Selon la tradition chrétienne, l’auteur du livre de L’évangile selon Jean est l’apôtre Jean qui a écrit également le livre de L’Apocalypse selon Jean. Le début du prologue de l’évangile selon Jean commence par ces quelques mots: « Au commencement était la Verbe ». Si on analyse le mot « malédiction », nous trouvons que ce terme peut se comprendre comme « mal-édiction », où « mal » peut se comprendre par  le synonyme « erroné » et « édiction » par le « fait d’édicter une règle » (comme la règle d’un jeu, logique multivalente).

La volonté des Anunnakis d’avoir engendré une espèce non native sur Terre par hybridation a généré une mal-édiction (règle erronée superfétatoire à la règle d’origine de base du phylum planétaire) dans la sphère spirituelle de la planète. Cette mal-édiction est tout particulièrement à l’origine du problème actuel de négativité globale de la sphère spirituelle (Apocalypse selon Jean) qui s’exprime par un système de mal-édictions permanentes sur Terre pour générer des flux positifs de pensées par la religion (prière) et contrebalancer en définitive la mal-édiction originelle dont les Anunnakis et ethnies associées sont l’objet depuis leur faute originelle. Par leur ancienneté au regard de l’expansion du cosmos, la positivité de l’énergie spirituelle des prières bénéficie en premier aux Anunnakis dont leur existence et leur présence sur Terre sont antérieures à toutes nos religions, ceci quelque soit le destinataire de ces prières dans notre sphère spirituelle. Par leur statut extrêmement élevé, ils se situent au-dessus de la position occupée par le messie chrétien. Ce système permanent de mal-édiction (c’est-à-dire de difficultés extrêmes d’existence sur notre planète dues à ce qu’on nomme la Cabale) provoque, par les lois de l’esprit, des bien-édictions (bénédictions) par les prières positives dont les Anunnakis sont réceptionnaires (leur sphère spirituelle est antérieure à la nôtre, nous sommes donc inclus dans celle des Annunakis). L’afflux d’énergie spirituelle positive vient alimenter les esprits des Anunnakis qui doivent être considérés littéralement comme nos créateurs et se redistribue dans les sphères spirituelles en contact avec celle des Anunnakis (ethnies associées au travers de la galaxie) dont la nôtre.

Ce mode opératoire définit ce qu’on peut qualifier de « crime d’univers », dans lequel la Cabale terrestre humaine qui opère dans la sphère spirituelle globale de notre planète se fait exploiter (sur le mode de l’esclavagisme) par des ethnies extraterrestre en se réduisant dans ces circonstances à un « fournisseur de prestations » qui se fait autant (et même plus, sous certains aspects en tant que collaborateurs dévolus) exploiter que ceux que cette Cabale asservis, c’est-à-dire tous les humains de la Terre.

Le système spirituelle de notre planète se réduit alors  à un « accumulateur d’énergie spirituelle positive » disponible pour toute civilisation désireuse d’améliorer l’évolution de leur sphère spirituelle quelque soit la position de leur planète dans la galaxie. Quelques soient nos actions dans le paradigme actuel de notre civilisation, chaque habitant de la planète (y compris la Cabale humaine) ne fait que contribuer malgré lui à sa propre situation tant qu’il ne se pose pas les bonnes questions pour changer le paradigme en cours, paradigme qui doit s’achever obligatoirement à la période de l’apocalypse. S’il ne finit pas, la Cabale s’expose à deux options. Soit le pourrissement planétaire : elle sera obligatoirement perdante en jouant le jeu des Anunnakis et ethnies associées, êtres exobiologiques décédés ou vivants, dans leur expérimentation (voir l’article « Invasion extraterrestre : la vérité sur sa vraie nature et comment la contrer ») et leur utilisation de notre sphère spirituelle planétaire. Soit l’Apocalypse biblique : elle ne sera obligatoirement pas gagnante en ne faisant que faciliter la politique de la « terre brûlée » pour une future « tera formation spirituelle » de notre sphère et en sera exclue par définition. Ces options ne pourront servir qu’à maintenir notre planète dans l’esclavage de tout Homme sans la moindre exception au profit des Anunnakis et ethnies associées.

Les ethnies présentes en permanence depuis longtemps sur Terre sont obligatoirement complices et méritent le même sort que les Anunnakis: la disparition physique finale et définitive de ces ethnies sur notre planète par tous moyens appropriés.

L’article suivant du site Le nouvel ordre mondial permet de faire le lien entre les propos précédents et ce qu’on nomme « paradoxe de Fermi ».

https://www.nouvelordremondial.cc/2018/06/01/des-millions-de-civilisations-extraterrestres-ont-ete-detruites-par-des-ordinateurs-extraterrestres-qui-se-repandent-dans-lespace/

Selon cet article, Alexander Berezin, de l’université nationale de recherche sur les technologies électroniques en Russie, affirme dans un article :

“Je ne suggère pas qu’une civilisation très développée détruirait consciemment d’autres formes de vie.”

Cela peut effectivement être un mécanisme qui relève entièrement de la « mécanique » des sphères spirituelles planétaires (non consciemment réalisé). Autre extrait :

“Il est fort probable qu’elles ne s’en apercevront tout simplement pas, de la même façon qu’une équipe de construction détruirait une fourmilière pour construire un bien immobilier parce qu’ils n’ont pas d’incitation à la protéger.”

En effet, la logique multivalente autorise pleinement l’absence d’une telle conception chez les civilisations exobiologiques.

Ce chercheur base sa théorie sur le paradoxe de Fermi qui peut également être considéré comme la conséquence de la discrétion volontaire des civilisations exobiologiques à notre égard, discrétion motivée par leurs agissements.

A défaut de mettre fin à un tel crime d’univers, l’issue inévitable sera l’aboutissement néfaste d’une apocalypse (« révélation ») négative : une fin de civilisation scellée par un Jugement Dernier (Apocalypse de Jean).

Jeu et expérimentation relèvent d’un cadre de pensées ayant les mêmes caractéristiques, quelque soit la logique à laquelle on se réfère, mais particulièrement en logique multivalente qui est une logique tétravalente circonstanciée au libre arbitre. Lorsque l’esclave ne fait que jouer le jeu, le maître continue d’expérimenter à sa convenance, telle est la différence…


Ma playlist de méditation que vous pouvez entendre aussi en cérémonie :
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1 Commentaire
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Alfred BORDEAU
Juin 3, 2018 7:36 pm

Je trouve votre site trés agréable à lire bravo