Les rapports Kinsey – 1948 pour l’homme et 1953 pour la femme – firent dans les années cinquante scandales aux Etats-Unis. Le scientifique – Albert de son prénom – y démontait à peu près tous les interdits des sociétés traditionnelles en matière de sexe, depuis l’homosexualité, selon son rapport bien plus fréquente qu’on ne le disait, jusqu’à la sexualité des tous jeunes enfants, à propos desquels il supervisa – et plus encore vu ses affinités – des expériences de masturbation sur des bébés âgés de deux mois.

Ces rapports qui sont devenus la Bible de tous les défenseurs de la libération des mœurs – mouvements LGBT, théorie du genre, cours d’éducation sexuelle dès le plus jeune âge – se sont vus à de très nombreuses reprises totalement détruits dans leur fondation scientifique et ce sur de très nombreux angles. A titre d’exemple, l’échantillon pris pour étudier la sexualité masculine comprenait 25% de détenus dont 60% pour des crimes sexuels. Difficile à partir d’un échantillon pareil d’extrapoler à toute une population, pourtant Kinsey le fit en parfaite connaissance de cause.

C’est sur ces rapports que s’appuient, par exemple, l’ONU ou l’Union Européenne pour imposer subrepticement un glissement dans la dictature de l’hyper-sexualisation allant jusqu’à une obligation aux parents de laisser les états intervenir directement dans l’embrigadement des tous jeunes enfants dans l’apprentissage du sexe. Des cours de masturbation sont au programme et les enfants seront à terme incités à jouer au docteur, et ce dès l’âge de 4 ans, à compter de la rentrée 2018 en France. Déjà les livres conseillés par les rectorats regorgent de sexualité, je pense à « Tous à poil », pour des 8 à 10 ans, ou on y voit des grands-mères, des policiers et des parents se dévêtir. Il se peut que la rentrée 2018 soit comme on dit un galop d’essai, c’est-à-dire que les thèmes proposés, propres à massacrer l’identité des tous jeunes à peine formée, apparaissent progressivement. Nous pouvons faire confiance à ces pervers pour ne pas mettre toutes leurs cartes sur la table à compter de la première année. Mais nous avons bien compris le sens profond de l’affaire.

Alfred Kinsey, pseudo scientifique et authentique imposteur, était surtout pédocriminel et sataniste, dans le droit fil d’un Alistair Crowley. Son rapport visait à rendre à défaut de légal possible et bien vu par une société non seulement la sodomie, mais la bestialité et la pédophilie. 70 ans après la publication de ses deux torchons archi-toxiques, la France, El Dorado par excellence des pédocriminels – infiltrés dans la haute finance, la magistrature, la politique, le divertissement, les affaires, les hauts gradés de la gendarmerie, de la police et de l’armée, bref, partout -, s’apprête à faire rentrer grâce à la Loi Schiappa le loup dans la bergerie. Déjà l’âge du consentement sexuel n’existe plus, un enfant de 5 ans violé devra donc prouver face à son violeur qu’il n’était pas consentant, et le jugement sera laissé à l’interprétation du juge. Voilà comment, couplé à l’éducation sexuelle précoce, on prépare la chair fraiche.

Le système de croyance sataniste – parce que sous le vernis mensonger de la libération des mœurs, qui n’est que le trompe l’œil, ce qu’il convient de voir c’est ça et rien d’autre – dont la pédocriminalité est l’attribut numéro un, impose la destruction de tous les repères, et donc la destruction même de l’innocence par excellence qu’est l’enfance. Le bien, le mal, la morale, tout ça n’existe plus, ce sont les fondations mêmes qui sont attaquées puis piétinées, au grand dam d’adeptes du viol et du sacrifice humain d’enfants – bébés compris.

Les témoignages d’enfants rescapés de ces rituels atroces ou l’on viole en série puis on massacre des tout petits abondent sur le net, et il faut avoir le cœur bien accroché pour regarder cette réalité en face. C’est à mes yeux, sans en faire une obsession paralysante, une absolue nécessité pour tout adulte, parent ou non, de la connaitre, afin de la dénoncer et de soustraire l’enfant, tous les enfants, autant que possible tout du moins, de ça. Car l’enfant, l’innocence de l’enfant, la beauté et la pureté de l’enfant, cela, cela que nous fumes, cela est sacré au-delà-de tout. Au-delà, très au-delà de nos opinions différentes et de nos vies parfois bousculées.

https://www.dailymotion.com/video/xosgcc

source:Aphadolie

Christophe Cros Houplon


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6 Commentaires
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Joaquim
Août 21, 2018 10:31 pm

Bonjour, je suis allé lire la loi Schiappa sur le site Legifrance. Il n’est pas si facile de distinguer le loup dans la bergerie… Surtout quand il est écrit ceci : « Lorsque les faits sont commis sur la personne d’un mineur, la contrainte morale mentionnée au premier alinéa du… Lire la suite »

christian mangin
Août 27, 2018 2:21 am
Répondre à  Joaquim

C’est exactement le même texte qui était sorti en 2010 et qui, visiblement a été rejeté (à vérifier sur le code pénal nouvelle version)… La seule différence est l’âge retenu qui est passé de 18 ans à 15 ans….Mais qui, selon la logique, devrait être de 13 ans (bref! on… Lire la suite »

perroquet
Août 21, 2018 9:52 pm

l’information a circulé sur msn – de nombreuses personnes ont vu ces informations et les doutes quand aux nouvelles lois – ça ne passe pas inaperçu 🙂

Membre
joule
Août 21, 2018 8:45 pm
Membre
Cathy
Août 21, 2018 12:58 am

Il est inconcevable, avec les moyens d’information dont nous disposons aujourd’hui, que les parents puissent ignorer ces horreurs, à tel point que je me demande si cela ne serait pas le fait du déni ou de la simple lâcheté. Ne dit on pas souvent que l’instinct humain est de se… Lire la suite »

Membre
joule
Août 25, 2018 7:07 pm
Répondre à  Cathy

à réfléchir:
ce qu’est l’état de sidération