2015 : année de Charlie, de la Chute ? + Analyse de “La Chèvre” de F.Veber

Depuis le 19 février 2015, la Chine est entrée dans l’année du YANG qui sera au choix celle de la CHÈVRE, du MOUTON, du BÉLIER ou du BOUC. Le mot « yang » ne désignant pas une espèce spécifique d’ovin ou de caprin.

2015, L’ANNÉE DE LA MALCHANCE ?

Les astrologues chinois tentent de démentir la croyance populaire voulant que l’année de la chèvre soit une année de malchance,le yang étant pour le peuple, synonyme de catastrophe.

De nombreuses femmes chinoises ont choisi d’accoucher avant terme afin que leur bébé ne soit pas du signe de la chèvre, car selon elles, ces enfants ont mauvaise réputation et sont enclins à des accès de mélancolie, risquant de minimiser leurs chances de succès dans la vie.

En France 2015 a débuté sous le règne de Charlie/Satan, en Chine c’est la Chèvre/Satan… on peut dire que ça commence plutôt fort.

Je me suis intéressée au film LA CHÈVRE grâce à un lecteur de mon blog qui a attiré mon attention dessus. Voyons donc ce que nous pouvons en déduire quant au sujet de la malchance et quant à la programmation mentale visée par ce film.

Film de Francis Veber, sorti il y a 34 ans, en 1981.

Dans sa version américaine le film s’appelle PURE LUCK (Chance pure/Danger Public) et dans sa version portugaise QUE O DIABO SEJA SURDO (Que le diable soit sourd).

Ce qu’on peut déjà constater, c’est que :

Chèvre, mouton, bélier, bouc, chance, malchance, tout ceci est lié à Satan.

La chance est effectivement elle aussi reliée à Satan, elle fait partie de ce monde de dualité. Dans un monde Unifié, il n’y a ni chance ni malchance, ni bien ni mal, il y a perfection.

Le film a pour sujet officiel LA MALCHANCE.

Une même phrase est reprise dans le film français et américain qui dit :

« C’est fascinant la malchance, fascinant ».

Fasciner vient du latin fascinare qui signifie charmer, jeter un sort. On comprend donc que nous sommes là dans un univers satanique.

Il nous est donné pour exemple la vie du peintre Eugène Delacroix . On dit de lui qu’il était poursuivi par la malchance. A l’âge de 3 ans, il se pend en jouant avec une cordelette de rideau.

On le sauve in extremis de la mort. Peu de temps après, la moustiquaire de son lit s’enflamme, ce qui le brûla gravement. On l’envoie en convalescence chez de la famille à Marseille, le domestique le laisse tomber à l’eau, on le repêche par miracle et on le ramène à la maison et il s’étouffe avec une grappe de raisin.

Tout va très bien Madame la Marquise….

Marie Bens est fille d’un riche homme d’affaires. Elle est décrite comme étant la femme la plus malchanceuse au monde. Or François Perrin (Pierre Richard) semble être le pendant masculin de Marie Bens, car il ne lui arrive que des déconvenues, si bien que suite à la disparition de sa fille, le père de Marie Bens va mettre François Perrin dans les pas de Marie afin de permettre de la retrouver car il semblerait que les malchanceux aient une conduite qui suive les mêmes schémas et d’une grande cohérence.

C’EST ÇA VOTRE MISSION ?

Demande Campana à Perrin, à 118mn53s

Et pour réponse nous voyons le Christ en train de chuter, n’étant plus retenu à la croix que par une main.

Dans les secondes qui suivent, c’est une statue de la Vierge Marie qui elle aussi est en position très penchéeque le film nous montre.

Le sujet non officiel c’est LA CHUTE perpétuelle.

Durant tout le film nous voyons Pierre Richard tomber sans cesse, et c’est au bout de plusieurs visionnages que j’ai réalisé qu’on nous disait que le sujet était la malchance, mais qu’en fait on y voyait surtout des chutes.

Comme toujours le synopsis annonce un sujet de film, notre conscience y croit mais c’est autre chose que reçoit notre inconscient. Je vous renvoie à mon article concernant le film La Grande bouffe, où je démontre que derrière ce titre, le véritable sujet traité est la pratique de la pédophilie.  http://wp.me/p4Bdxu-7a

Au début c’est Marie Bens qui tombe, puis c’est François Perrin et à la fin tous deux sont réunis afin de poursuivre la chute main dans la main. Symbolisme de Ève qui entraîna Adam, puis Satan imaginant qu’à la fin ils chuteront ensemble.

Dans les 6 premières minutes du film, chute du balcon, chute dans la rue lorsqu’on lui vole son sac, chute dans l’aéroport quand la porte ne s’ouvre pas…

Vient le tour de Perrin. Chute dans un trou, il tombe d’une chaise, chute lors d’une bagarre avec miroir brisé (superstition de 7 ans de malheur), s’enfonce dans les sables mouvants… tout au long du film c’est une répétition de chutes, parfois elles ne sont que suggérées, on en entend les bruits.

Voici ce que retient notre inconscient qui est à mettre en relation avec la Chute Biblique :

CHUTE = MALCHANCE

Or qui peut se targuer d’être aussi malchanceux que les protagonistes du film ? car on nous précise bien que tous les deux sont des cas exceptionnels, on ne peut donc en aucun cas imaginer être comme eux.

Pourrions-nous donc en déduire que nous sommes CHANCEUX ?… en conséquence aucun risque de chute pour nous ?

Pourtant le but de Satan est de continuer à nous faire chuter, alors que le film pourrait sembler se vouloir rassurant sur notre sort… nous allons voir qu’il n’en est rien et que la programmation mentale est très très subtile dans ce cas.

Maintenant que nous nous croyons être des chanceux, comment nous faire nous identifier à un malchanceux qui lui nous entraînera dans sa chute sans que nous nous en apercevions ?

Il va falloir pour cela que je vous montre quelle réalité a programmé ce film, relier ces événements avec l’attentat de Charlie Hebdo afin de voir et de comprendre qu’en fait nous sommes tous, ou presque tous, d’accord pour poursuivre la chute que nous propose Satan alors que nous nous imaginons chanceux.

QUEL ÉVÉNEMENT MONDIAL AVAIT PROGRAMMÉ LE FILM LA CHÈVRE ?

Tout comme pour le film Le Jouet qui préparait l’attentat de Charlie Hebdo, je vais vous monter que La chèvre annonçait quelque chose aussi.

Ce film se passe au Mexique avec des scènes à l’aéroport d’Acapulco et à la station balnéaire de réputation mondiale dePuerto Vallarta qui est la destination privilégiée des touristes homosexuels du monde entier.

L’homosexualité, la pédophilie, le racisme, comme tout ce qui est transgression est très souvent sous-entendu dans les films qui sont censés être regardés par les enfants.

Dans le film la fille de Bens se fait enlever et elle disparaît totalement. Ce n’est pas la police qui la recherche mais son père envoie un détective.

LES 43 DISPARUS D’AYOTZINAPA

Voici les événements réels qui se sont passés au Mexique il y a 5 mois :

Le 26 Septembre 2014, la police municipale de Iguala et Cocula au Mexique, a attaqué un groupe d’étudiants de l’ École normale rurale Isidro Burgos de Ayotzinapa. Le résultat : six morts, 25 blessés et 43 étudiants portés disparus. Depuis, grosse mobilisation mondiale pour demander transparence et justice.

Ce qui est à retenir n’est pas le nombre de morts ni de blessés car au Mexique et partout dans le monde les gens manifestent pour retrouver les 43 disparus.

Nous allons pouvoir comparer les images du film avec les photos mexicaines de cet événement tragique.

Les premières images du film sont celles d’un parachute ascensionnel rouge et blanc, nous retrouvons sur la vitre arrière de l’autocar des jeunes mexicains un ballon de la même couleur. D’autre part, la voiture de Perrin s’enlise sur le bord de la route, un peu à la manière du car accidenté.

Marie s’est retrouvée allongée au sol lors du vol de son sac, comparez les images :

Dans le film une récompense est promise à Perrin s’il ramène Marie à son père… au Mexique aussi il y a promesse de récompense.

Dans ce drame mexicain, les policiers ont tiré sur les étudiants. Les étudiants ont par la suite envahi l’aéroport d’Acapulco afin de le bloquer.

Une scène du film se passant dans l’aéroport nous montre le policier tirant sur des civils.

Afin de prouver que François Perrin est aussi malchanceux que sa fille, le psychologue d’entreprise qu’emploie Mr Bens lui propose un test. Ceci consiste à demander à Perrin de choisir un endroit autour d’une immense table entourée de chaises dont seulement une a un pied cassé.

Naturellement pour que le test  fonctionne il faut que Perrin choisisse lachaise branlante, et c’est ce qu’il fait.

Ce choix apporte, LA PREUVE de sa malchance.

Expérience qui peut nous amener à la Loi de Murphy, adage qui consiste à penser que tout ce qui peut mal tourner, va mal tourner.

Un des symboles des 43 disparus d’Ayotzinapa est lui aussi LA CHAISE

Dans le film c’est le père qui recherche sa fille, au Mexique aussi ce sont les pères de famille qui sont obligés de rechercher leurs enfants étudiants car la police et le gouvernement sont corrompus.

Des manifestations ont lieu dans des capitales du monde entier, bien sûr ça n’atteint pas les proportions de Charlie Hebdo, mais il y a des similitudes dont je vous parlerai un peu plus loin dans cet article.

À l’aéroport Perrin a eu sa valise très endommagée, alors qu’il la reprend, le tube de dentifrice a éclaté et il s’en met plein les mains.Un des symboles des disparus d’Ayotzinapa, est la main. Mains colorées de rouge ou mains appliquées sur les banderoles.

Lorsque Perrin ressort des sables mouvants, la situation l’amuse car il a perdu une chaussure.

Une caricature d’Ayotzinapa, mettant en scène le maire de la ville d’Iguala et sa femme qui sont impliqués tous deux dans l’affaire, nous montre une chaussure au milieu d’une flaque de sang.

Je pense avoir jusque là apporté assez de preuves indiscutables sur le rapport évident qui existe entre le film LA CHÈVRE de Francis Veber et les 43 DISPARUS D’AYOTZINAPA.

Maintenant, vous allez voir qu’il y a un lien, des liens, indiscutables eux aussi, avec l’affaire de CHARLIE HEBDO et « JE SUIS CHARLIE ».

TOUS LES CHEMINS MÈNENT À CHARLIE !

Les chemins sont détournés, un symbole en amène un autre, puis un autre et nous voilà incapables de voir ce que programme en nous le film en question.

Ici c’est la bouche de Mick Jagger qui va faire « tilt ».

Une scène du film, celle où il est question d’Eugène Delacroix, se passe devant un bar avec en arrière plan une vitrine et surtout un flipper Rolling Stones. Remarquez le G franc-maçon  mis en évidence et la grande bouche et comparez cette dernière avec Ayotzinapa.

Ayotzinapa nous renvoie donc inconsciemment aux Rolling Stones qui eux nous renvoient directement à Charlie !

“Charlie Is My Darling” : un documentaire sur les Rolling Stones, exhumé.

Il s’agit d’un documentaire tourné en 1965 alors qu’ils avaient une vingtaine d’années.

La productrice précise que rien n’a été retiré pour des raisons morales : « C’était en 1965, ils buvaient de la bière ! Ils étaient encore très innocents ! » « Mick avait 22 ans et Keith avait 21 ans. Ils commençaient juste à apprendre à devenir mauvais », plaisante le réalisateur.

(source  http://rue89.nouvelobs.com/rue89-culture/2012/11/13/charlie-my-darling-quatre-raisons-de-retourner-aux-origines-des-rolling )

Ce titre prouve bien que déjà eux aussi aimaient « Charlie », officiellement Charles Watts… mais  on comprend bien qu’il s’agit du même Charlie qu’à Paris 50 ans plus tard.

Devenir « mauvais », c’est ça « être Charlie ».

EUGÈNE DELACROIX, LE PEINTRE MALCHANCEUX ET PEUT-ÊTRE FRANC-MAÇON

« La Liberté guidant le peuple » est un de ses tableaux, faisant référence à la révolution des Trois glorieuses de 1830.

Nous avons vu que le film citait Delacroix comme exemple de personne vraiment malchanceuse. Voici une affiche parisienne reprenant le tableau au profit de la fête de la révolution mexicaine du 20/11/1910, où y est rajouté la demande de justice pour Ayotzinapa :

Et comparons avec la manif du 11 janvier 2015 à Paris pour Charlie afin de constater que le lien est fait une fois de plus entre Charlie et Ayotzinapa.

Nous pensons donc être des chanceux puisque nous ne nous comparons pas directement à Delacroix ni aux personnages du film, et pourtant indirectement nous suivons un malchanceux au travers de ses tableaux.

Voilà la manipulation qu’il me fallait démontrer.

Alors suivrons-nous le plan satanique qui est de nous entraîner encore plus bas dans la chute ?

QUELQUES PETITS ÉLÉMENTS SUPPLÉMENTAIRES

Sur une photo que j’avais trouvée de la collaboratrice de Charlie Hebdo nommée Coco, nous pouvons voir que son premier dessin représente un cactus qui peut faire penser au film La Chèvre, puis sur le dernier il s’agit d’une ìle, qui moi me fait penser au Mont Saint-Michel.

Je pense qu’en résumé nous avons là, de gauche à droite, Ayotzinapa, au centre Charlie Hebdo dans la personne de Coco, puis dernière étape le Mont Saint-Michel.

Comme je vous l’ai montré dans un de mes articles, le Mont Saint-Michel est très important pour la Matrice et je pense qu’il nous est suggéré de diverses façons.

Dans le film dont il est question ici, à 18mn42, Perrin téléphone à l’aéroport et annonce un faux attentat à la bombe. Depardieu est estomaqué et n’en revient pas qu’il ait osé faire ça. Perrin rétorque : « on ne fait pas d’omelette sans casser des oeufs ».

Or pour moi, les références aux oeufs cassés et/ou omelette sont des symboles indirects du Mont-Saint-Michel qui se réfèrent au restaurant réputé dans le monde entier, celui de La Mère Poulard.

Autre clin d’oeil au Mont Saint-Michel, c’est lorsque Perrin s’enfonce dans un sable mouvant alors qu’il n’y en a pas au Mexique mais par contre ces sables sont bien connus dans la Baie normande !

Il nous reste donc encore à vivre un événement important souhaité par Satan au Mont Saint-Michel, seulement s’il en a le temps !

C’EST LA CHUTE FINALE

Nous ne sommes pas là pour chuter, nous nous sommes incarnés pour suivre le Christ et quitter cette matrice.

Vous l’avez compris, le plan satanique ne prévoit aucune élévation pour nous, le genre re-chute serait plutôt au programme.

Que dit la Bible dans Apocalypse 7 :

Souvenez-vous lors de la manif pour Charlie… ceux marqués au front…

Et qui a suivi et s’est identifié à ceux qui ce jour là étaient marqués au front « CHARLIE » alors qu’ils suivaient leur dieu Satan ?

Des millions de personnes se sont faites avoir ce 11 janvier 2015, des gens sincères pour la majorité, mais des gens manipulés.

MAIS, MAIS, MAIS, IL Y A UN MÊÊÊH…

(remarquez la faute d’orthographe dans le titre du film, sur le mot chèvre il y a un accent circonflexe, je pense que c’est pour rappeler l’équerre des FM).

QUEL LIEN AVEC LA FAMEUSE COUVERTURE 2015 DE « THE ECONOMIST » ?

Voici le logo de l’école normale AYOTZINAPA où étaient inscrits les 43 étudiants disparus.

Comparons avec la couverture de The Economist :

CONCLUSION

Encore une fois, un film démontre que nous fonctionnons en robots manipulés et manipulables. Ce que nous suggèrent les films nous le reproduisons pour notre plus grand malheur.

Je devrais parler au passé et dire nous le reproduisions, car c’est indéniable, nous nous réveillons enfin de notre torpeur même si la grande majorité dort encore. Mais le réveil est contagieux !

Il n’y aura pas de chute, les plans de Satan commencent à ne plus fonctionner, plus le temps passe plus la matrice aura des « bugs » car moins nous fonctionnerons en robots.

Alors soyons rassurés, éclairons ceux qui ne voient encore rien pour le moment et alors nous participerons non pas à une chute collective mais à une élévation collective avec disparition totale de la matrice satanique.

L’APOCALYPSE EST RÉVÉLATIONS

Sidonie, pour LE MÉDIA DE MARIE.

Voici maintenant une vision plus eschatologique que Frédéric s’est proposé de faire.

LA CHÈVRE

Je regardais le film La Chèvre confortablement installé dans mon fauteuil, lorsque je fus saisi d’étonnement à la 78ème minute du film, en voyant une représentation du Christ, ne pendant sur la croix que d’un bras.

Un Christ sur la croix, déformé, est un symbole occulte.

Je me suis dit qu’il fallait regarder les minutes qui suivaient car un message de l’ennemi (satan), pouvait être véhiculé.

Voici l’image du Christ (le plan reste sur le Christ 11 secondes) :

Campana et Perrin arrivent dans une mission pour soigner la jambe de Campana. Mais la petite Bens est déjà passée par là. En entrant, Perrin ramasse un calendrier :

Tout d’abord, on apprend la date du jour. On est le 26 juin. Et Perrin annonce, il y a 3 semaines.

En parlant il tourne les pages, ceci n’a aucun sens. Que peut-il bien chercher dans un calendrier ? Ce n’est ni un carnet ni un livre, juste un calendrier mural. En réfléchissant je me suis dit que Perrin tourne les pages du calendrier pour nous donner le jour du 26 juin. C’est cela qui est important.

Que voit-on sur la photo ? On voit que le 28 est en rouge, un dimanche donc ainsi le 26 juin c’est le vendredi.

 PREMIER MESSAGE IMPORTANT : LE VENDREDI 26 JUIN

Oui, ceci est un message important, car grâce à ce détail, on peut établir une liste d’années depuis 1982, car le film est sorti en fin d’année 1981 :

– Vendredi 26 juin 2015

– Vendredi 26 juin 2009

– Vendredi 26 juin 1998

– Vendredi 26 juin 1992

– Vendredi 26 juin 1987

Nous pouvons constater qu’en 2015 le 26 juin sera bien un vendredi, ce qui indique ce ce film est bien dans l’actualité de cette année de la chèvre.

Pour l’instant, il n’y a rien de très extraordinaire, mais je me suis dis que j’allais continuer les recherches. Envie appuyée en voyant la très Sainte Vierge Marie inclinée sur l’image suivante. On voit Campana , le regard tourné vers la statue dans une position irrespectueuse, afin que notre subconscient le remarque aussi.

J’ai ainsi juste fait une recherche sur le 26 juin et j’ai découvert que le calendrier républicain associait une chose (légume, animal, leur, etc…) à chaque jour. Le calendrier républicain est le calendrier de l’ennemi donc il est normal qu’il l’utilise.

Voilà ce que dit WIKI sur le 26 juin (infos vérifiées) :

Le 26 juin est le 177ème jour de l’année du calendrier grégorien, le 178ème en cas d’année bissextile. Il reste 188 jours avant la fin de l’année. C’était généralement le 8ème jour du mois de messidor dans le calendrier républicain français, officiellement nommé jour de l’échalote.

INFO 1 :

Le 177 et 188 sont composés du 77 et du 88. Ce sont des nombres de l’ennemi. Le 11  est un nombre satanique. Il est une copie du nombre 111, représentation de notre Dieu Trinitaire, trois fois Saint.

Les multiples du 11 appartiennent à l’ennemi. Le 888 sera l’avènement du Christ une fois que le Saint Esprit (777) aura triomphé. Ainsi ici et toujours par copie, Satan par le passage de 77 à 88 évoque trompeusement son avènement.

INFO 2 :

Le jour est dénommé « jour de l’échalote ». J’ai alors pensé au film « La course à l’échalote ».

Voici quelques détails troublants :

1) La musique du film

La musique a été composée par Vladimir Cosma. L’instrument principal est la flûte de pan. Or voici une représentation du faux dieu Pan (on dirait un gros baphomet horrible).

2) Campana, à l’aéroport du Mexique dit à Perrin : Ça fait 42 jours que j’ai retourné ce foutu pays sans rien trouver.

Dans la Bible, 42 est la durée d’apprentissage. Or, ici en 42 jours, Campana n’a rien appris. Il y a clairement une inversion biblique dans le cas présent.

3) La distribution

Pierre Richard est François Perrin.

Le prénom François rappelle la France, fille ainée de l’Église.

Perrin est un nom répandu qui vient de Pierre, qui veut dire rocher. Jésus a bâti son Église sur l’apôtre Pierre.

Or, dans le film, Perrin n’a pas de chance, il est arrogant et aime beaucoup la gente féminine. Il est un gros pervers : « il se paye une pute aux frais de Bens », il dit qu’il y a de belles femmes au Mexique, il pense qu’il a un ticket avec une blonde à l’hôtel, s’il faut faire tous les bordels du Venezuela pour retrouver la petite Bens, il les fera tous jour et nuit s’il le faut, et à la fin du film il part avec la petite Bens.

Et bien, justement, la petite Bens, qui est-elle ? Elle s’appelle Marie. Elle est jeune et voyage au Mexique. Elle n’a pas de chance. Elle se fait enlever par de sales types et ils l’amènent dans des lieux mauvais.

La Vierge Marie suit les pas de Dieu, elle est animée par le bien, elle fait confiance à Dieu qui guide sa vie, elle est exemplaire.

Gérard Depardieu est Campana.

Nom corse qui signifie homme de la campagne, sonneur de cloches. Il est vrai que Campana est un satané distributeur de pains en tous genres, il en a sonné des cloches dans le film, mais on a aussi ici la notion d’Église, toujours présente.

Le père de la petite Bens s’appelle Alexandre, c’est un prénom d’origine grecque. Il signifie « celui qui protège les hommes ». Il s’agit à l’origine d’un surnom de guerrier dans la mythologie grecque, Alexandre était le surnom de Paris, jeune berger chargé de protéger les troupeaux contre les voleurs.

Or Jésus est le berger de tous les hommes.

La distribution, comme nous venons de le voir, n’est pas anodine, elle est le fait de l’ennemi.

Frédéric, pour LE MÉDIA DE MARIE.