Le mystère 3I ATLAS

Sur stompensonges.com et lors des émissions avec Estelle et Gérard, nous avions parlé que la révélation de la présence extraterrestre (dans le rêve), allait probablement se passer avant fin 2025.

L’évènement que nous vivons actuellement, l’arrivée de 3I ATLAS, dépeint cela. L’histoire reste une histoire mais certaines sont plus intéressantes que d’autres 😉

Dites moi ce que vous en pensez ? 😉

Laurent

Dossier-3I/ATLAS : l’objet qui dérange

1- Découverte d’un visiteur interstellaire pas comme les autres

  • Le 1ᵉʳ juillet 2025, le télescope ATLAS (Asteroid Terrestrial-Impact Last Alert System) au Chili repère un objet fuyant le Système solaire, dont la trajectoire est hyperbolique — il ne tourne pas autour du Soleil. IFLScience+2arXiv+2

  • Baptisé 3I/ATLAS, c’est seulement le troisième objet interstellaire confirmé après ‘Oumuamua (2017) et 2I/Borisov (2019) — mais il semble beaucoup plus massif, plus brillant, plus inhabituel. arXiv+2Chron+2

2- Le “Blackout” de la NASA Autour de 3I/Atlas : Simple Coïncidence Technique ou Voile sur des Données Sensibles ?

Dans le vaste théâtre de l’espace, où des objets interstellaires comme 3I/Atlas traversent notre système solaire en posant plus de questions qu’elles n’apportent de réponses, un élément intrigue particulièrement : le silence apparent de la NASA et de certains observatoires au moment clé de son passage. Est-ce une panne fortuite liée à des contraintes budgétaires, ou cela cache-t-il une gestion délibérée de l’information ? Comme souvent dans les enquêtes, explorons les faits sans trancher, en laissant le lecteur face à ces interrogations persistantes, tout en nous basant sur des déclarations récentes et des observations publiques.

Rappelons d’abord le contexte : 3I/Atlas, découverte le 1er juillet 2025 par le télescope ATLAS au Chili, est un objet interstellaire massif – avec une masse estimée à 33 milliards de tonnes – suivant une orbite hyperbolique qui la propulse à travers notre voisinage cosmique. Son périhélie, prévu le 29 octobre 2025, la rapproche à environ 1,4 UA du Soleil, offrant une fenêtre idéale pour des observations détaillées. Mais justement, au moment où des sondes sur Mars et des télescopes terrestres pourraient capturer des données cruciales, un “blackout” semble s’installer. Pourquoi la NASA, habituellement prompte à partager des images et analyses, reste-t-elle si discrète ? Des articles récents soulèvent cette question, notant que “NASA has gone silent just hours before humans get their most detailed look at the mysterious object traveling through the solar system.” Est-ce lié à un shutdown gouvernemental américain, comme mentionné dans des rapports indiquant que “The U.S. government just shut down. That means thousands of NASA staff furloughed, data pipelines stalled, and critical science delayed” ? Ce timing, coïncidant avec le passage de 3I/Atlas près de Mars le 3 octobre, invite à se demander si des contraintes budgétaires expliquent tout, ou si d’autres facteurs entrent en jeu.

Sur les réseaux sociaux, les discussions amplifient ces doutes. Un post récent sur X souligne : “NASA Blackout During 3I/ATLAS Interstellar Comet Flyby”, reliant cela à un silence orchestré pendant le survol martien. Un autre utilisateur s’interroge : “NASA confirms all contact with Mars Rovers Perseverance and Curiosity has been lost — just hours after transmitting images labeled ‘Atlas 3i.’ Officials say the data showed ‘unexpected anomalies’ before the blackout.” Anomalies inattendues ? Perte de contact avec les rovers martiens précisément quand 3I/Atlas passe à proximité ? Cela pourrait n’être qu’une coïncidence technique, mais pourquoi ces images étiquetées “Atlas 3i” sont-elles mentionnées avant le blackout ? Des observateurs amateurs, comme dans un post du 4 octobre, notent que “Youtuber Donsonian Power managed to capture this photo of 3I/Atlas on his solar telescope imagine how good the photos NASA would have if they hadnt gone on blackout.”

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Si des amateurs capturent des images, pourquoi les agences spatiales, avec leurs outils avancés, semblent-elles en retrait ? Et que dire du silence international : un tweet pointe “The silence from China is deafening. While NASA and ESA have gone quiet about 3I/ATLAS, China’s total blackout is sparking even more speculation.” Tianwen-1, la sonde chinoise sur Mars, était en position pour observer, pourtant aucune donnée n’émerge. Est-ce une convergence de pannes globales, ou une coordination tacite pour filtrer l’information ?

Des sources astronomiques officielles ajoutent à l’énigme. La NASA mentionne que “3I/ATLAS should remain visible to ground-based telescopes through September 2025, after which it will pass too close to the Sun to observe.” Mais pourquoi, alors que des missions comme celles sur Mars et Jupiter (ESA’s Juice et NASA’s Europa Clipper) sont prêtes à observer en novembre, les flux de données terrestres s’interrompent-ils ? Un article souligne que “The passage of 3I/ATLAS near Mars on October 3, 2025 will allow the HiRISE camera onboard the Mars Reconnaissance Orbiter to achieve a pixel resolution of 30 kilometers.” Avec une telle résolution potentielle, on pourrait s’attendre à un flot d’images ; pourtant, des rapports indiquent des “problèmes techniques” dans des observatoires comme Mauna Kea ou Keck, limitant les analyses spectrales. Est-ce dû à des maintenances routinières, ou cela masque-t-il des découvertes sensibles, comme des anomalies dans la composition de l’objet (ratio nickel-fer élevé, coma de CO2 actif à 4 UA) ?

Le Dr. Avi Loeb, souvent cité pour ses hypothèses ouvertes, interroge ce silence sans l’expliquer : “Pourquoi la NASA ne peut-elle pas expliquer cela ?” Dans des contextes comme un symposium MUFON, il pose : si 3I/Atlas montre des formes cylindriques ou des accélérations non gravitationnelles, qu’est-ce que cela impliquerait ? Sans affirmer un blackout intentionnel, ces questions soulignent une opacité qui alimente les spéculations. Des posts sur X vont plus loin, comme “This is not a coincidence; it is a ‘strategic blackout’ operation.” Stratégique ? Pour protéger des données classifiées, ou simplement une convergence de facteurs budgétaires et techniques ?

En fin de compte, ce “blackout” autour de 3I/Atlas – avec des pertes de contact sur Mars, silences internationaux et pannes synchronisées – nous laisse avec une interrogation centrale : dans un monde où la transparence scientifique est prônée, pourquoi ces données tardent-elles à émerger ? Est-ce le fruit du hasard, ou un signe que certaines observations défient nos paradigmes actuels ?

3- Avi Loeb : hypothèses, provocations, et l’idée extraterrestre

Dr Avi Loeb, professeur à Harvard, est l’un des rares à poser ouvertement la question « et si ce n’était pas un astre naturel, mais … quelque chose d’autre ? »

Parmi ses arguments récents :

  • Trajectoire “trop bien alignée” : Loeb estime qu’il est hautement improbable qu’un corps interstellaire ait une orbite presque dans le même plan que les planètes de notre système (ou très proche), si son arrivée était aléatoire. Diplotic+2The Daily Beast+2

  • Lueur devant, pas seulement derrière : selon Loeb, on observe une sorte de “glow” devant l’objet — lumineux vers la région en direction du Soleil — plutôt que simplement une queue (coma/tail) classique derrière comme pour une comète “standard”. Cette particularité, dit-il, pourrait indiquer une émission ou réflexion non ordinaire. www.ndtv.com+2Diplotic+2

  • Absence ou faible évidence d’une queue cométaire visible : certains signes habituellement associés aux comètes (taille de poussière, émission de gaz telle que l’eau ou certains composés spectroscopiques) sont soit faibles, soit atypiques dans ce cas. Loeb insiste sur ces “zones grises” pour ne pas à priori écarter une origine technologique. Survival World+1

  • Hypothèses de manœuvres intentionnelles : Loeb mentionne l’idée d’un “reverse Solar Oberth maneuver” (manœuvre orbitale proche du Soleil pour modifier de manière efficace la vitesse ou direction), et le fait que le périhélie (point le plus proche du Soleil) de 3I/ATLAS soit “caché” pour une période, ce qui limiterait les observations terrestres — un détail qui, selon lui, pourrait être intentionnel dans un scénario technologique. Wonderful Engineering+2IFLScience+2

  • Le projet d’intercepter ou étudier plus de près : Loeb évoque la possibilité d’impliquer la sonde Juno (autour de Jupiter), ou d’autres missions, pour obtenir des observations plus fines. Cela figure dans ses articles récents.

4- Pourquoi l’hypothèse extraterrestre ne peut plus être ignorée

Si l’on assemble les pièces troublantes, voici les raisons pour lesquelles beaucoup (y compris Loeb) estiment qu’on ne peut plus balayer d’un revers l’idée d’un artefact extraterrestre :

Anomalie Ce qu’elle pourrait signifier
Trajectoire alignée avec le plan des planètes Pas purement aléatoire ; pourrait être un “chemin optimisé”
Lueur avant ≠ queue classique Indique émission dirigée ou réflexion non standard
Composition chimique atypique (fort CO₂/H₂O ratio, présence d’eau à grande distance) Soit matériaux exotiques, soit glace/structuration inhabituelle
Absence ou faible queue visible dans certaines observations Moins de poussière petite, effets de perspective, ou comportement non naturel
Masquage autour du périhélie par le Soleil Moment crucial pour observer certaines propriétés pourrait passer sous silence (intentionnellement ou par contraintes techniques)
Appels pour mission Juno pour observer de près Si on peut, autant confirmer ou infirmer rapidement les hypothèses fortes

5- Ce que cela impliquerait si 3I/ATLAS était extraterrestre

Si l’objet s’avérait artefact technologique d’origine intelligente, voici quelques conséquences possibles :

  • Une preuve que les civilisations intelligentes peuvent envoyer des sondes ou vaisseaux interstellaires, et que certaines de ces vaisseaux peuvent traverser des distances énormes.

  • Un ajustement majeur de notre conception de ce que sont les objets interstellaires : ils pourraient ne pas être tous des comètes ou des astéroïdes, mais inclure des objets fabriqués, intentionnels.

  • Une nécessité pour les agences spatiales de développer une politique de réponse aux découvertes “éventuellement intelligentes” — surveillance, transparence, et potentielle défense (ou du moins compréhension).

  • Sur le plan humain, une onde de choc philosophique, religieuse, sociétale : si nous ne sommes plus seuls, cela change la donne.

Conclusion sur 3I ATLAS

Ceci n’est que “ma” conclusion, libre à toi d’avoir la tienne, mais je te partage la mienne 😉

Le monde dans lequel nous semblons vivre (où plutôt survivre), est un monde dirigé par le mensonge. Mensonge sur ce que nous sommes réellement, et mensonge sur ce qu’est ce monde, considéré par tous ceux qui croient y vivre comme étant normal…

Je pointe ici sur les dogmes religieux disant que Dieu a créé ce monde, ou bien encore qu’il y punirait ses enfants (le mythe du pêché originel).
Ces croyances sont profondément ancrées chez les humains, y compris chez les athées, puisqu’on le retrouve chez les francs maçons et leur démocratie basée sur ce mythe de : crimes et châtiments.

Mais si demain un vaisseau ET dont la connaissance n’est pas basée sur ce monde et ses histoires, mais sur la connaissance Divine que Dieu Lui-même a de ce que nous expérimentons ici-bas. Autrement dit si leur civilisation a transcendé les croyances limitantes de ce monde au point de pouvoir se déplacer comme bon leur semble d’un point de l’univers à un autre, s’affranchissant des limitations mentales de l’espace temps et de la matière. Alors leur révélations feraient tomber tous les mensonges sur lesquels nous avons basé notre propre système de pensée nous ayant menées à la mise en esclavage.  Et donc plus de controle possible sur la population. Car oui c’est le mensonge qui dirige ce monde. Et seule la vérité nous libère. Donc pour le pouvoir en place sur Terre, la rencontre ET est une menace. La plus grande menace du mensonge, c’est la Vérité. Et cette Vérité, est de Dieu. Hors, comme Dieu est en nous, nous avons les clés de notre libération, et donc pas besoin de pouvoir extérieur comme c’est le cas actuellement sur Terre.

Laurent

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