme vice-président, un Démocrate de tradition comme Trump, qui servit sous Obama avant de rentrer dans un conflit majeur avec celui-ci sur sa politique belliqueuse au Moyen-Orient, qui fut mis en examen après avoir fait l’objet de mandats de surveillance FISAfrauduleux, d’après le rapport l’Inspecteur général du Ministère de la Justice Horowitz, devrait être exonéré de toute poursuite début mai, après que 17 000 documents dissimulés par la première compagnie d’avocats à laquelle il fit appel, Covington and Burling, dans laquelle le Ministre de la Justice d’Obama, Eric Holder, est impliqué, ne soient produits, exposant que Flynn fut non seulement la victime de pratiques illégales du FBI mais de sa propre défense. Cela signifie qu’aucune charge n’est à retenir contre lui. Les enquêteurs du FBI ne peuvent pas en dire autant.
Dans le message 3717 du 17 décembre 2019, QAnon écrivait : « Le premier acte d’accusation [descellé] déclenchera un éveil de masse parmi la population. La première arrestation validera notre action et confirmera la direction future. Ils se battront mais vous êtes prêts. […] Q ». Il faudrait donc s’attendre, en ce qui concerne le premier acte d’accusation, à la mise en examen d’une personne ayant assez de notoriété pour déclencher un éveil populaire de masse, une arrestation ayant pratiquement la capacité d’éduquer les foules, de leur ouvrir les yeux quant à la criminalité exercée par les plus hauts échelons de l’exécutif et du judiciaire. La première arrestation aura le pouvoir de valider l’action menée jusqu’ici par le gouvernement Trump et de confirmer la direction future de celle-ci. Cependant, les personnes visées par les procédures se battront avec leurs armes, dont les médias mainstream, il est donc possible que de la désinformation soit encore diffusée. Mais les membres de la communauté de Q seront prêts, préparés à remettre en cause le récit des médias et à faire leurs propres recherches à partir des suggestions de Q.
Du côté sanitaire, début avril, Fox News affirmait que des avertissements d’ambassadeurs auprès du Ministère des Affaires Étrangères datant de janvier 2018 concernant la sécurité des laboratoires de Wuhan et les risques pris par des scientifiques expérimentant sur des chauves-souris avaient été émis. Le général Milley, chef interarmées, affirmait alors s’y intéresser de près mais ne pouvait à ce moment de ses recherches conclure à une fuite provenant des laboratoires concernant le début de la crise épidémique du coronavirus. Le Royaume-Uni annonçait que la possibilité que le virus ait pu provenir d’un laboratoire n’était plus exclue.
On a également appris qu’un coronavirus fut volé par des scientifiques chinois au Canada. Dès 2012, un saoudien présentant des symptômes de toux, insuffisance respiratoire, fièvre depuis sept jours, non fumeur, était pris en charge à Jeddah par le Dr. Zaki, qui diagnostiqua un coronavirus jusqu’alors inconnu dans ses poumons. Il dut demander l’aide du Dr. Don Fouchier du centre médical Erasmus de Rotterdam au Pays-Bas. Celui-ci l’aida dans ses recherches et c’est alors que le Dr. Frank Plummer du Laboratoire National de Microbiologie de Winnipeg au Canada acquit un échantillon de ce coronavirus en 2013. Au sein de cette même unité, l’Agence canadienne de l’alimentaire et le Centre national des maladies animales étrangères conduisirent des expériences avec le laboratoire visant à savoir quels espèces animales pouvaient être contaminées par ce virus. Pour preuve de sa haute qualification dans ce champ, le L.N.M. de Winnipeg était déjà parvenu à séquencer le SRAS et un autre coronavirus (NL63) en 2004. Le laboratoire, qui est l’un des seuls laboratoires de niveau 4 d’Amérique du Nord qualifié pour manipuler Ebola ou les coronavirus, fut en 2019 victime du vol de ce même coronavirus par des scientifiques chinois. Cela mena au renvoi d’un groupe de virologues chinois, dont le Dr. Xiangguo Kiu, accusée d’être un agent de guerre biologique chinois. Entre 2017 et 2018, elle se rendit au moins cinq fois au Laboratoire de bio-sécurité national de Wuhan d’où le coronavirus provenait vraisemblablement en décembre 2019. Début février 2020, le Dr. Frank Plummer du laboratoire de Winnipeg mourût dans de bien étranges circonstances suggérant l’assassinat, au Kenya.
Une autre hypothèse était formulée par le Pr. Luc Montagnier, prix Nobel en 2008, qui parlait d’un « agent pathogène issu de manipulations génétiques dans un laboratoire de Wuhan où des chercheurs auraient tenté d’utiliser un coronavirus pour mettre au point un vaccin contre le Sida».
Bien que la Chine nia que le virus ait accidentellement échappé au laboratoire, peut-on la croire sur parole alors qu’il est avéré que l’Institut de virologie de Chine conduisît en 2019 une recherche sur la relation entre les chauve-souris et le coronavirus, dirigée par Mme le Pr. Zhengli Shi ? De plus, il est clair que la Chine tente de cacher les travaux du laboratoire de Wuhan, tandis que le gouvernement Trump tente lui d’enquêter sur celui-ci. Le groupe américain Freedom Watch a lancé des poursuites contre la Chine pour utilisation d’arme biologique, requérant plus de vingt billions de dollars de dommages et intérêts.
Côté américain, le Dr. Fauci, tout comme le Dr. Deborah Birx, sa collègue du CDC américain (Center for Disease Control and Prevention), qui font tous deux partie de la commission de travail sur le coronavirus de la Maison Blanche, sont des proches de Bill Gates, de George Soros et des Clinton de très longue date. Fauci était impliqué dans le Plan d’action pour la vaccination mondiale initié par Gates en 2010 en partenariat avec UNICEF, la Fondation Gates, l’OMS et l’Institut national de maladies allergiques et infectieuses qu’il dirigeait alors. Il fait partie du conseil directeur de la Fondation Gates et est lié au philanthrope George Soros. Le mari de Birx, Paige Reffe, travailla pour le président Bill Clinton. Trump, qui s’en est déjà pris à Soros, ne peut ignorer cela. Garderait-il ses ennemis proches afin de les tenir sous contrôle le temps nécessaire à ce que le public les démasque et demande leurs têtes ?
Le laboratoire pharmaceutique détenu par George Soros, Wuxi AppTech, partenaire de Gilead Sciences qui lui appartient également, travaillent à l’élaboration d’un vaccin contre le nouveau coronavirus avec la firme chinoise BrightGene Bio-Medical Technology à partir du médicament Remdesivir, produit de Gilead. Gilead appuie également le groupe fabriquant de médicaments génériques redistribués en Afrique, mais également en Chine, UNITAID, lequel bénéficie du soutien de l’OMS et du label de l’ONU. Ses investisseurs sont…George Soros et la Fondation Gates en partenariat avec le Clinton Health Access Initiative. UNITAID et Gilead ont d’ailleurs contribué à la campagne électorale de 2016 d’Hillary Clinton. Il apparaît donc que la Chine détient la patente qui lui permet de mettre en fabrication le vaccin ainsi que les faveurs qui lui permettent de le distribuer à la population chinoise à bas prix. Son gouvernement travaille même à des tests cliniques avec Gilead. Les occidentaux, exclus de ces arrangements, vont-ils se retrouver économiquement otages d’un impérialisme chinois ?
Trump et QAnon ont à de nombreuses reprises accusé Hillary Clinton et le gouvernement Obama d’avoir vendu des secrets d’état à la Chine : « […] Hillary Clinton se soucie-t-elle vraiment de vous ? Si elle se souciait de vous protéger, vendrait-elle les secrets américains et son uranium la Chine/Russie ? [Ex.1] […] »,
Pourquoi la Chine / le Qatar donnent-ils d’énormes sommes d’argent à nos établissements d’enseignement?
https://finance.yahoo.com/news/harvard-leads-u-s-colleges-received-100000585.html📁
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https://www.justice.gov/opa/pr/harvard-university-professor-and-two-chinese-nationals-charged-three-separate-china-related📁
Est-il vraiment si difficile de croire que des acteurs étrangers sont capables de soudoyer ceux qui occupent des postes clés aux États-Unis pour trahir leur pays?
Le lien renvoie à l’affaire menant aux arrestations du Pr. Lieber de l’université Harvard et de deux citoyens chinois mentionnés dans mon dernier article. Un autre lien, erroné ou n’étant plus actif, renvoyait à un article de Bloomberg intitulé Harvard Leads US Colleges That Received 1 Billion from China, qui rapporte le financement à hauteur d’un milliard de dollars depuis 2013 provenant du gouvernement chinois et injecté dans le système éducatif américain, particulièrement en rapport avec Harvard. Ce qui est suggéré par Q est naturellement l’infiltration de pouvoirs étrangers amoindrissant la souveraineté américaine.
Retrouvez moi sur Twitter @MaximeSerri
Ma chaîne YouTube pour les vidéos (je suis pas un pro mais ça aide à comprendre la présidence Trump contre l’État Profond autrement que dans les médias mainstream) : https://www.youtube.com/channel/UC5NUFrZKZ-5cqte6VSWJmcw/videos
Mon roman, « Un Nouveau Cycle (Vers un éveil de l’humanité) », plus romancé et moins technique mais ouvert vers d’autres sujets extraordinaires comme les civilisations anciennes) : https://www.edilivre.com/rencontre-avec-maxime-serri-auteur-de-un-nouveau-cycle-vers-un-eveil-de-lhumanite/
Enfin, un grand merci aux deux super potes qui m’ont poussé à écrire cet article, c’est de la divergence de points de vue, de la différence et de l’acceptation de celle-ci que vient la vraie tolérance, la vraie écoute et la vraie harmonie sur Terre.
Beaucoup de choses interessantes dans cet article, mais SVP arrêtez avec cette Shoa. Déjà ca commence avec ça comme exemple et en expliquant que c’est avéré. Commencez par vous interesser à ce sujet avec autant de passion que sur la politique de Trump et vous verrez qu’il n’y a uniquement… Lire la suite »