Dans cet article, compte tenu du caractère « incroyable et complexe» de ce qui suit, je ne vous demanderai pas de me croire sur parole… Ceci est le paradigme de pensée de civilisations extraterrestres possédant une grande avance sur nous, pas le nôtre

Il existe deux moyens d’influencer un phylum planétaire. Le premier, naturel et suggéré par les Oummains, utilise un cérémonial apparenté à la méditation (voir à ce sujet la vidéo en fin d’article), le second, technologique, utilise des systèmes psychotroniques suffisamment puissants pour impacter toute la sphère spirituelle, à un niveau planétaire. C’est ce second moyen qui est employé par les Anunakis (et les ethnies exobiologiques associées) et de façon plus générale, par toutes les civilisations qui ont fait le choix de ces technologies dont l’avance dans l’évolution se compte en milions d’années, pour modifier le devenir d’une sphère spirituelle (tera formation spirituelle). L’inconvénient est qu’il faut des êtres biologiques pensants pour servir « d’émetteurs » dans la sphère spirituelle et à condition qu’ils se mettent dans un esprit de croyance, conformément à la signification de base du formalisme utilisé en logique tétravalente pour la croyance. Fondamentalement, les Oummains disent qu’il ne faut pas les croire lorsqu’ils nous affirment quelque chose, la raison de base est d’éviter des « parasitages » de pensées paradoxales (de type prières ou incantations) dans leur tentative annexe d’influencer notre phylum planétaire en ne violant pas notre libre arbitre mais il y a de toute façon paradoxalisation par le fait que se développe inévitablement un effet de croyance antagoniste par l’absence de résultats observables des séances de demande positive à notre phylum effectuées par les personnes qui ont suivi cette recommandation des Oummains. Cet « effet de duperie » de la part des Oummains est conforme à la méthode de modification d’un phylum planétaire par le paradoxe des trois menteurs. Leur action, comprise dans ce sens, montre qu’elle ne peut pas être indépendante de celle des civilisations exobiologiques associées aux Anunakis, tous cela restant conforme à la logique multivalente, bien que leur plan d’origine était différent (changement de gouvernance dans les actions des Oummains).

C’est par l’utilisation de cette technologie et l’application du paradoxe des trois menteurs qu’il est possible de modifier un phylum planétaire. Les trois acteurs sont : le phylum, un ensemble d’êtres exobiologiques en « état paradoxal de pensée » et un autre groupe d’êtres humains de notre planète dans le même état. Ceci n’est possible qu’en ayant recours à l’hybridation d’êtres appartenant à l’ethnie exobiologique et à l’ethnie humaine. Un état d’emprise par l’intermédiaire d’entités négatives natives de notre sphère spirituelle locale permet d’assujettir des représentants de l’ethnie humaine terrestre à un état paradoxal de pensées quasi permanent. Croyance et violation de libre arbitre sont équivalents car la croyance implique une violation du libre arbitre. C’est cette violation du libre arbitre (indue) ou d’état de croyance qui permet de paradoxaliser les flux de pensées psychotroniques générés par intelligence artificielle et reçus dans les esprits des hybrides ou des humains avant qu’ils ne soient réinjectés dans la sphère spirituelle sous cette forme paradoxalisée, seul forme assimilable par le mécanisme cybernétique du phylum. Pourquoi faut-il une paradoxalisation ? Seul la paradoxalisation permet de « modifier le programme de base du phylum planétaire, dont l’équivalent informatique est le « driver », et non simplement ce qu’il fait ». N’étant pas structuré pour évoluer de cette manière non naturelle, le phylum ne tient pas compte de l’information en dehors de la croyance (ou du libre arbitre violé). Vouloir changer un phylum alors qu’il est sensé évoluer dans un certain sens par lui-même et naturellement, EST paradoxal. Cette paradoxalisation est ainsi obtenue par la croyance ou la violation quasi permanente du libre arbitre, violation permise par les lois de l’esprit uniquement dans un régime d’exception, mais qui peut se prolonger jusqu’à une fin obligatoire et cependant non définie précisément. Ceci constitue néanmoins une pure et simple violation du principe premier de sacralité du libre arbitre porté par le cosmos lui-même. Tout système a son point faible. Les tentatives de modification du phylum planétaire par des moyens technologiques sont voués à l’échec si l’information qui y est injectée n’est pas paradoxalisée par les pensées d’un être humain.

Un autre exemple plus local: dans le cas des maisons hantées, la racine du cybernétisme associée à ce milieu spirituel dépend des plus hautes entités négatives de notre sphère spirituelle et du phylum. « De quoi rendre la monnaie de sa pièce à E.T., à défaut de pouvoir le ramener chez lui ». Une utilisation de ces lieux comme « pare-feux » cybernétique ne constituerait pas seulement un bon scénario de film… Des solutions existent pour contrer une attitude contre-nature et non admise par la majorité de l’Humanité vis-à-vis de notre sphère spirituelle, conformément à l’échéance de 2166 selon les Oummains. En retenant l’image d’un « pare-feux » global, il serait d’autant plus efficace que la « largeur de la bande passante » (expression technique employée en télécommunication pour définir la qualité du débit des communications, c’est-à-dire la facilité de faire transiter les flux d’information) utilisée et représentée en particulier par le nombre de sites serait élevée. Ce sont celles associées aux sites spirituels de la planète qui sont insupportablement élevées en ce qui concerne les énergies de prières et d’incantations, ce qui déstabilise fortement Gaïa (période d’apocalypse).

Les détails de cet article concernant les Oummains sont référencés dans les vidéo suivantes (déjà citées à plusieurs reprises), en particulier, à la minute 6:30 concernant notre acte de croyance envers leur propos:

et entre les minutes 10:18 et 31:40 au sujet de la modification de notre phylum. De la minute 52:36 à 54:28, la vidéo parle de leur réorganisation et de leur dépendance d’action par rapport à une ethnie plus ancienne:

A l’inverse, si des maisons hantées peuvent servir de « pare-feux » pour se protéger d’intrusion cybernétique, les Anunakis et les ethnies collaboratrices (excepté très probablement les Oummains pour lesquels ce genre de moyen ne correspond pas à leur éthique) utilisent, voire favorisent les cérémonies d’incantations négatives pour disposer d’entités négatives suffisamment fortes pour servir de « connecteurs spirituels » entre le phylum à modifier et certains représentants de l’ethnie humaine terrestre utile à l’application du paradoxe des trois menteurs. Il est clair que s’aventurer dans des maisons hantées pour les utiliser comme outils cybernétiques peut être extrêmement déstabilisant.

Contre ce genre de contexte spirituel, j’ai développé une « immunité » fondamentale, étant personnellement l’objet d’actions récurrentes de la part d’énergies négatives assimilables partiellement à un état d’emprise, moi ainsi que des personnes de mon entourage, comme je l’ai également déjà affirmé dans mes précédents articles. Pour une civilisation maîtrisant la psychotronique à grande échelle, la manipulation de l’esprit, en général, ne constitue à la base qu’un simple « paradigme de pensée technico-scientifique » qui nous échappe totalement à notre degré d’évolution.


La playlist de méditation que vous pouvez entendre aussi en cérémonie :
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