« Le ‘Microbisme’ est une doctrine fataliste monstrueuse qui suppose qu’à l’origine des choses, Dieu aurait créé les germes des microbes destinés à nous rendre malades. »
(Pr. Antoine BECHAMP)
Pour mieux comprendre les affirmations des uns et des autres, il faut impérativement connaître les origines réelles de la théorie de la vaccination et de ses conséquences connues ou supposées pour l’organisme.
Cette page en cours de rédaction va vous permettre de faire une synthèse des différentes “versions” en présence.
Nous allons donc commencer par le “Père spirituel” du principe de la vaccination, qui n’est pas, comme beaucoup le croient Louis PASTEUR, mais bel et bien un médecin de campagne anglais du nom d’Edward JENNER.
Edward Jenner, membre de la Royal Society (17 mai 1749 – 26 janvier 1823) était un scientifique et médecin anglais qui a étudié les sciences naturelles dans son environnement à Berkeley, dans le Gloucestershire, en Angleterre. Il est connu comme le premier médecin à avoir introduit et étudié le vaccin contre la variole, bien que Benjamin Jesty, un agriculteur, ait précédemment été vacciné par la vaccine pour induire une immunité contre la variole. Il est admis que Jenner avait fait la même découverte indépendamment.
Voyons d’un peu plus près cette idée.
JENNER avait médité sur le fait que les paysans qui avaient contracté le cow-pox au contact des pis des vaches, ou vaccine, maladie bénigne, n’étaient jamais sujets à la variole. Il se posa la question de savoir si cette vaccine transmissible de la vache à l’homme l’était aussi de l’homme à l’homme. En mais 1796 il vérifia son hypothèse : une jeune vachère se présenta à lui, porteuse d’une lésion typique de cow-pox sur la main. Il décida d’inoculer par scarification la vaccine humaine de la jeune fille à un petit garçon de 8 ans, indemne de variole. Deux mois plus tard, il inocula à ce dernier la variole humaine elle-même. Aucun signe de cette redoutable maladie n’apparut. C’est ce qui nous est conté dans la plupart des encyclopédies et manuels médicaux. Ce que ne nous disent pas ces manuels c’est que, malgré les ravages de la variole, le Parlement Anglais refusa toujours de rendre la vaccination obligatoire.
La méthode jennérienne se répendit en effet très rapidement sur le continent et demeura lettre morte en Angleterre. Pourquoi ?
Après sa découverte, JENNER appliqua massivement sa méthode à l’étranger. Par contre, ce qui peut paraître étrange, c’est qu’il ne vaccina qu’un seul de ses enfants….qui décéda de tuberculose. JENNER pensa qu’il s’agissait d’une conséquence de la vaccination par son procédé, ce pourquoi il ne vaccina jamais ses autres enfants. Certains auteurs prétendent qu’il se vaccina lui-même, mais que cela ne lui réussit pas, car à partir de ce moment-là son état de santé laissa beaucoup à désirer jusqu’à son décès.
Pourquoi dans ce cas, si JENNER pensait ainsi ne l’a-t-il jamais déclaré publiquement ? Sans doute, comme PASTEUR plus tard, était-il d’avantage préoccupé par l’argent et les honneurs que la santé des individus vaccinés.
Quoiqu’il en soit, certains faits sont indéniables et à retenir. L’Etat Britanique n’a jamais imposé la vaccination antivariolique entre 1796 et 1979, date à laquelle l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) décréta que la variole était éradiquée du monde grâce à la vaccination.
Il est vrai qu’un essai fut tenté à Leicester où presque tous les habitants furent vaccinés. Or, l’épidémie de 1872 causa tellement de cas de variole que le gouvernement abandonna la vaccination et la remplaça par des mesures prophylactiques. L’épidémie de variole aux Philippines en 1918-1919 dont la population était depuis 1905 la plus vaccinée du monde, a frappé indistinctement vaccinés et non-vaccinés, causant 145 317 cas et 63 434 morts. La mortalité par variole atteignit 65.3% à Manille, la ville la plus vaccinée du pays, alors qu’elle n’était que de 10% avant 1905.
A l’époque de JENNER les connaissances en immunologies étaient nulles. Tous ceux qui l’ont suivi dans sa pratique des vaccinations systématiques ont donc bâti de toutes pièces une théorie à partir d’un fait EMPIRIQUE. Autrement dit, toute la théorie vaccinale fut construite à partir d’une seule expérience, et par conséquent, il ne peut s’agir d’un fait scientifique. Est considéré comme scientifique ce qui peut être vérifié par de multiples expériences réalisées selon un protocole bien défini. Or les très nombreux accidents qui survinrent dans les années suivantes ne démontrèrent jamais le bien-fondé de la vaccination. Il est clairement établi qu’il y eut autant de victimes chez les vaccinés que chez les non-vaccinés.
Ce n’est pas la vaccination qui a éradiqué la variole, mais UNIQUEMENT l’amélioration des mesures d’hygiène, comme pour la plupart des maladies infectieuses.
Au 16ème et au 17ème siècle, la variole tuait environ 400 000 personnes par an en Europe. Lorsqu’on commença à vacciner vers 1796-1800, cette épidémie était déjà en très nette régression, régression qui ne peut donc être attribuée à la vaccination, puisqu’elle n’était ni connue, ni appliquée.
L’ENSEMBLE DU SYSTEME VACCINALISTE REPOSE SUR L’EXPERIENCE REALISEE PAR JENNER SUR UNE SEULE PERSONNE !!!
Outre le fait que JENNER a mis en péril la vie d’une jeune enfant auquel il a inoculé délibérément la variole humaine, le sacrifiant s’il n’avait pas survécu à l’expérience, il faut conséidérer également que JENNER et ses adeptes ne se soucièrent nullement des résultats catastrophiques obtenus par leur vaccination dans les années suivant l’expérimentation de mai 1796.
Les médias de l’époque (déjà à l’affut du sensationnel !) avaient crié au miracle, et la machine était lancée. Encore une fois, les connaissances du monde médical dans le domaine de l’immunologie étaient nulles à l’époque. Le grand public ignare, les dirigeants politiques et le monde médical de l’époque était d’une naïveté redoutable, puisque ce dernier ignorait jusqu’à l’existence d’un système immunitaire chez les êtres vivants !
Comment a-t-on pu ériger en dogme une expérience aussi dénuée de tout fondement scientifique ?
Pour en finir avec JENNER, son vaccin a permis pour la première fois de franchir la barrière des espèces en introduisant directement dans le corps humain des gènes provenant d’un animal et qui plus est, d’un animal malade !
Dès cet instant l’homme a bouleversé l’écosystème en faciliant le passage de micro-organismes d’une espèce à l’autre, ce qui n’est jamais pris en considération par les scientifiques alors que cela initie tout un ensemble de phénomènes contre nature, dont nous commençons à mesurer les conséquences avec les épidémies de grippe actuelles par exemple.
On retrouvera plus tard cette animalisation avec le vaccin BCG, préparé avec une souche atténuée de bacille tuberculeux bovin.
De nos jours, on ne cesse de répéter que la disparition de cette maladie est due à la vaccination, ce qui est totalement faux, car en 1962, l’OMS lançait à l’échelle mondiale une “dernière campagne d’éradication”, dont les débuts durent catastrophiques, des épidémies se déclarant dans des populations vaccinées à 95 %, notemment en Inde et au Brésil. L’OMS préconisa alors d’abandonner la vaccination de masse au profit d’une stratégie dite de “surveillance-endiguement”, c’est-à-dire l’isolement des malades et leur traitement. En quelques années ces deux pratiques d’hygiène élémentaire ont permis l’éradication de la maladie en interrompant la chaîne de transmission, là ou la vaccination avait lamentablement échoué.
Quelques chiffres sur les “expérimentations” de JENNER :
En 1810 The London Medical Observer signalait après la vaccination, “535 cas de variole, 97 décès et 150 cas de graves accidents dont 10 parmi les médecins”.
JENNER supprima alors les études qui montraient que sa “trouvaille” causait d’avantage de morts qu’elle ne sauvait de vies.
En 1871, en Allemagne, plus précisément en Bavière, sur 30472 cas de variole, 29429 étaient vaccinés !
La même année, le Privy Council d’Angleterre demanda une enquête sur la vaccination imposée en 1867, car 97,5 % des gens morts de la variole avaient été vaccinés contre la maladie.
Le 26 janvier 1909, le New York Press publiait un rapport du Docteur W.B. CLARK qui affirmait : “Le cancer était pratiquement inconnu avant la vaccination contre la variole. J’ai observé 200 cas de cancer, et je n’en ai jamais vu un seul chez une personne non vaccinée.”
Un demi-siècle plus tard, le Docteur Albert SCHWEITZER, prix Nobel en 1952, aurait partagé ce constat, car il avait remarqué que les premiers cancers étaient apparus en Afrique CINQ ANS après les premières campagnes vaccinales.
La pratique de la vaccination antivariolique fait apparaître à l’expérience :
1. que ce virus vaccin bâtard n’immunise pas complètement contre la variole et que celle-ci menace donc les vaccinés tout comme les non-vaccinés ;
2. que la vaccine naturelle donne une infection infra-variolique moins grave que le vaccin mis au point en laboratoire par inoculation de la variole humaine sur des veaux :
3. que la vaccination antivariolique provoque des accidents, notés notamment par le monde médical du Royaume-Uni, et qu’elle est source de viciation du sang et minorative de vie ;
4. qu’elle peut diffuser la tuberculose par suite d’une diminution de résistance des organismes.
On ne parle pas encore de déficience du système immunitaire chez les individus vaccinés. Dans The Physician and Surgeon du 2 mars 1905, journal de la Société générale des praticiens en Angleterre, on lit ce qui suit :
“Les données et tableaux statistiques des vaccinateurs officiels et des gens intéressés à pousser la vaccination exigent de nous un contôle sévère avant de mériter le moindre crédit. Le public doit se méfier des exagérations des vacciniphiles concernant la gravité de la variole chez les sujets vierges de toute vaccination. Nous avons connaissance de relevés officiels de cas de variole absolument fabriqués pour les besoins de la cause. Nous, avec nos connaissances techniques, serions à même de faire d’écrasantes révélations à l’encontre de la vaccine et cela contre toute attente des gens du peuple.”
Voyons maintenant les “découvertes” de PASTEUR et son mythe qui fait toujours rage.
Pour bien appréhender le mythe de Pasteur, il convient de se replacer dans son époque et son contexte économico-politique.
Aux dires de ceux qui l’on côtoyé, c’était un personnage intrigant, un esprit buté, intolérant et uniquement préoccupé par son succès personnel. Il explosait en colères terribles à l’égard de ses collaborateurs pour lesquels il ne manifestait aucune sympathie.
Il était protégé jusqu’à la chute de l’empire en 1871 par la famille impériale, puis jusqu’à son décès, par les républicains qui l’avaient accueilli comme la figure de proue d’un nouveau système politique. La ruine du pays, fort en retard sur les autres pays europééens devait être compensée par l’expression d’idées généreuses susceptibles de permettre de recouvrer quelque prestige au plan international. Avec Pasteur, vaincre toutes les maladies semblait devenir du domaine du possible. Peu importe qu’il l’ait démontré en truquant ses démonstations. Quel plus belle et noble mission pour un pays comme la France que de sauver l’humanité toute entière des épidémies et de la mort, surtout quand on est républicain. C’est ainsi que naquit la légende de PASTEUR, propagée par les médias de l’époque et acceptée sans condition par tous les français.
Pour en terminer avec l’homme, il est notoire qu’il fut toujours très intéressé par le profit, et il reçut des sommes considérables de l’Etat républicain et décéda archi-millionnaire.
Le fait le plus marquant de son aptitude à mentir fut certainement la prétendue découverte de la guérison de la rage. Tout le monde y crut avant que personne n’eut constaté quoi que ce soit. La presse fit un tel tapage que les voix les plus autorisées étaient couvertes ou étouffées avant d’être entendues.
PASTEUR, en tant que chimiste (c’était sa formation) était considéré comme médiocre par ses collègues. Ses travaux en cette matière sont inexistants. On peut se demander comment cet homme est parvenu au faîte de la gloire en matière de biologie et de médecine, alors qu’il n’était ni médecin, ni biologiste.
Pasteur sut s’imposer par une méthode expérimentale constituant un contresens, un leurre, une mystification qu’il n’a pu entretenir que par d’autres mystifications : statistiques truquées, observations et faits biaisés faussement présentés.
Pasteur n’eut jamais aucune connaissance du terrain humain et le principe même de la vaccination, c’est à dire que l’introduction dans les organismes des semences atténuées de nos maladies constitue un non-sens, une aberration. Il ne se posa jamais la question de savoir si les semences introduites dans les organismes ne risquaient pas d’y germer ou d’y rester à l’état latent jusqu’à ce que des causes extrinsèques ou intrinsèques surviennent et finissent par les faire évoluer vers des affections plus graves encore que celles qu’il prétendait vouloir éviter.
Il apparait aujourd’hui évident à tout scientifique sérieux que la méthode pasteurienne pollue et affaiblit l’organisme et que le système immunitaire des individus vaccinés trop souvent s’affole et se dérègle, ouvrant ainsi la porte à des affections inconnues et nouvelles.
Déjà en 1903 – 1904, le professeur Carlo RUALA de l’université de Pérouse protestait violemment contre le vaccin antirabique utilisé en Italie et constatait que la rage avait doublé les ravages dans son pays, ce qui s’était aussi produit en France et dans les autres pays.
Le professeur KASSOVITZ de Vienne constatait les accidents provoqués par les sérums de Roux ou de Behring (collaborateurs de Pasteur) inoculés pour lutter contre la diphtérie.
Les sérums antipesteux étaient également très discutés par de nombreux médecins dans le monde.
A cette époque, l’opinion générale des médecins étrangers était que Pasteur et ses disciples semaient les maladies qu’ils prétendaient vouloir éviter, que ces gens étaient incompétents en matière médicale, qu’il s’agissait de charlatans et de criminels….
Voici d’ailleurs ce qu’écrivait un chercheur contemporain de Pasteur, Antoine BECHAMP à son propos :
“Pasteur, grand homme ? La gloire la plus pure du 19ème siècle et savant indiscuté ? Non seulement il ne l’a pas été, mais la pure vérité est qu’il a été le savant de moins de génie, le plus simpliste et le plus superficiel de notre temps, en même temps que le plus plagiaire, le plus faux et le plus faiseur de bruit du 19ème siècle. De sorte que c’est à lui que s’appliqueraient le plus exactement la célèbre phrase d’E. de Laboulaye : -Celui qui fait le plus de bruit est le plus grand homme, ou le plus charlatan-. Je finis en répétant que Pasteur n’a fait aucune des découvertes qu’on lui attribue, il n’en a même fait aucune…. Pasteur n’a jamais rien compris aux travaux féconds des anciens, des contemporains ou des modernes, comme il n’avait rien compris même après ses plagiats aux choses plagiées et à ses propres expérimentations.”
De très nombreux scientifiques pensaient comme A. BECHAMP, mais ils ne pouvaient s’exprimer du fait que la presse faisait preuve d’une lâcheté redoutable en refusant systématiquement tous les articles qui pourraient remettre en cause les idées, les balivernes et théories fumeuses du “génial” Pasteur, et tout particulièrement en France.
En pourrait supposer qu’un siècle plus tard la presse française ait changé… malheureusement il n’en est rien ….
Voici d’ailleurs un excellent “parallèle” tiré du site internet du Docteur Alain Scohy qui met face à face Pasteur et Béchamp :
Monsieur Louis PASTEUR − 1822 / 1895 | Professeur Antoine BECHAMP − 1816 / 1908 |
Docteur ès Sciences
Agrégé de Physique et de Chimie Il a découvert la loi de polarisation des substances organiques (levogyre, dextrogyre, racémique) Spécialiste génial en relations publiques et marketing publicitaire. Il a sauvé la France de la honte de la défaite militaire contre les allemands par la dimension qu’il a su donner à ses prétendues découvertes scientifiques autour des vaccinations.
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Agrégé en Pharmacie,
Licencié ès Sciences Physiques, Docteur ès Sciences Physiques, Docteur en Médecine, Professeur de Physique et Toxicologie de l’École Supérieure de Pharmacie à Strasbourg, Professeur de Chimie Médicale et de Pharmacie à la Faculté de Médecine de Montpellier, Doyen de la Faculté libre de Médecine et de Pharmacie de Lille, Professeur de Chimie Organique et de Chimie Biologique à Lille. |
BASE THEORIQUE DE TRAVAIL | |
L’unité de base de toute vie organique serait la cellule (Virchow, Pasteur). Les granulations microscopiques sont niées, elles ne seraient que des artéfacts. Nous retrouvons là une maladie bien connue, totalement incurable, de beaucoup de “scientifiques” : l’aveuglement volontaire…
La cellule serait ASEPTIQUE. Il n’y aurait pas de germes dans l’intimité des organismes vivants complexes, à l’état normal ? (Il suffit d’observer un tissu vivant au microscope pour observer des microbes – dans le sang par ex.) Les « Biologistes » modernes étudient la vie en observant le « mort »… Les tissus sont préalablement : ð fixés (= tués) par un bain de formol + acide, ð déshydratés totalement (l’eau – c’est à dire 65 à 90% de la matière vivante est remplacée par de l’alcool), ð dégraissés (toluène ou trichloréthèlène), ð inclus dans de la paraffine, du plastique, ou congelés, ð coupés en tranches ultrafines = dilacérés, fripés +++, ð chauffés (600°) ð baignés à nouveau dans le toluène ou trichloréthylène, ð rehydratés artificiellement, ð mordancés (bains dans de l’acide), ð colorés, etc. |
L’unité de base de toute vie organique est la granulation microscopique (visible à un grossissement d’au moins 750) – bien connue à l’époque de Pasteur et de Béchamp – baptisée “microzyma” par Béchamp. Elle est redécouverte actuellement sous le nom de NANOBE ou NANOBACTERIE !
Le microzyma est capable de se reproduire. Il a son métabolisme propre. Il est capable de fermenter et transformer certaines substances. Il est capable de bâtir des tissus fibreux, membraneux… Il est capable de construire des germes ou mycèles (comme le bacille de Koch) pour effectuer certains travaux particuliers. Ces derniers sont en quelque sorte des « machines-outils » (tracto-pelles, bulldozers) ! Il est capable de bâtir les cellules afin de créer un milieu favorable aux échanges (nutrition – respiration – métabolisme) au sein des organismes vivants complexes et de permettre la cohésion de l’ensemble par la création de forces électromagnétiques puissantes (différences de concentration en électrolytes de chaque côté des membranes cellulaires). |
LA PANSPERMIE ATMOSPHERIQUE ? | |
Toute maladie proviendrait d’un microbe spécifique venant de l’extérieur. Ou par extension d’un prétendu virus, d’un prétendu prion, d’une cellule cancéreuse, d’une mutinerie de l’armée défensive qu’est le système immunitaire… C’est une agression, dans une dialectique de guerre.
D’où l’intérêt des vaccins, des antibiotiques (anti-vie), des anti-inflammatoires (anti-réparation), des chimiothérapie (artillerie lourde), des armes atomiques (bombe au cobalt, radium…). D’où le mythe du SIDA qui présuppose cette dynamique de guerre et l’existence du système immunitaire. Cette politique est à l’origine de nouvelles maladies plus graves encore : les maladies auto-immunes par dérèglement de ce système immunitaire (vaccins) et toutes les maladies liées à l’empoisonnement par des toxiques chimiques divers – antibiotiques, ant-inflammatoires, aluminium des vaccins (vache folle), mercure des plombages, etc. ! |
L’évolution du microzyma est fonction de la qualité du milieu dans lequel il se trouve :
ð éléments nutritifs, oxygène, ð constantes bio-électroniques (qualité de l’eau) : pH, rH2, résistivité.
Les maladies sont toujours des processus de sauvetage ou de réparation — et de vie. Elles ne sont graves que lorsque le milieu est déficient : carences en vitamine C, en eau, en repos ou en nutriments, déséquilibre bio-électronique, etc.. « Rien n’est la proie de la mort, tout est la proie de la vie » |
Un microbe serait immuable.
Il ne pourrait changer sauf par mutation accidentelle et en général pour devenir « résistant » ou plus agressif. La « vie » serait immobile et immuable, comme ces tissus tués, dilacérés et fixés par le formol ! C’est la théorie du MICROBISME. |
Un microbe, une cellule, un tissu, peut toujours redevenir microzymas. Ces microzymas pourront − selon les besoins et le milieu − bâtir d’autres germes, tissus ou cellules…
D’où une notion de POLYMORPHISME bactérien, qui passe obligatoirement par le microzymas. |
« Le ‘Microbisme’ est une doctrine fataliste monstrueuse qui suppose qu’à l’origine des choses, Dieu aurait créé les germes des microbes destinés à nous rendre malades. » (Pr. Antoine BECHAMP) |
LA VACCINATION CONTRE LA MALADIE DU CHARBON :
On croit communément dans le public que c’est Pasteur qui a découvert le rôle des microbes dans les maladies infecteuses. Cette découvert ne lui appartient pas, elle est à un autre savant français : Davaine. Celui-ci avait démontré avec beaucoup de précisions pour démontrer la cause microbienne d’une maladie infectieuse des moutons et des hommes : le charbon.
Cette fois encore Pasteur s’en attribua le mérite. Voici cette histoire :
Au mois d’août 1880, un jeune professeur de l’école vétérinaire de Toulouse, nommé Toussaint, annonçait à l’Académie avoir réussi à vacciner des moutons contre le charbon. Il avait mis au point une technique consistant à préparer un vaccin, en traitant par un antiseptique, l’acide phénique, la matière purulente prélevée sur un animal malade. Il avait aussi essayé plusieurs autres méthodes de vaccins, entre autres par filtration et par chauffage du sang.
La réaction de Pasteur fut immédiate. Il écrivit à BOULEY, professeur et ancien maître de TOUSSAINT et membre de l’Académie des sciences : “Je suis dans l’étonnement, l’admiration de la découverte de M. TOUSSAINT. Cela renverse toutes les idées que je me faisais sur les virus, les vaccins, etc. Je n’y comprends plus rien.”
TOUSSAINT avait pris ses précautions et fait sa communication à l’Académie sous pli cacheté. Les premiers jours d’Août il dévoila le contenu de ce pli cacheté. Il exposait qu’il avait pu vacciner des moutons contre le charbon avec du sang défibriné à 56° durant 10 minutes.
Or, le 17 août Pasteur s’empresse d’écrire à son élève ROUX lui disant de remettre ses vacances à l’an prochain pour vérifier immédiatement les expériences de TOUSSAINT, lui disant qu’il ferait lui-même des essais avec son assistant CHAMBERLAND, le vendredi et samedi suivants.
Le 19, il écrit de nouveau à ROUX pour lui indiquer comment réaliser son expérimentation, soulignant qu’il importait de bien savoir si on opère sur du sang vivant ou du sang mort. Il avait souligné ces mots dans sa lettre.
Le 27 août, il envoie une note à l’Académie des Sciences pour signaler “qu’il s’était empressé, avec le concours de M. CHAMBERLAND et ROUX, de vérifier si les faits extraordinaires que Monsieur TOUSSAINT a annoncé récemment…….”.
Or, en 9 jours, ils n’avaient pas eu le temps de vérifier quoi que ce soit, puisque TOUSSAINT, dans sa communication avait bien fait remarquer que l’action du vaccin n’apparaissait qu’après un temps minimum de 12 jours.
Malgré cela Pasteur écrivait s’appuyer sur la foi d’expériences nombreuses…. et déclarait que TOUSSAINT s’était trompé. Il demeurait convaincu qu’un germe mort ne pouvait pas vacciner.
Avec un culot extraordinaire, le 21 mars 1881, PASTEUR annonçait à l’Académie des Sciences qu’il venait de faire une découverte d’une importance exceptionnelle. Il déclarait que par un moyen d’une merveilleuse simplicité il pouvait protéger les troupeaux d’ovins et de bovins contre la maladie du charbon qui les décimait.
Il affirmait également que si on utilisait la technique de TOUSSAINT, à savoir traiter la matière virulente avec un antiseptique, on pouvait être exposé à de grandes pertes, opposant l’incertitude du vaccin de TOUSSAINT à la sûreté du sien. Devant tant d’assurance du “génial” chimiste devenu biologiste, une centaine de vétérinaires et d’agriculteurs le prirent au mot et lui demandèrent de faire une démonstration publique de ce merveilleux procédé. Rendez-vous fut pris à POUILLY-le-FORT près de MELUN.
PASTEUR s’engagea par écrit : 25 moutons vaccinés par lui survivraient à une inoculation virulente ultérieure, alors que les 25 non vaccinés périraient tous. Pasteur pensait pouvoir obtenir une atténuation de la virulence par l’oxygène de l’air en laissant la matière virulente exposée à l’air durant un certain temps.
Les assistants de Pasteur, CHAMBERLAND et ROUX, estomaqués par son culot et très inquiets de son engagement avaient déja vérifié la technique de TOUSSAINT et constaté que les antiseptiques permettaient bien l’atténuation du vaccin. Lorsque CHAMBERLAND et ROUX ont fait part à PASTEUR de leurs craintes à propos du vaccin atténué à l’air, celui-ci leur déclara “qu’il n’allait pas utiliser le vaccin que j’ai annoncé, mais celui préparé selon la technique de Toussaint avec un antiseptique ayant déjà fait ses preuves : le bichromate de potasse.
A POUILLY le FORT, devant une foule de curieux et de journalistes, de personnalités; scientifiques et vétérinaires, “admirateurs” du grand savant. Curieusement il n’y avait pas de médecins. Les 25 moutons vaccinés survécurent. Ce fut un triomphe délirant qui fit taire toutes les contestations et assurait désormais à Pasteur une gloire universelle.
TOUSSAINT qui commençait alors la longue maladie dont il mourut encore jeune fut entièrement dépossédé d’une gloire qui aurait du lui revenir.
En conclusion pour ce qui concerne la vaccination de la maladie du charbon et de l’expérience de POUILLY le Fort on est obligé de constater :
1 elle était truquée
2 Pasteur a affiché un mépris total de la science
3 qu’il avait commis un incontestable abus de confiance à l’égard du monde savant et de la vérité scientifique
4 qu’il avait triché sciemment et trompé l’opinion publique en faisant croire qu’il avait utilisé un vaccin mis au point
par ses soins, alors qu’il avait en réalité utilisé le vaccin de Toussaint
5 qu’il avait commis un acte répréhensible vis a vis de ses collaborateurs en exigeant d’eux qu’ils se taisent et ne
publient pas leurs travaux de son vivant
6 qu’il avait abusé de la crédulité des autres pour les tromper
7 qu’il avait volé les travaux de Toussaint, alors même qu’il les critiquait ouvertement.
C’est beaucoup pour un seul personnage, quasi déifié sur des centaines de places publiques.
Au cours des quelques mois qui suivirent les crises d’enthousiasme délirantes, certains pays voulurent vérifier l’expérience de Pouilly le fort.
L’Allemagne, l’Italie, la Russie, l’Argentine et d’autres vaccinèrent des troupeaux considérables en utilisant la formule de Pasteur (et non pas celle de Toussaint bien évidemment). Ces vaccinations aboutirent à des désastres, les troupeaus furent foudroyés par le vaccin. Il y manquait le fameux bichromate de potasse, poison oxydant violent détruisant certes les microbes, mais préparant à plus ou moins longue échéance des dégénérescences et des cancers, ce que le “génial” Pasteur n’avait ni prévu, ni soupçonné !
Des protestations et des menaces de procès parvinrent en France. Les vétérinaires de Turin se plaignent à Pasteur. Celui-ci les accuse d’avoir mal préparé le vaccin ! En 1883, Turin, fort en colère, publie une brochure intitulée “Du dogmatisme scientifique de l’illustre professeur Pasteur”. Cette brochure fit l’effet d’une bombe sur CHAMBERLAN et ROUX qui déclarent alors à l’Académie avoir réalisé des travaux, étudié l’adjonction d’un antiseptiqueà la culture microbienne et conclu à l’avantage de ce mode d’atténuation chimique. Mais ils omettent de préciser que le vaccin de Pouilly le Fort était préparé de cette manière, selon la technique de Toussaint, en ajoutant une solution de bichromate de potasse à 1/2000ème.
Le docteur M. NONCLERQ, pharmacienne, qui peuvre depuis de longues années à la réhabilitation du professeur Antoine BECHAMP, déclare à ce propos : “Ce succès de Pouilly le Fort, avec l’ajout de bichromate, vaut à tous les vaccins humains ou animaux employés de nos jours d’être additionnés d’un antiseptique dit stabilisateur, lequel, indéniablement tue le microbe, mais chez l’individu modifie le terrain et prépare à plus ou moins longue échéance les dégénérescences, et prédispose aux thromboses, cancers, etc., comme l’a démontré le Professeur Cl. VINCENT par la mesure de trois facteurs électromagnétiques nécessaires et suffisants pour caractériser un état biologique. Ces facteurs sont modifiés par les contaminants quotidiens et en particulier par les vaccins.”
Malgré les indemnisations que les divers pays réclamèrent à Pasteur, la presse faisait silence ainsi d’ailleurs que les politiques, le gouvernement français récompensa Pasteur en lui remettant le grand cordon de la Légion d’honneur. Ce dernier n’accepta qu’à la condition que ROUX et CHAMBERLAND reçoivent également le ruban rouge. Belle générosité…
Evidemment, après 1881, l’Institut Pasteur parisien avait créé des succursales un peu partout en France, dans les colonies françaises et le monde entier.
VACCINATION CONTRE LA MALADIE DE LA RAGE
Le 6 juillet 1885 on amena à Pasteur le jeune Joseph MEISTER, mordu par un chien enragé. Il ne présentait que de légères morsures au médius et aux cuisses à travers son pantalon. A prioi, il avait 9 chances sur 10 de ne pas avoir la rage. D’ailleurs cinq autres personnes mordues par le même chien ne la contractèrent pas, alors qu’elles n’avaient pas été traitées !
La rage est définie comme étant une maladie infectieuse due à un virus. Les dictionnaires nous apprennent que Pasteur découvrit un vaccin contre cette maladie en 1885. Les encyclopédies nous expliquent que la rage déclarée (après les premiers signes cliniques) n’est plus curable. Le traitement doit donc être commencé d’urgence dès qu’il y a risque de rage.
Le Professeur Pierre-Victor GALTIER de l’école vétérinaire de Lyon avait, dès 1879 effectué des travaux à propos de cette maladie. Il avait constaté qu’elle ne se développait pas dans le sang et que ce dernier atténuait la virulence du virus. Il réussit à obtenir une immunité chez plusieurs espèces animales en inoculant le virus puisé dans les centres nerveux d’animaux enragés directement dans les veines. Malgré ses succès sur les animaux, GALTIER n’osa pas expérimenter sur l’homme, car il avait constaté que son principe vaccinal ne réussissait pas sur certaines espèces. Il communiquait la rage du chien au lapin, du lapin au mouton et du mouton au mouton, démontrant qu’il s’agit d’un seul et même virus.
Pasteur avait visité en 1880 en compagnie de M. CHAUVEAU le laboratoire de P.V.GALTIER. Un an auparavant ce dernier avait fait une communication à l’Académie. Pasteur la qualifia de précieux travail, mais comme d’habitude avec les travaux qui risquaient de lui porter ombrage, il les critiqua. Les collaborateurs de Pasteur ROUX et NOCARD confirmèrent les expériences de GALTIER alors que Pasteur voulait toujours inoculer un germe vivant dont la virulence aurait été atténuée avec l’oxygène de l’air. C’est pourquoi ROUX, estimant trop grand le risque d’un essai sur l’homme avec le procédé pasteurien, refusa de continuer à s’en occuper.
A propos de ce risque, le docteur Philippe DECOURT, ancien chef de clinique à la Faculté de médecine de Paris nous raconte :
“On savait déjà que, dans la majorité des cas, les personnes mordues par un animal, même quand il est prouvé qu’il était enrage, ne contractaient pas la maladie. Pasteur lui-même estimait qu’en moyenne 86 % soit environ 5 sur 6 personnes mordues ne devenaient pas malades. Mais peu importe. Pasteur présente à l’Académie des sciences et des médecines les 26 et 27 octobre 1885 son premier et unique essai de vaccination. Ce fut le délire. Alfred VULPIAN, neurologue et physiologiste n’hésitait pas à déclamer : “….. avec cette nouvelle méthode, on peut empêcher à coup sûr le développement de la rage chez l’homme mordu récemment par un chien enragé.”
On est confondu devant une telle affirmation “à coup sûr” …., alors que l’expérience n’a été faite que sur une seule personne, et que, sans vaccination, cette maladie ne se déclare pas dans la majorité des cas.
Un seul académicien, le Dr Michel PETER prononça des paroles de bon sens : “Comment, vous, médecins, Monsieur VULPIAN, n’avez-vous pas vu que le cas du petit Meister ne prouvait rien ? Un seul cas étant de signification nulle en thérapeutique et le petit Meister pouvant d’ailleurs bénéficier de 5 chances sur 6 de ne pas devenir enragé après une morsure rabique.”
Le cas du second inoculé qu’on dit sauvé de la rage, JUPILLE, fit encore plus de bruit, puisqu’on lui a élevé une statue. Or le chien qui l’avait mordu n’était pas enragé. Le Dr PETER, excellent clinicien est formel : “Monsieur Pasteur ne guérit pas la rage, il la donne !”
Ce n’était pas de la rage furieuse du chien que mourraient les inoculés, mais de la rage paralytique des lapins dont la moelle infectée avait servi à la préparation du vaccin.
Dans les instituts antirabiques créés un peu partout on inoculait à tours de bras les personnes qui étaient mordues que la bête soit enragée ou non. S’ils arrivaient dans les 2 à 6 premiers jours, ils étaient sauvés, et c’est pourquoi, afin qu’ils arrivent à temps on inaugurait partout des instituts antirabiques. On inoculait avec sérénité et sécurité et on renvoyait le sujet avec certification : GUERI. Les instituts proclament 999 ou 999.5 guérisons sur 1000. Un triomphe ! L’observation a pourtant permis d’établir que jamais la rage, maladie infectieuse du système nerveux n’éclate, si elle doit éclater dans les 16 ou 20 jours après la morsure. Il faut plus de temps….en général 1 mois, 6,8, ou 12 semaines quelquefois 6 mois. On peut donc inoculer tous les mordus et les renvoyer guéris par simple déclaration. Quelle admirable astuce pasteurienne ! S’il y a quelques décès, ce sera dû au fait que les mordus sont arrivés trop tard ou qu’ils ont été atteints trop directement aux nerfs par le virus.
Pasteur avait 51 ans quand il a réalisé son vaccin contre la rage en s’inspirant du principe vaccinal de Jenner. Il était forcément au courant des nombreux accidents provoqués par la vaccination antivariolique, ne serait-ce que les incidents de Leivcester en 1872. Or, alors que de toutes parts s’élèvent des protestations quant à l’utilité et l’inocuité du vaccin antivariolique, protestations qu’il a forcément lues ou entendues, il n’hésite pas à reprendre à son compte le principe vaccinal jennérien en mettant au point la supposée vaccination antirabique en 1885.
Le Professeur J. TISSOT écrivait à se sujet :
” Le virus de la vaccine jennérienne, très voisin, mais différent du virus de la variole, ne vaccine pas contre celle-ci. Le fait est nettement établi par les épidémies de variole qui atteignent aussi les vaccinés. Malgré une vaccination quasi ttale de la ville de Leicester en Angleterre, l’épidémie de 1872 a causé tellement de varioles chez les vaccinés qu’on a abandonné la vaccination pour la remplacer avec succès par des mesures d’hygiène prophylactiques.”
Voulant en avoir le coeur net, certains incrédules et indiscrets personnages du monde scientifique et médical se mirent à effectuer quelques enquêtes sur le suivi des personnes traitées par le fameux vaccin et déclarées guéries.
Le journal londonnien The Zoophilist rapporte que de 1886 à 1903, on releva plus de 1700 personnes traitées et déclarées guéries succombèrent de la rage dans les 8 à 120 jours après leur sortie de l’institut. On constata chez ces personnes une nouvelle forme de rage, qu’on nomma rage paralytique, celle justement spécifique aux lapins….
Le Docteur russe M. ROUBINOW rapporte quatre cas de rage survenue après la prétendue immunisation dans l’institut antirabique. Plusieurs médecins russes font paraître un manifeste dans lequel ils accusèrent Pasteur et ses instituts d’être des criminels. Les décès par la rage à la suite des traitements pasteuriens se multiplient dans des proportions inquiétantes, et pourtant en France, ces accidents sont passés sous silence grâce à la connivence des autorités administratives avec les instituts antirabiques sur le territoire.
Mais à l’étranger, il n’en est pas de même, où l’admiration de Pasteur n’est pas, comme en France, établie à l’état de dogme.
En Italie, le docteur RUALA a apporté la preuve que les statistiques pasteuriennes étaient truquées, car la vaccination en Italie ne pouvait guérir 3000 individus mordus alors que l’on comptait seulement 1000 cas en Europe ! Et de citer le cas de l’Angleterre qui a toujours refusé la vaccination antirabique et qui ne comptait que quelques cas par année, uniquement en imposant de sévères dispositions sur l’usage de la muselière pour les chiens.
Après ces faux succès de la maladie du charbon et de la rage, les instituts pasteuriens se lancèrent à corps perdu dans la fabrication de différents vaccins. Les vaccins contre la clavelée (variole du mouton) et contre le typhus ne furent pas plus efficaces que les précédents.
Pendant toute son existence, Pasteur est demeuré attaché au principe de la génération spontanée et à l’atténuation de la virulence des cultures destinées aux vaccinations par l’air et l’oxygène. Cet entêtement le mena à un impasse dont il ne réussit à sortir qu’en s’attribuant les découvertes réalisées par d’autres. On peut donc affirmer que son “oeuvre” est nulle, et qu’il peut être considéré comme l’un des plus grands plagiaires du monde médical et scientifique. Médiocre chimiste, en s’improvisant biologiste et médecin, il a fait perdre à la science et à la médecine près d’un siècle au plan des recherches fondamentales.
Ses principes, repris par ses disciples appartenant au corps médical, en particulier le principe des vaccinations, sont à la base du discrédit qui affecte actuellement la médecine allopathique.
De plus, par suite de leur application systématique dans un but de profit et non de salubrité publique, les vaccinations ont entraîné une dégénérescence du système immunitaire des individus vaccinés.
Pasteur doit être condidéré non pas comme un bienfaiteur du genre humain, mais comme son fossoyeur !
Par les vaccinations réalisées de façon intempestives, il a engendré une véritable pollution des organismes, ce qui les mène à une disparition prématurée. Par la croyance en des dogmes scientifiquement faux, Pasteur et ses disciples peuvent être considérés comme les responsables des maladies nouvelles qui sont apparues depuis une quarantaine d’années, maladies dont l’étiologie (origine) n’a pu être déterminée : sclérose en plaques, cancers, sida, phénomènes allergiques, handicaps variés chez les enfants sont tous le fruit des vaccinations.
Pasteur et ses successeurs ont fait des individus de véritables réservoirs à virus, introduisant dans les organismes des virus qui viennent aider ceux qui y existent déjà à l’état défectif à reconstituer leur capital génétique et à acquérir une virulence jusque là contenue. Nommé recombinaison génétique, ce processus peut être démontré par diverses expérimentations. En imposant au corps médical des dogmes scientifiquement faux et en prétendant que les vaccinations étaient efficaces et d’une complète innocuité, Pasteur et ses disciples ont trompé l’opinion publique et le corps médical. Pasteur et ses successeurs de l’Institut, dont certains sont convaincus de ce qui est affirmé ici, mais setaisent, n’ont jamais considéré autre chose que leur intérêt financier. Il se sont moqués et continuent de se moquer de la santé des populations, seul leur profit compte.
Alors, pourquoi Pasteur est-il encore autant respecté et honoré ?
Parce que sa légende, établie par une manipulation sans précédent des esprits par le jeu des politiques et des médias de l’époque, a permis de servir les intérêts de trois catégories d’individus :
Pasteur lui-même en premier lieu qui a amassé une fortune considérable dont profitent ses descendants, certains de ses amis politiques, dont Paul BERT, ainsi que toute la classe politique de l’époque.
Et enfin et surtout, au plan financier, les promoteurs, bâtisseurs et profiteurs des Instituts.
En fait, la légende pasteurienne a permis de faire d’une pierre trois coups :
– donner à la France républicaine un prestige international dont elle avait bien besoin au cours de cette sombre période, permettant d’effacer des évènements peu glorieux;
– donner aux français l’exemple d’un savant républicain admirable aux services des droits de l’homme puisqu’il leur ouvrait par la vaccination un droit imprescriptible à la santé…..et leur faire oublier ainsi leur malheur et leur condition misérable;
– réaliser une affaire commerciale de premier plan en établissant un monopole par la création des Instituts partout où cela était possible.
Il ne faut surtout pas croire que cela ne serait plus possible de nos jours. Nous avons assisté ces dernières années à des campagnes de publicités de plus en plus incisives contre la grippe, l’hépatite B, et autres, en attendant la vaccination contre le cancer et le sida, cette dernière étant en cours de test en 2009 dans plusieurs pays d’Afrique !
Les idées d’efficacité (nullement démontrée) et d’inocuité (nullement démontrée) des vaccinations, prêchées par les vaccinalistes, se sont ancrées avec le temps dans les esprits des individus à tel point qu’il est pratiquement devenu impossible de convaincre le plus grand nombre qu’ils sont les sujets d’une manipulation et d’une désinformation absolument extraordinaires.
Un siècle de pratique de vaccination systématique ne représente finalement que trois générations, donc relativement peu de temps pour prendre un recul suffisant à se rendre compte des dégâts occasionnés par cette pratique et établir un constat définitif. Car décréter que tous les organismes doivent réagir de façon identique à l’injection de ces substances, c’est faire fi de la particularité des constitutions individuelles.
Lorsque que d’ici quelques années il apparaitra de manière significative que les vaccinations ont provoqué la genèse de maladies virales telles que le sida, que les vaccinations ont généré un affaiblissement du système immunitaire des individus tels que différentes épidémies emporteront des centaines de millions d’individus en un temps record, alors seulement les survivants se poseront les bonnes questions…. et déboulonneront les statues du “grand” et “génial” Pasteur.
Peut-être aussi demanderont-ils des comptes aux fabricants des vaccins et aux Etats qui les auront soutenus, ainsi que l’on fait les hémophiles contaminés par les transfusions sanguines, cette affaire constituant un bel exemple de l’honnêteté et de la probité des personnes concernées : “responsables, mais pas coupables”….et toujours sur la scène politique!
A ceux qui se posent la question de savoir comment il se fait que le principe vaccinatoire demeure malgré les toujours plus nombreuses mises en garde de nombreux médecins et chercheurs dont certains n’hésitent plus à se qualifier de “dissidents”, c’est le fait du règne de la loi du silence qui s’exerce en premier lieu à l’intérieur même de la profession médicale. Un médecin opposé à la pratique des vaccinations n’ose pas s’exprimer devant ses collègues, de peur d’être signalé à l’Ordre des Médecins, qui pourra le radier….donc l’empêcher d’excercer.
Enfin certiains médecins, même opposés à la vaccination le feront quand même, par intérêt, car cette pratique leur assurera la fidélité d’une certaine clientèle, donc leurs revenus.
La sorte de terrorisme qu’exerce ainsi l’ordre des médecins est une des causes principale de cette omerta.
Comme une publicité aussi intense que mensongère est faite en permanence pour les vaccins et que celle-ci est prise pour argent comptant par les parents d’enfants et la plus grande partie de la population, l’idée fausse que les vaccins sont nécessaires et sans danger à fini par s’ancrer dans les esprits d’une population majoritairement ignorante sur le plan médical.
Lorsque surviennent des accidents, ceux-ci ne sont connus que des personnes directement concernées et à leurs proches. Si quelque journaliste, par hasard, au courant de décès suspects veut en parler, il se heurtera dans un premier temps à son rédacteur en chef qui, généralement, lui conseillera de laisser tomber : ne pas faire de vagues, et se mettre à dos les labos et le corps médical. S’il s’agit d’un journaliste indépendant et qu’il parvienne à faire une enquête sérieuse, risque de surgir un scandale. Que va-t-il se passer alors ?
Alerté par les quotidiens d’information, le Ministère de la Santé panique, exige qu’une enquête soit ouverte, bien entendu exclusivement médicale. Lorsqu’il s’agit d’enfants en bas âge décédés, personne n’osera porter plainte….on leur a tellement dit que les vaccins sont nécessaires et sans danger… ! Les lots des vaccins incriminés seront retirés du marché aux fins d’analyse….par le fabricant lui-même !….qui est ainsi juge et partie, et qui lui, ne panique pas ! Il ne manquera pas de rassurer le ministère que le lot en question ne présente aucune anomalie. In formée par la presse l’opinion s’émeut, au point que le Ministre de la Santé vient s’exprimer à la télévision pour articuler un discours lénifiant et bêtifiant du genre :
” L’enquête a révélé que le vaccin incriminé est tout à fait normal et qu’en aucun cas il ne peut avoir provoqué le décès de jeunes enfants. Il faut rechercher la cause ailleurs que dans l’administration du vaccin.”
Tout le monde repart rassuré, et les permis d’inhumer comporteront la mention : encéphalopathie. Affaire classée.
Jusqu’au prochain “problème” qui sera “traité” de la même façon.
Au point qu’actuellement, les fabricants de vaccins ne se donnent même pas la peine de réfuter les allégations des opposants à la vaccination. Ils continuent de produire et à tenter d’imposer leurs produits partout dans le monde, par l’Organisation Mondiale de la Santé interposée.
Le mot d’ordre international est :”Hors de la vaccination, point de salut! !
” Nous assistons à un aveuglement total des politiques, des organismes internationaux et de populations qui, convaincus du bien-fondé de la vaccination, se dirigent tout droit vers la plus grande catastrophe sanitare de tous les temps sans en avoir conscience.
Tous subissent la dictature des fabricants de vaccins sans se rendre compte qu’ils contribuent à la poursuite d’une dangereuse pollution des organismes et à la pérennité d’une machine infernale qui rapporte à leurs auteurs des profits prodigieux.
LA VACCINATION DU BCG
Tout a commencé dans les années 1920. Avec CALMETTE, sous-directeur salarié de l’Institut Pasteur, et GUERIN vétérinaire sans pratique, également salarié qui mettent au point le fameux BCG destiné à lutter contre la tuberculose. En réalité les expériences sont truquées, les statistiques entièrement inventées et le vaccin, ou du moins son bien-fondé, ne repose sur aucune donnée scientifique sérieuse.
Les promoteurs de cette affaire machiavélique, une vingtaine de familles tenant la santé en otage : mandarins, enseignants, propriétaires de laboratoires, etc. firent voter en 1949, à la sauvette la vaccination obligatoire par le BCG….gratuit…., donc financé par le contribuable.
Curieusement, en 1949, le Président du Sénat était aussi….. le PDG de l’Institut Pasteur.
Le Bacille Calmette Guérin est obtenu a partir du bacille de la tuberculose bovine vivant, atténué par vieillissement. Ce vaccin est donc une inoculation d’une véritable tuberculose bovine atténuée, afin d’éviter une tuberculose humaine grave par la suite.
Durant de nombreuses années on vaccina systématiquement tous les 10 ans, par voie buvable, puis par scarification, sans tenir compte de la réaction tuberculinique, considérée alors comme étant sans rapport avec la réalité de la protection conférée par le vaccin.
C’est un Allemand, Robert KOCH qui découvrit le bacille tuberculeux et la tuberculine en 1882. Il avait constaté une réaction d’hypersensibilité retardée lors d’infestations successives de cobayes par des bacilles tuberculeux. Comparable à un mécanisme allergique, la réaction à la tuberculine permettait une évolution favorable en cas de nouvelle infestation par le bacille tuberculeux (nécrose et caséification solide). Le vaccin de Calmette et Guérin est un vaccin vivant qui inocule une véritable tuberculose atténuée, visant à éviter une tuberculose grave par la suite. La protection que cette vaccination est sensée apporter est basée sur le mécanisme d’hypersensiblité qui vient d’être décrit.
Dans le cour d’immunologie édité par I.G.CORDELIER il est spécifié :
“L’hypersensibilité retardée ne semble pas être un élément de protection contre la grande majorité des bactéries. Dans la tuberculose, où s’établit un état d”hypersensibilité très accentué, l’hypersensibilité peut être favorable, mais elle est le plus souvent défavorable. Son action favorable tient à l’éventualité d’une caséification solide des tissus au contact des protéines bacillaires créant ainsi un milieu sous-oxygéné peu propice à la multiplication des bacilles. Le plus souvent l’hypersensibilité conduit à une caséification liquide qui accentue la dissémination bacillaire, facilitant l’ensemencement des régions saines de l’organe atteint.”
Ce cours est mis entre les mains des étudiants en médecine, qui plus tard vont devoir vacciner parce la loi les y oblige !
Pourtant de nombreux chercheurs disent que :
Le premier danger du BCG tient justement au fait de sa capacité de majoration des atteintes tuberculeuses ultérieures, particulièrement fréquentes, assortie de la faculté à faire un diagnostic précoce puisque la cuti est devenue positive. Ce danger est intimement lié au mode de protection qu’il est sensé apporter : l’hypersensibilité retardée. Le second danger est la bécégite secondaire à la vaccination. Il s’agit là d’une dénomination fantaisiste mais couramment utilisée, reprenant le sigle du vaccin. Elle désigne la plupart du temps une évolution locale très virulente, avec nécrose cutanée et adénopathies. Elle n’est pas vraiment fréquente, et ne préjuge pas en fait des résultats de la vaccination.
Par contre, toute vaccination par le BCG entraîne presque automatiquement une tuberculose cutanée atténuée (dès que le vaccin est pris). Cette infection évolue en général pendant 6 à 9 mois, entraînant une fébricule systématique chaque soir, et une baisse profonde de la vitalité et des défenses immunitaires générales de l’ensemble de l’organisme. Certains individus particulièrement robustes pourront traverser ces 6 à 9 mois sans encombre. Pourtant chez beaucoup d’enfants en particulier, surtout s’ils sont vaccinés très précocément, on observe le déclenchement ou l’aggravation de prédispositions pathologiques aux rhino-pharyngites, aux otites et aux bronchites ou laryngites à répétition. Par ailleurs, la tuberculose, quelle soit spontanée ou inoculée par le BCG, ouvre la porte au terrain arthirtique et aux rhumatismes. Beaucoup, pour ne pas dire la plupart des individus d’aujourd’hui présentent déjà ce terrain arthiritique, lié à leur hérédité. Le fait d’ajouter artificiellement une tuberculose évolutive ne fait qu’aggraver considérablement le problème.
De plus ,avec le tétracoq, les enfants subissent souvent d’autres vaccins pendant la durée de cette tuberculose artificielle. Et les risques de séquelles, y compris les plus graves, ne sont pas négligeables.
Le pire, il n’est pas toujours observé de positivation à la cuti-réaction, même si la vaccin a “pris”, ce qui amène le corps médical à recommencer parfois trois ou quatre fois cette vaccination en quelques années.Ceci, malgré que la cuti-réaction, qui signe l’apparition de l’allergie ou hypersensibilité retardée, ne préjuge aucunement de la prise ou non du vaccin. En conséquence, la multiplication des BCG chez eux est particulièrement dévitalisante et lourde de conséquences. La pratique systématique de la tuberculinisation par le BCG n’est pas pour rien dans la flambée d’allergies de toutes sortes actuelles.
Une preuve évidente de l’inutilité et de la dangerosité du BCG est que l’OMS organisa une expérience à grande échelle entre 1968 et 1971. Un district fut choisi comprenant 209 villages et une ville, soit 360 000 personnes. Toutes les personnes furent testées à la tuberculine, et, négatives, furent divisées en deux groupes : l’un fut vacciné, l’autre, non. Elles furent suivies dans des conditions rigoureuses pendant sept an et demi. Le résultat fut le suivant : il a eu autant de tuberculoses chez les vaccinés que chez les non vaccinés. Autrement dit, selon le rapport en question de l’OMS (Groupe scinetifique ICMR/OMS n°651, Genève, 1980) :
“Le BCG ne conférait aucune protection au cours de sept ans et demi de surveillance ultérieure et la maladie bacillaire frappait beaucoup plus souvent les sujets ayant initialement réagi à la tuberculine, après vaccination, que ceux qui n’avaient présenté aucune réaction.”
La République Fédérale d’Allemagne n’avait pas attendu ce rapport, et en 1973 avait suspendu la vaccination par le BCG. Après la guerre de 40-45, les Pays-Bas présentaient de nombreux cas de tuberculose. Jamais la vaccination par le BCG en fut pratiquée, et pourtant la tuberculose fut éradiquée ! Depuis de nombreuses années ce pays présente le taux le plus faible d’Europe de mortalité par tuberculose. Par contre, les cas de tuberculose sont élevés dans tous les pays où la vaccination est obligatoire.
LE SERUM et le VACCIN ANTITETANIQUES
On savait depuis longtemps qu’un malade guéri du tétanos n’est jamais immunisé contre une seconde atteinte. Certaines expérimentations faites en 1890 avaient semblé démontrer que, quand on inocule le tétanos à un animal, le sérum de son sang, injecté à un autrea nimal, empêche cette même inoculation d’y développer le tétanos. La conclusion tirée de ces expérimentations insuffisamment étudiées était fausse et inapplicable à l’homme. Malgré cela, on fabriqua un sérum de cheval antitétanique en affirmant qu’il protégeait contre le téténos en l’injectant après une blessure. Cette affirmation constitue une duperie, et la même critique s’adresse au vaccin antitétanique qui est non seulement inutile, mais confère une colibacillose. Cette colibacillose spécifique au cheval peut durer plusieurs dizaines d’années. En outre, le sérum peut créer un état anaphylactique en cad d’une deuxième injection, même faite dix ans plus tard.
C’est en 1923 que le Professeur RAMON de l’Institut Pasteur inventa l’anatoxine, un composé de toxines du tétanos et de formol. Des paralysies ont été consécutives à l’injection de ce vaccin. De nombreux témoignages parus dans diverses revues médicales font état des ravages causés.
LE VACCIN TAB DT PASTEUR
Ce vaccin vise à prévenir conjointement la diphtérie, le tétanos et la fièvre thypoïde. L’injection de ce vaccin triple provoque souvent une réaction très forte et peut altérer la santé des vaccinés pendant plusieurs années. Elle peut même provoquer une mort subite.
L’immunisation par ce vaccin apparait comme une chimère, car six mois après la guérison d’une fièvre typhoïde on peut en contracter une autre. Cette vaccination cause de nombreux cas de néphrites et d’affections hépatiques qui se manifestent plusieurs mois après l’injection.
Le principe vaccinaliste qui consiste à vacciner le plus grand nombre de sujets lorsqu’une maladie infectieuse en affecte seulement un nombre insignifiant est aberrant.
LE VACCIN ANTIDIPHTERIQUE
Ce vaccin est aussi inefficace que dangereux.
La vaccination par l’anatoxine a commencé en 1923. Dès ses débuts elle a provoqué de nombreux accidents dont on n’a tenu aucun compte. En 1925, une épidémie ayant éclaté dans l’Armée du Rhin, on décida de pratiquer la vaccination. Le médecin militaire ZOELLER fit à Mayence un premier essai de contrôle : il vaccina 305 recrues par deux injections d’anatoxine diphtérique faites à trois semaines d’intervalle. D’autres recrues non vaccinées servaient de témoins. 11 cas de diphtérie se déclarèrent chez les 305 vaccinés pendant les 3 semaines séparant les deux injections. Un seul cas survint sur environ 700 recrues non vaccinées. Ce résultat catastrophique aurait du commander l’arrêt immédiat de cette vaccination. Ce ne fut pas le cas, on prétendit que les diphtéries des vaccinés étaient survenues chez des hommes incomplètement immunisés, c’est-à-dire trop récemment vaccinés et qu’elles devaient être retirées du lot des vaccinés pour être portées dans le lot des non-vaccinés. Raisonnement ô combien contraire au bon sens et faux. Cette entorse à la vérité avait donc pour effet de changer complètement les résultats de l’expérience de ZOELLER, et le vaccin se trouvait absout de son forfait. On pouvait donc continuer de l’utiliser. Deux ans plus tard, l’Académie de Médecine imposait la vaccination déjà pour les enfants. De 1927 à 1938 l’anatoxine fut la cause de nombreux accidents graves, exposés dans le livre du Dr CHAVANON “NOUS LES COBAYES, Editions Médicis Paris. On s’aperçut que les vaccinés contractaient fréquemment une diphtérie plus grave que celle des non-vaccinés. Il y eut des protestations de nombreux médecins, on n’en tint aucun compte.
Pendant les 7 premières années de vaccination facultative de 1923 à 1930 les vaccinations ont fait ponter le nombre annuel de cas de 12000 à 24000. En Allemagne, les mêmes vaccinations ont fait progresser le nombre des cas de diphtéries de 30000 en 1926 à 147000 en 1937.
On a prétendu que les diphtéries qui se développent chez les vaccinés (post-vaccinales) après l’injection d’anatoxine, sont dues à une diminution de résistance à l’infection naturelle causée par le vaccin. Si cette raison était exacte, elle vaudrait aussi pour tous les virus, or ces vaccinés ne contractaient que la diphtérie, et non pas la rougeole, scarlatine, varicelle….
LE VACCIN CONTRE LE CHOLERA
Endémique en Inde, au Pakistan et dans certaines autres régions d’Asie, cette maaldie était toujours inconnue en Afrique. Au début des années 70, 80000 cas étaient déclarés par 18 pays africains. Comment les vibrions du choléra ont-ils pu être importés? La vaccination est-elle responsable ?
Aux dires de certains experts (Science et Vie avril 1973) le vaccin protège seulement une personne sur deux pendant une brève période de 4 à 6 mois. En 1988 une grave épidémie se déclara en Inde, des milliers d’individus furent atteints. Or, l’OMS avait réalisé quelques vaccinations expérimentales de masse en Inde en 1987, en utilisant un vaccin mis au point par des chercheurs australiens. Cent mille personnes avaient été vaccinées dans la région de New Dehli.
LA VACCIN CONTRE LE TYPHUS
Ce vaccin ne sert strictement à rien. Les premières vaccinations datent de 1911, consistant en une série de 5 piqures faites chacune à un intervalle d’au moins 7 jours minimum et 15 jours au maximum.
Or une épidémie dure de 1 à 2 mois. En conséquence un individu ne serait immunisé qu’une fois l’épidémie passée…
Modifié et perfectionné, ce vaccin est utilisé chez les militaires. Entre 1929 et 1935, sur 2028 cas de typhus et para-typhus enregistrés, 78.7% se sont déclarés chez des sujets vaccinés.
LE VACCIN TETRACOQ ET PENTACOQ
Ces vaccins sont administrés pour prévenir conjointement la diphtérie, le tétanos, la coqueluche et la poliomyélite.
En mars 1986, quatre enfants mourraient dans les heures qui suivirent l’inoculation d’un Tétracoq de l’Institut Meyrieux. La presse s’en est émue, à la suite de quoi chaque médecin français a reçu un courrier de la Direction des Affaires Sanitaires et Sociales, daté du 2 avril 1986, qui informait des faits, en incluant un cinquième enfant décédé. Il était précisé que tous ces décès s’étaient produits en l’absence de toute symptomatologie prémonitoire et ont donc motivé la suspension de cette vaccination jusqu’à nouvel ordre. Un enquête a été diligentée.
Expédié par télex le 2 avril 1986 par la Direction Générale de la Santé, un post-scriptum précise : “Pour les primo-vaccinations et les rappels, attendre que ces vaccins soient remis sur le marché, donc ne pas modifier les habitudes vaccinales. Inutile d’utiliser d’autres associations (DTCoq+Polio buvable, DTCoq, etc.).
Il est rappelé qu’un retard de plusieurs semaines pour l’une ou l’autre des injections de rappel ne diminue pas l’efficacité vaccinale et n’impose en aucun cas de reprendre l’ensemble de la vaccination. Aucune autre vaccination n’est suspendue.”
Bien que tous les journeaux del’époque n’avaient fait cas que de 4 décès suite à l’injection du vaccin Tétracoq Meyrieux, il est fait mention dans cette lettre d’un cinquième cas avec un vaccin d’une autre provenance (Institut Pasteur). Bien entendu, comme le vaccin ne doit en aucun cas être mis en cause, on ouvre une enquête sur des solutions préalablement proposées de la fausse route alimentaire ou la mort subite du nourrisson. Et pour mieux noyer le poisson, il est bien précisé que l’enquête ne portera pas vraiment sur les cinq cas incriminés mais sur tous les cas de morts subites de nourrissons ou de décès par inhalations alimentaires (fausses routes avec étouffement).
De plus , comme supposé dans le post-scriptum, la suspension ne durera pas jusqu’à la fin de l’enquête, mais seulement quelques semaines. Effectivement le 10 avril (HUIT jours après !) les médecins recevaient un second courrier du même expéditeur dont voici le texte : “La consigne d’interdiction de la vaccination quadruple associée (diphtérie, tétanos, poliomyélite et coqueluche) est levée. Néanmoins, l’usage des vaccins provenant du lot Z1277 (Mérieux) est définitivement interdit.”
En HUIT JOURS, tout est dit, vérifié, pesé, oublié ! Le cinquième cas, dû à un autre lot est lui tout simplement occulté. Pas d’autre suite officielle. Sauf pendant l’été 1987 (un an plus tard), le n°1027 de TONUS journal médical réservé aux seuls médecins, contient un minuscule entrefilet qui dit ceci :
“L’autopsie a permis de constater un reflux gastro-oesophagien dans deux cas sur cinq; qui semble être la conséquence de pathologies multiples, souvent intriquées, et où la vaccination pourrait jouer un rôle de cofacteur. Dans les tois autres cas, on a pu déceler l’existence d’une maladie infectieuse au moment de la vaccination.”
On met donc ces accidents “sur le dos” des reflux gastro-œsophagiens ou des morts subites de nourrissons. On admet quand même que la vaccination a pu jouer un rôle de cofacteur. Et on ignore superbement trois des cas. La notion de lot de vaccins qui aurait pu être défectueux, telle qu’avancée au départ est totalement oubliée. Il est donc bien certain que c’est l’association des quatre vaccins en une seule injection qui à été un cofacteur mortel d’une maladie infectieuse intercurrente.
L’honneur des scientifiques est sauf, ils ont admis en grand secret que les vaccinations pouvaient être un cofacteur mortel à des décès autrement inexplicables.
Au cours de l’été 1993, le Ministre délégué à la Santé a noyé le poisson en faisant parvenir à tous les médecins une lettre d’information sur cette fameuse mort subite du nourrisson (1500 cas/an en France). Cette lettre explique comment enquêter sur les derniers instants du nourrisson, l’examiner, rechercher des traces de sévices, traces de vomissements, de glaires…..conseiller l’autopsie…..mais bien évidemment, on ne parle jamais d’une éventuelle responsabilité vaccinale.
Le tétracoq, dont il a bien fallu reconnaître qu’il pouvait être un cofacteur mortel à certaines pathologies du petit enfant, à cause de la multiplicité des toxines inoculées, est remplacé par un quintuple vaccin, le Pentacoq, encore plus dangereux. De plus en plus souvent, les allopathes ajoutent encore d’autres trouvailles comme le vaccin du ROR…
Comme nous l’avons vu, les morts subites après l’injection du tétracoq ont été liées 3 fois sur 5 à une infection récurrente. Or, compte tenu du calendrier vaccinal, il est parfaitement licite de pratiquer les autres vaccinations un mois après l’inoculation du BCG…..c’est à dire en pleine tuberculose ! Et celà se fait couramment, même par les pédiatres….
A titre d’exemple, un Tétracoq contient à lui seul :
– la toxine du bacille de Loeffler (diphtérie)
– la toxine du bacille de Nicolaier (tétanos)
– 5 milliards de bacilles de bordetella-pertussis en phase I formolés (coqueluche)
– plus de 100 000 virus poliomyélitique de type I inactivés par le formol
– plus de 100 000 virus poliomyélitique de type II inactivés par le formol
– plus de 100 000 virus poliomyélitique de type III inactivés par le formol.
Quant au vaccin polio buvable il contient approximativement la même quantité de virus poliomyélitiques, mais ils sont simplement atténués, donc encore vivants et capables de redevenir virulents dans certaines conditions qu’il est impossible de connaître et donc de prévoir. Ces doses sont strictement les mêmes pour tous, quelq ue soient la taille, le poids, l’âge et l’état de santé…
LE VACCIN ROR (Rougeole, Oreillons, Rubéole)
Un groupe médical de réflexion suisse composé des docteurs H.ALBONICO, P.KLEIN, C.GROB, et D.PEWNER et travaillant en collaboration avec 180 médecins et différents spécialistes suisses, allemands et américains ainsi qu’avec le CDC (Cente of Diseases Control) aux USA et leprofesseur D.JACHERTZ à Berne, épidémiologiste réputé, a publié un rapport à propos de la vaccination ROR le 2 novembre 1990. De ce document ressort une vive critique du principe de cette vaccination, cette critique étant fondée sur divers accidents produits en particulier aux USA. On y lit que de sévères épidémies de rougeole récemment déclarées aux USA et en Hongrie, deux pays affichant une haute couverture vaccinale depuis plusieurs années, permettent de mettre en doute l’efficacité du vaccin. Selon le Pr D.JACHERTZ, les risques encourrus étant imprévisibles, il faut se garder, en l’absence d’urgence sanitaire, de transformer une maladie à caractère endémique en épidémie par une vaccination systématique.
Ce rapport signale aussi qu’aux USA en 1990, les cas de rougeole sont en constante augmentation malgré la haute couverture vaccinale. De source officielle, la mortalité est de 10 fois supérieure à celle enregistrée avant l’introduction du vaccin. La plupart des décès étant attribués à la pneumonie rougeoleuse. Un quart d’entre eux concerne les enfants de moins de 1 an et la même proportion est observée chez les jeunes adultes de 19 à 33 ans.
Les conséquences sur le système immunitaire d’un vaccin renfermant trois sortes de virus vivants atténués ne sont pas encore élucidées, en particulier à longue échéance. Tout porte à croire qu’il existe un équilible fiable entre le système immunitaire et les virus naturels et qu’une rupture durable de cet équilibre peut avoir des conséquences imprévisibles.
Dans A POSSIBLE CAUSE OF ADQUIRED IMMUNE DEFICIENCY SYNDROME (AIDS) AND OTHER NEW DISEASES, R. De LONG montre qu’on peut y voir la source du sida et d’autres nouvelles maladies (MEDICAL HYPOTHESIS n°13, 1984, p.395 à 397).
En Gambie, seul pays où selon l’OMS la rougeole aurait été éradiquée, parceque, en 1967, 96% de la population avait participé à une campagne de vaccination intensive. Pourtant, en 1972, cette maladie réapparaissait avec des taux de complications et une mortalité nettement plus élevée.
Le fait de surmonter une maladie par ses propres forces permet à l’enfant d’achever la maturation de son système immunitaire et de développer une résistance accrue.
En conclusion, il vaudrait mieux laisser agir la nature et ne pas vacciner contre ces maladies infantiles facilement guérissables par des thérapies naturelles. Le développement de ces maaldies bénignes ne se produit pas chez les enfants disposant d’un système immunitaire performant, et chez les autres, elles permettent d’acquérir une immunité naturelle définitive.
Evidemment les fabricants de vaccins ne pensent absolument pas de la même manière.
On notera aussi que le vaccin combine ROR de souche Urabe a été retiré du marché le 15 septembre 1992 en Allemagne et en Angleterre, suite à une étude anglaise qui, deurant deux ans, constatait de 1 à 2 cas de méningite pour 10 000 vaccinations, soit de 10 à 20 fois plus que la fréquence reconnue par l’Institut Méyrieux, fabricant du vaccin depuis 1989.
Un étude publiée dans THE LANCET (prestigieuse revue médicale), menée sur 3500 personnes de plus de 30 ans qui auraient participé à un test entrepris en 1964 signalait qu’un grand nombre d’entre eux auraient été atteints par la maladie inflammatoire des intestins dite Maladie de Crohn. L’équipe de recherche aurait mis en évidence le virus de la rougeole dans l’intestin de ses patients.
LE VACCIN CONTRE L’HEPATITE B
Il s’agit d’un virus à ADN. Sa transmission se ferait essentiellement par voie sexuelle et sanguine et à un degré moindre par la salive. L’incubation dure de cinquante à cent jours et l’infection est aiguë, qu’elle soit symptomatique ou non. L’ictère caractérise généralement la maladie dans 65% à 85% des cas. En général, la guérison suit le plus souvent l’infection aiguë. Les formes d’hépatites fulminantes sont très rares. Le passage à la chronicité (env. 10% des cas) représente la réelle gravité avec un risque de contagiosité permanent et d’évolution vers la cirrhose et le cancer du foie. Les études réalisées en occident mettent en évidence 1 cas d’hépatite sévère sur 1000. En France donc, le nombre de cas sévères est d’environ 60 000 pour une population de 60 millions d’habitants. En comparaison environs 200 000 cas de cancers sont recensés chaque année.
En 1991 en France la loi a rendu obligatoire la vaccination contre l’hépatite B pour le personnel de santé, vaccination qui est un échec avoié. Les enfants vaccinés en automne 1994 (plus de 500 000) avec l’Engerix B, et non suivis à cause de leur nombre risquent fort de présenter des cancers et autres affections graves dans 15 ou 20 ans.
Normalement, ce vaccin est sensé (indirectement) protéger contre le cancer du foie. Or, aucun vaccin a ce jour n’est capable de prévenir un cancer. Par contre, il est de plus en plus admis dans le monde médical et scientifique que les vaccins sont générateurs de désosrdres immunitaires provoqués entraînant différentes affections de dégénéresence telles que les maladies autoimmunes, les allergies, les leucémies, les cancers, et probablement le sida.
Non seulement ce vaccin ne protège pas du cancer, mais il provoque de graves effets secondaires tels que les hépatites fulminantes, les méningites, les névrites optiques, le syndrôme de Guillain-Barré, les paralysies de Bell, l’épilepsie, les convulsions, le psoriasis et le choc anaphylactique mortel.
Une première génération de vaccins aété proposée dès 1980. Il s’agissait des vaccins HEVAC B et HEPAVAX. Fabriqués à partir de plasma humain prélevé sur des malades contaminés par le virus de l’hépatite B et présentant des antigènes spécifiques, ces vaccins n’étaient probablement pass ans dangers. En effet, avant 1986, il étaittout à fait possible que les malades ayant servi à fabriquer ces vaccins aient été contaminés par le virus du sida, bien que les démentis des vaccinalistes soient formels, ces derniers disant avoir recours à des techniques de purification et d’élimination des particules de taille virale, pour éliminer les virus recensés comme agents possibles du sida.
Une deuxième génération de vaccin aété produite par génie génétique, à savoir le GENHEVAC et l’ENGERIX. Pour fabriquer ces vaccins, on fait travailler des cellules en laboratoire pour leur faire produire à la chaîne lesp articules antigéniques présentes dans la capsule du virus de l’hépatite B. La mise au point de ce vaccin ne répond pas à aucune donnée scientifique réelle. Car si des anticorps sont effectivement produits au contact des particules de la capsule virale, ils ne servent qu’à les évacuer alors même que le virus a inoculé son capital génétiqueà l’intérieur de la cellule cible.
Il existe deux procédés de fabrication, l’un préconisé par le laboratoire GSK, l’autre par l’Institut Pasteur. A priori celui de GSK semble moins dangereux. Toujours est-il que l’on introduit dans l’organisme humain un antigène constitué par un gène viral de l’hépatite B.
Les chiffres alarmistes produits à l’apoque pour tenter de convaincre l’opinion qu’une grave épidémie menaçait les populations se dont avérés relever de la plus haute fantaisie.
En prenant une loupe pour lire la notice du vaccin GSK ENGERIX BB on peut lire :
“Très rarement, ont été observés des symptômes évocateurs de bronchospasme ou d”autres effets systématiques, tels que : la syncope, l’athralgie, la lymphadénopathie. Exceptionnellement, un anaphylaxie, des cas d’hypotension, de paralysie, de neuropathie et de névrite y compris du syndrôme de Guillain-Barré, de névrite optique, de sclérose en plaques, d’oedème de Quincke.”
Au moins les labos GSK ont le mérite de la franchise dans ce cas précis !
Sur la notice du vaccin de Pasteur-Mérieux, on peut lire :
“Aucune réaction d’intolérance grave locale ou générale n’a été rapportée au cours des études cliniques, ni aucune réaction d’hypersensibilité. Les réactions secondaires modérées ont été notées : réactions locales, douleurs, dont la fréquence est de 20 à 30%, induration fréquence 10%. Réaction générale : fièvre, myalgies dont la fréquence est inférieure à 1 %.”
Il semblerait que Pasteur-Mérieux a réussi à produire un vaccin miracle, puisqu’aucun des graves effets de celui de GSK n’est cité !
Et pourtant, ce fut le vaccin de GSK qui fut choisi par les ministres de l’époque (Simone Weil et Douste-Balzy).
En fait, cette affection est en décroissance depuis 1979. Comme toute maladie infectieuse, elle a une courbe de croissance, suivie d’une décroissance naturelle. On vaccine pour faire croire à l’efficacité du vaccin en phase décroissante.
L’accumulation de vaccins de toutes natures, tous azimuts, sans le moindre intérêt curatif ou préventif, épuise et affole le système immunitaire, cequi est la base indispensable à l’installation du syndrôme d’immunodéficience acquis.
Source : http://infoalternative.over-blog.fr/article-origines-et-theories-de-la-vaccination-56548873.html
—Note L. LSG—
Je voudrais porter cette discussion plus loin, au niveau spirituel, car tout vient de là…
La maladie n’existe pas à l’origine. Dieu n’a jamais créé la maladie.
Son origine se trouve dans l’illusion de la séparation.
Lire l’article suivant :
Namaste
L.