Il n’existe pas une logique mais des logiques. Celle que tout le monde utilise quotidiennement est désignée sous le terme de logique bivalente. Une rupture de perception de la logique ordinaire est nécessaire pour concevoir une logique plus vaste. La logique qui va au-delà du monde physique perceptible avec nos sens est la logique nommée logique tétravalente. Elle permet la compréhension fine de notre monde physique et spirituel en définissant des valeurs de base qui sont une généralisation de la notion de vrai et de faux. Cette généralisation ouvre la porte à ce qu’on nomme « cybernétisme » logique où le vrai et le faux apparaissent en tant que valeurs numériques (l’équivalent de 0 pour « faux » et de 1 pour « vrai ») sous la forme d’une structure algébrique désignée en mathématique par le terme de matrice. Ce sont ces matrices qui structurent les opérations de traitement des valeurs logiques.

Cet article est destiné aux lecteurs désireux de comprendre l’origine du concept de réalité holographique conçue en termes de matrices à niveaux de réalité superposés. Cette « matrice physico-spirituelle globale » qui définit le cadre de la réalité doit se comprendre comme un emboîtement de matrices représentant successivement différentes logiques mathématiques. C’est de cet emboîtement qu’émerge la notion de fractalité dans notre réalité, concept qui consiste à dire que quelque soit l’échelle à laquelle nous observons la réalité (de l’infiniment petit à l’infiniment grand), elle est structurée de façon identique. La notion d’holographie a pour origine l’indépendance de la notion de distance ou d’écoulement du temps entre des événements qui ont lieu dans notre univers. Cette absence de causalité dans l’espace et le temps est à la source du phénomène d’holographie. Dans le modèle matriciel décrit dans cet article, l’holographie provient des matrices de logiques supérieures à la logique tétravalente. Elle peut être de nature physique : violation du principe de causalité (tétravalence en mécanique quantique) dans des expériences portant sur le comportement des photons du physicien Alain Aspect (mais conservation d’un principe de finalité en logique supérieure), ou de nature spirituelle, comme la notion de synchronicité. A chacune des logiques matricielles correspond ainsi un « niveau de réalité » différent.

Les matrices sont des structures mathématiques facilement généralisables. Nous pouvons imaginer que la logique tétravalente n’est pas nécessairement la logique ultime de la nature. Il est en effet possible de définir une succession de logiques qui s’imbriquent les unes dans les autres en laissant la plus simple inchangée lorsqu’on passe à la logique supérieure. Du fait de la correspondance entre mathématique et physique, à chaque niveau de logique doit correspondre une réalité spirituelle et physique incluant les dimensions de l’espace dans lequel nous vivons. En logique bivalente, la physique nous avait appris que notre monde pouvait être décrit par 4 dimensions, celles de la théorie de la relativité. Dans un espace-temps fondé sur une structure logique tétravalente, la dimension de notre espace passe à 5 dimensions, où cette dimension supplémentaire est une dimension qui intègre à l’espace et au temps le contenu de l’espace, ce qui permet de définir une structure de base de la réalité (comme la scène vide d’un théâtre) où sont intégrées toutes les interactions physiques de la nature dans une seule formulation physique et mathématique (les acteurs d’une représentation) : la scène préfigure la pièce qui s’y joue. En mécanique quantique, les physiciens définissent le comportement de la matière par des probabilités qui acquièrent une signification géométrique par la logique tétravalente.

Alternative et finalité.Intention

La logique qui généralise la logique tétravalente se nomme logique octavalente. Avec cette logique, nous passons des probabilités à la notion de pré-probabilité. Dans ce niveau de réalité physique, l’espace est encore à 5 dimensions et permet de décrire toutes les propriétés des galaxies, car les notions de probabilité (destin et ses aléas chez les êtres humains) et de causalité conservent encore un sens. La logique octavalente est la logique de base réunissant esprit et matière, où la notion de pré-probabilité décrit des alternatives intégrant tous les schémas de réalités possibles d’énergies potentielles complexes (au sens mathématique) qui correspondent, à un niveau inférieur d’existence à un seul scénario de réalisation effective, la causalité faisant place à la notion élargie mais moins précise de finalité dans la logique octavalente. Ces alternatives permettent de donner une forme pour l’expression du libre arbitre défini à un niveau supérieur de logique. A l’alternative est associée en valeur conjuguée la finalité ou encore la prédestination, qui est une intention de destin (pré-probabilité) susceptible en permanence de changements contrairement au destin qui est la forme d’existence exprimée dans la réalité matérielle.

Scénario et choix.Volonté

A chaque élévation de la complexité de la logique, les propriétés mathématiques des matrices deviennent de plus en plus lacunaires. En mathématique, ces pertes de propriétés sont bien connues entre la structure algébrique dite des quaternions, formulables en termes de matrices, et celle des nombres de Clifford (généralisation maximale des quaternions). C’est cette perte de propriétés qui permet l’apparition de « degrés de liberté » spirituels. Si nous essayons de construire une logique supérieure, la logique 16-valente introduit plus de degrés de liberté spirituels et une perte descriptive physique dont l’origine est due à une perte de propriété mathématique des matrices de la logique. Cette logique inclut « l’absence de valeur logique contraignante» comme étant aussi un état logique. En désignant cette absence par le terme général de « choix », la valeur conjuguée sera la volonté qui est la valeur spirituelle nécessaire pour effectuer un choix. Ainsi nous pouvons comprendre la notion de choix comme l’expression directe du libre arbitre. Cette perte de propriétés physiques explique la simplification de la structure de la matière à grande échelle du cosmos, lorsque l’on passe de la structure complexe d’une galaxie à la distribution de la matière en terme d’amas (regroupement) de galaxies.

Hypertélie et croyance ou l’existant et l’inexistant : le néant existe et n’existe pas en même temps

La logique de l’univers dans son ensemble est la logique 32-valente, qui représente essentiellement les potentialités structurelles d’un cosmos en particulier, où les termes physiques et spirituels s’expriment dans l’essence par le concept de « jauge » utilisé en physique et permettant de comprendre un système physique par ses propriétés d’invariance. Ce concept permet également de comprendre les propriétés spirituelles d’un cosmos. La nature fractale de la réalité qui consiste en un emboitement successif de matrices de logiques de moins en moins contraignantes donne sa structure à l’univers dans son ensemble. C’est la succession des schémas de ces matrices qui sert d’encodage structurel aux réalités physique et spirituelle.

La structure de la matière à l’échelle de l’univers se réduit à une répartition sous forme de filaments de galaxies. Elle est la trace au niveau de l’ensemble de l’univers de l’existence d’autres univers associés au nôtre tels que l’ethnie exobiologique des oummains nous l’apprend dans les textes qui nous ont été transmis. Ce modèle comporte quatre univers : notre cosmos, un univers jumeau d’antimatière (théorie du scientifique Jean-Pierre Petit) ainsi que deux univers spirituels, totalisant un ensemble de 10 dimensions. La logique 32-valente est à la frontière physique et spirituelle de tous ces univers. La structure filamentaire de la matière représente l’expression d’une « tension de surface multi-univers ». L’intersection de ces filaments de galaxies engendre les amas, ce qui correspond spirituellement à une décroissance de logique : les intersections se structurent par la logique 16-valente.

L’univers dans son ensemble comporte 4 “sous-univers” dont notre cosmos physique. L’échelon fondamentale de l’univers qui héberge la vie (galaxie) se fonde sur la logique octavalente. Ce sont les variations structurelles physiques de cette logique qui définissent si la vie peut se développer (conformément aux indications des documents oummains qui affirment que dans l’univers jumeau, il n’existe pas de structure galactique de la matière qui est sous forme nébuleuse). En prenant ce niveau de réalité comme unité logique élémentaire de la logique 32-valente, nous pouvons définir si chaque sous-univers peut accueillir la vie physique ou non, telle que 4 fois la structure 8-valente (octavalente) donne la 32-valence.

Spirituellement, nous pouvons comprendre le choix en logique 16-valente comme une forme réduite (en langage scientifique, on parlerait de forme « dégénérée ») de la notion de croyance qui émerge en 32-valente. A la croyance, nous aurons comme valeur conjuguée le « dépassement, mutuel, de la physique matérielle (ce dépassement est du « faux » physique) pour devenir manifestation de l’esprit (avec également la notion de divinité) et inversement  » ou, plus brièvement « hypertélie », la croyance pouvant être considérée comme l’hypertélie de la pensée de type scientifique en tant que mode de réflexion (et inversement). L’esprit existe en tant que structure énergétique parallèle au cosmos et à son univers jumeau d’antimatière sous la forme d’une paire d’univers dévolue à ce phénomène énergétique, qui est « improprement physique ».

Cette logique 32-valente peut se comprendre aussi en tant que valeurs spirituelles d’existant et de non-existant, où il est possible d’associer (dans ce cadre précis) arbitrairement à la valeur « inexistant » la croyance et à l’ « existant », l’hypertélie : ainsi du néant physique naît le cosmos, ce qui définit la notion de pensée scientifique. Inversement, si nous associons la valeur « existant » à la croyance et « inexistant » à l’hypertélie, nous définirons la pensée religieuse : de la divinité naît le cosmos. Ces deux pensées sont donc duales dans le cadre très général de la logique 32-valente.

Réalisation effective de l’effet Mandela par la logique octavalente et son origine 16-valente. Faille de liberté de choix.

Ce qu’on désigne par effet Mandela est le souvenir d’un événement qui s’est réalisé et qui peut être partagé entre plusieurs personnes mais qui ne correspond plus à un événement vérifiable dans la réalité matérielle (restauration de la liberté de choix d’existence ou de non-existence d’un événement source ou causal). Cet effet est très apparenté au phénomène du « sentiment de déjà vu » (mais avec l’impossibilité de restaurer la liberté de choix : il n’y a alors pas de choix possible) définit par une sensation de souvenir apparaissant à l’esprit de l’observateur qui se réalise effectivement de façon simultanée dans le moment présent. Dans ces événements, nous sommes en présence de l’existence de ce qu’on nomme en physique quantique « une faille de liberté de choix » (mécanisme non quantique permettant de prouver l’intrication quantique). Cette faille représente la possibilité de choisir une cause en fonction de l’effet désiré, qui en physique équivaut à ce qu’une particule puisse choisir la mesure qu’elle doit subir ! Dans le premier cas, nous avons une ligne de faille entre deux points dans le temps. Dans le second qui constitue un cas particulier de l’effet Mandela, cette ligne temporelle de faille se réduit à un point de faille de liberté de choix. Choix et non-choix se réfèrent à la nature 16-valente des phénomènes.

La découverte de la réalité de l’intrication quantique (lien entre particules indépendant de l’espace et de temps) à très grande échelle est récente. Des expériences utilisant des observations astronomiques ont montré une absence de causalité physique dans la description des phénomènes analysés, par la mise en évidence de l’existence de l’intrication sur des distances spatiales et de l’intrication sur des intervalles temporels. Le phénomène d’intrication spatiale était déjà bien connu dans le monde de la physique quantique avec les expériences du physicien Alain Aspect mais la constatation de sa réalité à très grande échelle et de l’existence de l’intrication temporelle dans le cosmos constituent des éléments supplémentaires dans la compréhension globale du fonctionnement de notre univers. L’article suivant concerne l’intrication quantique et la faille de la liberté de choix :

https://actualite.housseniawriting.com/science/physique/physique-quantique/2017/02/08/lintrication-quantique-prouvee-par-la-lumiere-des-etoiles/20515/

Selon cet article, l’intrication quantique est donc structurelle (c’est une propriété du monde physique) et ne dépend pas de l’existence d’une faille de liberté de choix. En fait, cette liberté de choix peut s’intégrer formellement aussi dans la théorie quantique de base par la logique 16-valente rendant fondamentalement indépendants les concepts d’intrication quantique et de faille de liberté de choix mais les liant dans une réalité plus réduite à 4 dimensions telle que la nôtre.

A propos de l’intrication temporelle et de toute future métaphysique :

https://actualite.housseniawriting.com/science/physique/physique-quantique/2018/02/07/deroute-par-lintrication-quantique-lintrication-temporelle-est-bien-pire/25809/

L’effet Mandela et le « sentiment de déjà vu »  ne sont que l’illustration dans la vie humaine de cet effet extrêmement rare où à la causalité physique se substitue une finalité (logique octavalente) qui est moins contraignante et vient constituer une bifurcation (changement d’alternative de réalité) dans le monde macroscopique.

Le fait qu’une faille de choix en mécanique quantique ne puisse structurellement jamais être entièrement refermée (par les lois de la statistique) s’inscrit dans le même cadre formelle que l’élargissement du réalisme local d’Einstein au travers d’un espace-temps étendu au-delà des 4 dimensions habituelles en y intégrant la logique multivalente (16-valente). Dans la synthèse des deux points de vue, celui d’une réalité strictement quantique et celui de la théorie de la relativité, le choix se substitue à la finalité qui remplace elle-même la causalité.

Un dernier article complétant les deux premiers concerne la faille de la liberté de choix et le réalisme local :

https://actualite.housseniawriting.com/science/physique/physique-quantique/2018/05/10/le-big-bell-test-une-intrication-quantique-a-grande-echelle-pour-tester-le-realisme-local-deinstein/26634/#La_faille_de_la_liberte_de_choix

Pourquoi l’effet Mandela peut-il se manifester de façon évidente ? Le monde physique est gouverné par les lois des statistiques mathématiques. Plus une statistique s’applique à un grand nombre (de particules de matière ou d’individus), plus des effets fins de cette statistique peuvent apparaître. C’est ce qui se passe par exemple au laboratoire suisse de physique des particules du CERN: pour découvrir de nouvelles particules (qui constituent chacune des événements physiques), il faut faire beaucoup d’expériences avec le plus grand nombre de particules possibles. L’effet Mandela est un effet de statistique dû à un changement de pré-probabilité et rendu effectif dans le cadre de la logique octavalente dont l’origine (logique 16-valente) peut être de nature physique ou spirituelle. Le fait que la population mondiale est très (trop) élevée favorise clairement cet effet dans la sphère spirituelle de notre planète. L’existence récurrente d’effets Mandela de toute nature est un très sérieux indice de saturation de la sphère planétaire à tous les niveaux de la société humaine. Idéalement, ce genre d’effet ne devrait pas pouvoir s’observer de façon si évidente…

Le contexte exobiologique de notre situation planétaire. Pourquoi intéresserions-nous une multitude d’ethnies restant officiellement en état de non-interaction avec la population mondiale. Une hypothèse statistique…

Au sujet de la surpopulation mondiale, l’ethnie exobiologique des oummains nous a révélé dans des textes diffusés sur notre planète que nous étions irresponsables (selon leurs termes) d’avoir atteint une trop grande population mondiale. D’autres ethnies exobiologiques qui, certainement pas par simple hasard, ont l’opportunité de profiter pleinement d’expérimentations se déroulant dans notre sphère spirituelle planétaire, où les statistiques mathématiques permettent la mise en évidence toute sorte de phénomènes spirituels pouvant se produire (en particulier par le mode général de réalisation effective que sont les « ruptures de protocole »). Des propos adéquats (ou idoines, si nous pensons en terme de pure logique cybernétique) auraient plutôt été de nous dire à nous, humains de la Terre, comment y remédier le plus rapidement possible, en ne se limitant pas à cette simple remarque sur notre irresponsabilité ! Les oummains pourront potentiellement aussi profiter dans un futur des avancées scientifiques obtenues puis communiquées par d’autres ethnies et dans le pire des cas, par certains humains de notre planète… Par cette dernière éventualité, les oummains seraient bien évidemment absouts de toute faute, selon les canons de la logique multivalente, comme les autres ethnies d’ailleurs. Un monde parfait serait un monde d’une grande stabilité par définition. Sommes-nous dans un monde…stabilisé (éventuellement d’une façon artificielle comme les oummains s’efforcent de le faire selon leurs propos en nous évitant des catastrophes boursières) ? Possiblement oui selon certaines ethnies : peut-être un monde parfait d’expérimentations spirituelles ! Les lecteurs les plus assidus qui auront lu l’ensemble de mes articles auront également compris l’ensemble de toutes les implications sur notre société de ce contexte exobiologique.

Qu’est-ce qu’une malédiction ? Le karma planétaire

Le fait que notre monde traverse à notre époque des difficultés, quelque soient leurs origines, provient obligatoirement d’un mauvais choix de jauge spirituelle. Cette erreur se situe dans la logique 16-valente dévolue aux choix appliqués à une galaxie considérée comme faisant partie d’un amas et dont les conséquences doivent s’observer dans le cadre de la logique octovalente dans au moins un système solaire particulier, pour des raisons autant physiques que spirituelles, les deux étant indissociables.

Ce mauvais choix spirituel, ou « mal-édiction », car l’édiction (énoncé de loi) se réalise dans les textes de tradition par l’usage du Verbe, provoque un mouvement de vortex de pensées de notre sphère spirituelle (voir l’article « Crop circle d’Avebury du 1er août 2012 : le Soleil noir et la svastika. ») et définit de façon réalisée dans notre monde ce qu’on peut nommer un « Mal absolu » (« absolu » en tant que loi a priori non dérogeable). Ce « Mal » est une résurgence excessive du chaos primordial sur notre planète constituant l’expression de cette malédiction. Pour y faire face et corriger cette malédiction, le seul moyen est de changer la jauge d’esprit responsable de cet état spirituel planétaire. Pour y parvenir, il faut appliquer la solution cybernétique consistant à se regrouper par similitude mentale (par compétence et par centre d’intérêt) et agir de façon constructive en usant pleinement de notre libre arbitre pour résoudre les problèmes engendrés par l’action dans notre réalité de la jauge erronée qui sous-tend notre sphère spirituelle planétaire. Cette action de correction ne pourra cybernétiquement qu’atteindre naturellement cette jauge pour l’annuler et changer sa valeur spirituelle avec une nouvelle jauge adéquate pour toute notre sphère spirituelle.

Cette malédiction planétaire, en correspondance des textes de traditions ésotériques et religieuses, constitue précisément l’objet du cabalisme actuel à l’époque de l’Apocalypse sur notre planète.


Ma playlist de méditation que vous pouvez entendre aussi en cérémonie :
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