Les ORMES se définissent au mieux comme “éléments exotiques“. Leur existence, bien que non validée par la communauté scientifique, témoignerait d’un quatrième état de la matière n’étant par définition, ni solide, ni liquide ni gazeux. Cet état fut nommé “état-M“.

Les Ormes sont dérivés de métal. Ils ne sont rien de moins que les éléments du tableau de mendeleiev dans une forme surpassée.

Au cours des années 1970, le champ de recherche sur l’ORMUS fut activement soutenu à ses débuts par David Hudson, un riche fermier américain. Depuis sa disparition, les recherches dans le domaine fonctionnent essentiellement de manière empirique, les améliorations et découvertes découlant des tests, essais, et des efforts concentrés de tout les chercheurs à travers le globe. De nombreux groupes de discussion et ateliers dédiés à l’Ormus travaillent ensemble de facto pour une popularisation des vertus de ces solutions. Elles sont présentes sur les 5 continents.

Ormes signifie littéralement “Orbitally Rearranged Monoatomic Elements“. Le terme “Ormus” quant à lui, est le nom générique employé pour toute préparation contenant ces éléments. Certaines préparations Ormus sont élaborées à partir d’or, on obtient alors de l’or à l’état-M. D’autres sont préparées à partir du cuivre ou d'argent, on obtient alors du cuivre et de l'argent à l’état-M.

Une autre méthode d’extraction, qui demeure la plus pratiquée, est ce que l’on nomme la méthode “humide“, où l’ORMUS est préparé à partir de sel brut puisque contenant naturellement un large spectre de minéraux. Le résultat de cette lente préparation est considérée comme une “transmutation” des minéraux présents dans le sel vers leur forme à l’état-M.

Les ORMES offrant des perspectives nouvelles en terme de santé, d’agriculture ou d’environnement, présentant un ensemble de capacités tout à fait extra-ordinaires à ce jour, ces éléments -si reconnus- seraient de fait considérés comme les plus importantes, et probablement les plus excitantes des découvertes sur le champ des sciences physiques et biologiques.

Avant d’entrer dans le vif du sujet ORMUS et de pénétrer dans la mine de dossiers aimablement traduits par notre site, nous admettons volontiers que existence de ce qui semble n’être rien de moins qu’un super-état élémental puisse paraître embarrassant à plus d’un de nos lecteurs. D’autant plus que sa découverte, il y a plus de 30 ans déjà, ne fut accompagnée que du plus étonnant silence.

Dès lors nous posons une question. Sommes-nous prêts ? Mais aussi, sommes-nous libres de faire notre rencontre avec cet élément ? Libres de la somme d’intérêts financiers et marchands, ou tout simplement libres dans notre liberté de choisir, décider, de faire un pas de côté lorsqu’il le faut. Ce sont des questions qui méritent nous le pensons, réflexion.

Revenant à nos solutions, il serait juste ici de citer une formule que l’un de nos amis, chercheur sur le sujet Ormus depuis plus de 10 ans, aime employer ; “Ce n’est pas à vous de venir vers les Ormes, ce sont les Ormes qui viendront à vous !

Que cache cet abus de language mystique et pour le moins ténébreux. Peut-être le découvrirez-vous. Ceux déjà familiers avec les travaux du regretté Wilhelm Reich sur “l’orgone” ne seront pas surpris par ce qui va suivre. En effet, un champ immense d’expérience semble à la portée de notre société. Il ne lui reste qu’à franchir ce cap, et ô combien ceci pourrait s’avérer difficile dans les circonstances actuelles d’effectuer un tel changement de paradigme.

Les Ormes nous proposent leurs services, pour notre bénéfice personnel, celui de notre entourage, celui de notre communauté humaine, mais aussi animale, végétale. Ils ne se discutent pas, ils s’expérimentent, s’imposent par les faits, de façon parfois aussi surprenante que se sont imposées des disciplines tout aussi provocantes mais néanmoins reconnues et respectées comme l’est aujourd’hui la physique quantique.

L’utilisation et la connaissance des éléments ORMES surgissent avec précision en de multiples points de notre passé, éclairant d’une lumière nouvelle certaines des époques les plus mystérieuses, perçant également quelques uns des secrets alchimiques uniquement connu des initiés jusqu’alors.

Les références historiques sont nombreuses. Dans l’ancienne Mésopotamie, le Shem-an-na ou « pierre du feu » était produit à partir de l’or et du platine. En Égypte antique ou on l’a nommée mfkzt (blanche poudre d’or), elles étaient l’apanage des pharaons. Un des multiples textes s’y référant se trouve sur la tombe pyramidale du roi Unas, à Saqqarah. De Babylone à Thèbes et plus tard a Athènes, seul le vocable change, Ormus aujourd’hui, Manna,Ka, Pierre Philosophale, hier. La description des propriétés de cette substance exotique demeure au delà des ages.

L’histoire débute à Phoenix (Arizona) en 1976. Un certain David Hudson, riche agriculteur cotonnier possédant des dizaines de milliers d’acres de terre est le principal acteur de cette renaissance.

En Arizona, le sol est particulièrement riche en Sodium et doit être traité à l’acide sulfurique concentré. Ainsi, le mélange eau et acide peu à peu brise la croûte alcaline et en y ajoutant du carbonate de Calcium on obtient un sol propre à la culture en quelques années. Sans entrer dans les détails techniques, soumise à de tels traitements, la terre sèche s’est mise à produire une intense lueur blanche, après de forte pluie, par la suite cet « or blanc » disparaissait totalement, puis revenait cycliquement après un orage…

Le sol volcanique de cette région étant connu pour posséder des propriétés rares et renfermer des métaux précieux, Hudson entreprend un beau jour d’en commander l’analyse quantitative complète. Stupéfaits, les laborantins constatent qu’une partie des éléments défie toute analyse : on n’y décèle aucune caractéristique métallique, aucune réaction chimique et aucune signature spectroscopique ! L’un des chercheurs propose alors de prolonger l’analyse du spectre. Ce n’est qu’à ce moment-là que commencent à apparaître les caractéristiques spectrales, et que se révèle, à la surprise générale, la présence de métaux précieux.

Cette substance enfin identifiée révéla : un mélange de fer, de silice et d’aluminium et surtout 98% de métaux nobles du groupe des platines (Ruthénium, Rhodium, Iridium et Osmium) que l’on prenait alors pour du « rien ».

Au début des années 90, les scientifiques en arrivèrent aux conclusions suivantes : Les ORMEs ont des attributs de supraconductivité (même la lumière peut être transmise par eux) et selon la température à laquelle ils sont soumis ils semblent léviter. Ces éléments échappent partiellement aux champs de force et flottent magnétiquement. Ils sont des supraconducteurs naturels, à « spin élevé », à champ magnétique nul, repoussant également les pôles magnétiques nord et sud.

hall putoffLa théorie d’Hal Phutoff sur « l’énergie du point zéro » et l’espace-temps trouve ainsi un champ d’expérimentation complémentaire grâce à l’ORMUS voire une validation. Ce qui est sous-jacent ici, c’est que la substance peut devenir invisible, échapper à notre perception classique de l’espace et influer sur cette dimension de l’espace-temps.

Pour exemple : « Hudson dit que, si l’iridium d’ORMUS est chauffé à 850º Celsius, celui-ci disparaîtra et il perdra tout son poids. Lorsque la température baisse à nouveau, il réapparaît et il retrouve la majorité de son poids antérieur. » Le brevet de Hudson contient une carte analytique générée par un appareil thermogravimétrique qui illustre cet effet.

« Dans le domaine de la physique quantique, les scientifiques ont récemment confirmé que la matière peut en effet se trouver à deux endroits simultanément. Nous savons maintenant que, à cause de « l’enchevêtrement » quantique, des particules qui se trouvent à des millions d’années-lumière l’une de l’autre peuvent être en relation sans contact physique. »

Selon Hudson, les électrons ainsi réorganisés formeraient des paires de Cooper (co-auteur de la théorie de la supraconductivité), susceptibles de devenir supraconductrices à des températures normales.

La biologie de ces matériaux s’inscrit dans l’approche quantique de la vie. Sous cet angle, les propriétés holistiques de la vie ne sont explicables que par la cohérence quantique; c’est-à-dire que l’activité apparemment aléatoire (selon la thermodynamique classique) des molécules biologiques est en fait régie par les mêmes principes quantiques que ceux qui gouvernent le fonctionnement d’un laser. Ce regard radicalement novateur sur la biologie a été initié par le Dr Mae-Wan Ho. Des travaux récents ont ouvert des perspectives prometteuses en biologie quantique. Alors qu’une petite partie de l’ADN fonctionne par codage des protéines, la majeure partie (qualifiée d’ADN rebut) fonctionne indépendamment de la chimie pour informer le champ « quantique » de l’organisme. Par ailleurs, un certain nombre de publications sur la supraconductivité dans les organismes vivants viendraient confirmer les spéculations de Hudson quant à l’action des ORMUS sur l’ADN ; les uns pouvant même réparer les lésions de l’autre.

Il fut suggéré à de nombreuses reprises que l’Ormus puisse lire l’ “histoire médicale” de son utilisateur, certains rapportent des sensations, des maux, dans diverses parties du corps liées à des états antécédents comme si l’Ormus allait dans le passé, examinant tout, afin de voir si un changement était toujours nécessaire.

Il existe des rapports sur une grande variété de résultats positifs de médecins et thérapeutes éclairés dans un certain nombre de pays, toutefois – ce qui n’est pas surprenant – de tels cas ne sont habituellement pas acceptés pour une publication dans des journaux médicaux traditionnels.

Un jour, son propre oncle, qui s’intéresse à l’alchimie, suggère un lien avec l’« or blanc » décrit par certains alchimistes, une poudre aux propriétés curatives connues pour prolonger la vie. Intrigué, Hudson administre une préparation à base d’ORMUS à un chien atteint de cancer et de piroplasmose. L’animal guérit et des volontaires humains se prêtent à l’expérience, obtenant de bons résultats. Hudson en distribue quelques échantillons à des médecins qui les prescrivent à des patients en phase terminale. Les guérisons remarquables constatées illustreront, graphiques à l’appui, les conférences données par la suite par Hudson, qui adresse également des échantillons à plusieurs laboratoires, dont Merck & Co. et à l’Institut national du cancer. Ce dernier l’appliquera à des cultures de cellules cancéreuses et conclura simplement à son innocuité.

Cela dit, il n’est pas nécessaire d’attendre la science pour tirer parti de cette découverte. La croissance démographique est inexorable et, en même temps, la surface de sol arable est limitée et déjà en grande partie cultivée. S’il était possible ne fut-ce que de doubler la production grâce à cette préparation bon marché à partir de l’eau de mer, la menace de famine ferait place à l’abondance. Et même sans l’utilisation de l’ORMUS comme supplément alimentaire direct, la santé des hommes serait améliorée. En outre, étant donné qu’on ne peut breveter l’eau de mer, on voit mal les multinationales mettre le grappin sur ce marché et le rendre inaccessible aux fermiers du Tiers-Monde.

Comment se fait-il que les plantes, les animaux et les humains en soient arrivés à manquer de ces éléments ? Leur forte concentration dans l’eau de mer laisse supposer qu’au fil du temps, ils y ont été entraînés par le ruissellement. Cela pourrait expliquer la désertification croissante d’une bonne partie des surfaces terrestres. En plus, le déclin de la végétation contribue à l’augmentation du taux d’oxyde de carbone et donc au réchauffement global. Cela pourrait être endigué en traitant à l’ORMUS de vastes étendues de terrain, par exemple par des arrosages aériens, surtout sur les forêts. En outre, pour remplacer les combustibles fossiles, on pourrait augmenter, sur des surfaces plus réduites, la croissance des plantes productrices de biocarburants.

On a régulièrement observé que les productions augmentent encore la deuxième année et les suivantes, après le traitement. Cela est probablement dû à ce que l’ORMUS enrichit la teneur du sol en mycorhizes, champignons symbiotiques nécessaires à la croissance des plantes et dont on devrait reconnaître enfin l’importance, car ils sont gravement menacés par les excès d’engrais chimiques et d’herbicides.

Un prunier a produit, dès la première année de traitement, des fruits deux fois plus lourds que ceux de l’arbre témoin; et après deux ans, ce poids a été multiplié par cinq !

Citons également ces oranges de la taille de melons cantaloups…

On sait également que les plantes traitées aux ORMUS sont non seulement plus productives, mais qu’elles arrivent plus tôt à maturité, nécessitent moins d’engrais et résistent mieux aux parasites. En plus, les fruits ont meilleur goût !

J’ai moi-même expérimenté les ORMUS sur les pommes de terre. Sur quatre rangs de deux espèces différentes, deux ont été traités et les deux autres ont simplement reçu l’équivalent en eau. Résultat : 14 kg pour les témoins, 26 kg pour les plants traités. J’ai aussi obtenu des carottes de plus de 450 grammes…

On a constaté qu’un noyer traité pendant plusieurs années avait atteint deux fois la taille des autres et produit six fois plus de noix ; quant aux noix elles-mêmes, elles sont grosses comme des mandarines !

Cas de régénération cellulaire chez le mammifère. Un chat ayant perdu sa queue dans un accident alors qu’il était âgé d’un mois.

Après un traitement à l’Ormus dans sa nourriture et sur le bout de la queue, on constate une repousse de 6cm après 2 mois et demi.

On constate également une pigmentation des poils et cheveux avec ORMUS cuivre en ingestion au bout d’un à deux ans.


Les éléments ORMUS sont des éléments en métal précieux, dans leur forme naturelle non métallique.
Sous cet aspect, ils sont beaucoup plus ordinaires qu’ils ne le sont dans leur forme métallique.
Les éléments ORMUS sont des minéraux nutritifs essentiels à toute forme de vie.

De nombreux témoins attestent de l’amélioration de leur état de santé suite à la prise des éléments ORMUS dans leur forme concentrée.

Ces éléments ont aussi d’étranges propriétés. Parfois ils disparaissent, lévitent ou traversent des parois solides. Ils ressemblent aux matériaux utilisés anciennement par les alchimistes. Ils ont été associés aux “manna” bibliques, “shewbread“, à l’or du Roi Salomon et aux “mfktz” égyptiens, relatés par Laurence Gardner dans son livre ” Lost Secrets of the Sacred Ark “. Les textes anciens, hindous et chinois, font allusion à des matériaux similaires possédant des propriétés identiques.

Beaucoup de consommateurs affirment que les éléments ORMUS accroissent les facultés psychiques et spirituelles.

Les éléments ORMUS proviennent de l’air, de l’eau et de la terre.

Leur relative abondance les rend facile à extraire et leur mise en concentration requiert des méthodes chimiques et mécaniques plutôt simples. Les matériaux d’ORMUS sont apparemment des élément chimiques traditionnels ayant adopté une structure atomique différente. Ainsi, il s’agirait d’un 4e état possible de la matière, mis à part le solide, liquide, et gaz que nous connaissons déjà. Il existe un lien important, voir majeur, entre ce “nouvel” état de la matière, connu depuis des millénaires par les alchimistes, et le phénomène d’énergie d’orgone.

Nous sommes sur le point de faire le lien entre la matière et l’éthérique…

Concernant l’eau, nous savons qu’elle contient beaucoup plus que des atomes d’hydrogène et d’oxygène.
Un gallon d’eau triple distillée pèse 8 livres, alors qu’un gallon d’eau synthétisée en laboratoire à partir d’oxygène et d’hydrogène pèse 7 livres. Lorsque nous apprenons que les éléments à l’état m sont solubles à l’air, et qu’ils ont la capacité de se cacher à l’intérieur des molécules, il devient possible d’imaginer que ces particules ” nouvelles ” n’aient jamais été découvertes par les scientifiques traditionnels mais qu’elles constituent une composante bien essentielle de l’eau.

Ceci pourrait aussi expliquer les effets de “mémoire” et de programmabilité de l’eau.

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Tout au long du siècle dernier et particulièrement depuis l’époque d’Albert Einstein, les scientifiques ont poursuivit une quête du Saint Graal de la physique moderne : “la théorie unifiée du tout“. Ceci a débouché sur des découvertes inouïes et l’émergence d’un tout nouveau langage qui inclut les supercordes, les quarks et la supraconductivité, ainsi que la conscience de plans d’existence, inconnus jusqu’ici, au-delà de notre propre espace-temps familier.

Dans le domaine de la physique quantique, les scientifiques ont récemment confirmé que la matière peut en effet se trouver à deux endroits simultanément. Nous savons maintenant que, à cause de “l’enchevêtrement” quantique ou "Intrication", des particules qui se trouvent à des millions d’années-lumière l’une de l’autre peuvent être en relation sans contact physique. L’espace-temps peut être manipulé, la téléportation devient une réalité, on annonce des matériaux échappant à la gravité pour les transports aériens, et la science virtuelle nous offre une meilleure compréhension des environnements hyperdimensionnels.

Lorsque, dans La Genèse des Rois du Graal, j’abordais les attributs de l’or monoatomique et des métaux platiniques, j’observais qu’il ne faudrait guère de temps avant qu’il ne soit question des potentialités de ces métaux nobles en vue de la conception de piles à combustible respectueuses de l’environnement. Je suggérais que celles-ci supplanteraient les combustibles fossiles pour les transports et d’autres applications pratiques. Par la même occasion, j’évoquais leur utilisation future en médecine, et particulièrement dans le traitement du cancer. Plus particulièrement, j’examinais les attributs antigravitationnels de ces poudres blanches exotiques et leurs pouvoirs supraconducteurs de nature à dévier l’espace-temps.

Ce qui est vraiment étonnant au sujet de cette énigmatique poudre blanche d’or, à spin élevé, et des métaux platinoïdes, c’est que leur découverte n’est en fait pas récente. Les anciens Mésopotamiens l’appelaient shem-an-na et les Egyptiens la désignaient par mfkzt (la traduction des hiéroglyphes omet les voyelles), tandis que les Alexandrins la vénéraient comme un don du Paradis, et plus tard des chimistes, tel Nicolas Flamel, l’appelèrent la Pierre Philosophale.

A toutes les époques de l’histoire, la “poudre de projection” sacrée était réputée posséder d’extraordinaires pouvoirs de lévitation, de transmutation et de téléportation. On disait qu’elle produisait une lumière brillante et des rayons mortels, tout en étant la clef d’une longévité physique active. Dans le monde actuel, l’Institut des Études Avancées (Austin, Texas, USA) a décrit cette substance comme “matière exotique“, et sa supraconductivité (une de ses caractéristiques principales) a été déclarée par le Center for Advanced Studies (Université de l’Illinois, USA) comme étant “la propriété physique la plus remarquable de l’univers“.

« L’histoire raconte que Moïse prit le veau d’or, le brûla au feu et le transposa en une poudre dont il nourrit les israélites. »

Cependant d’antiques documents montrent clairement que les attributs de supraconductivité et d’affranchissement gravitationnel étaient connus, si non compris, dans le monde cultuel lointain de la lévitation, de la communication divine et du pouvoir phénoménal de l’eletrikus. Dans la mythologie grecque, la quête de cette substance était au centre de la légende de la Toison d’Or, tandis qu’en termes bibliques c’était le domaine mystique de l’Arche d’Alliance, le coffre en or que Moïse ramena du Sinaï et qui fut ensuite conservé au temple de Jérusalem.

Nonobstant tout cela, la première référence historique de la poudre mfkzt est probablement la plus significative. Elle apparaît sous une forme très spécifique dans les textes des pyramides égyptiennes; des écrits sacrés qui ornent la tombe pyramidale du roi Unas, de la Vème dynastie, à Saqqara. Il y est décrit le lieu où le roi est réputé vivre éternellement avec les dieux et ce lieu est nommé le Champ de Mfkzt, un site éthérique associé à une dimension d’outre-monde nommée le Champ des Bénis.

Étant donné que les processus mystérieux associés à l’or possèdent une connotation alchimique, et puisque la poudre de projection monoatomique, bien que constituée de métaux nobles, est classée en tant que “pierre“, examinons les écrits du XVIIème siècle de l’alchimiste Eirenaeus Philalèthe [Ndt : orthographe française incertaine]. Ce philosophe britannique réputé, admiré par Isaac Newton, Robert Boyle, Elias Ashmole et d’autres contemporains, publia, en 1667, un ouvrage intitulé Secrets Revealed [les Secrets Révélés]. Dans ce traité, il analyse la nature de la Pierre Philosophale, supposée pouvoir transmuer un métal vulgaire en or. Mettant les choses au point, Philalèthe conclut que la Pierre était elle-même constituée d’or et que l’art du philosophe consistait à perfectionner le processus.

Notre Pierre n’est rien que de l’or affiné au plus haut degré de pureté et de subtile fixation… Notre or, n’étant plus vulgaire, est le but ultime de la Nature.

Dans un autre traité intitulé A Brief Guide to the Celestial Ruby [Guide Sommaire vers le Ruby Céleste], Philalèthe déclare : On la nomme Pierre à cause de sa nature fixe ; elle résiste à l’action du feu aussi bien que n’importe quelle pierre. En l’espèce, c’est de l’or, plus pur que le plus pur, elle est fixe et incombustible comme la pierre, mais en apparence c’est une poudre très fine. Quelques temps plus tôt, au XVème siècle, l’alchimiste français Nicolas Flamel écrivit dans son Dernier Testament, daté du 22 novembre 1416, que lorsque le métal noble était parfaitement réduit et séché il devenait une “fine poudre d’or“, qui est la Pierre Philosophale.

« On la nomme Pierre à cause de sa nature fixe ; elle résiste à l’action du feu aussi bien que n’importe quelle pierre. En l’espèce, c’est de l’or, plus pur que le plus pur, elle est fixe et incombustible comme la pierre, mais en apparence c’est une poudre très fine. »

Cette histoire a longtemps laissé les théologiens perplexes, car l’exposition de l’or au feu ne produit évidemment pas une poudre blanche, mais de l’or fondu. Plus loin dans le récit cependant, on explique que cette fine poudre pouvait être rassemblée avec de l’encens et transformée en gâteaux de pain blanc, que l’ancienne Bible des Septante appelle le “pain de la présence“.

« C’est à Karnak que, vers 1450 av. J.-C., Thoutmès III fonda sa fraternité de Maîtres Artisans métallurgistes. Ils se réclamaient de la Grande Confrérie Blanche, un nom issu, dit-on, de leur activité en relation avec une mystérieuse poudre blanche de projection. »

Tout cela est mélangé et confondu avec des récits de feu sur la montagne et l’importance soulignée de l’Arche d’Alliance, le coffre en or au couvercle surmonté d’un chérubin, entre les ailes duquel sortaient de mortels éclairs. En rapport avec le pain de la présence, ces traits de lumière de l’Arche étaient également désignés en tant que “la présence” (apparemment la présence de Dieu), et les Grecs l’appelaient electrikus.

Dans l’ancienne Babylone, la poudre blanche énigmatique à haut spin était appelée an-na qui signifiait “pierre à feu“, et lorsqu’elle était formée en gâteaux coniques c’était shem-an-na, dénotant des pierres à feu coniques ou de haute valence. Selon la Bible, les Israélites désignaient la poudre de pain comme manna, qui a une consonance similaire. Dans son Antiquités des Juifs, au premier siècle, Flavius Josèphe explique que le mot manna était en fait une question : “qu’est-ce ?“, et le livre de l’Exode confirme ceci : “ils l’appelèrent manna parce qu’ils ne savaient pas ce que c’était“.

Ceci est entièrement compatible avec les révélations du mfkzt dans le Livre des Morts égyptien (appelé aussi papyrus d’Ani). Ce rouleau de la XVIIIème dynastie, de Thèbes, acquis par le British Museum en 1888, est très illustré et mesure plus de 23 mètres de long. Dans cet ancien ouvrage ritualiste, le pain de la présence est associé à un pharaon qui cherche “l'illumnination finale” et, à l’issue de chaque étape de son voyage, pose sans cesse la question: “Qu’est ce ?“

D’autres textes similaires remontent au IIIme millénaire avant J.-C., et il ressort clairement des bas-reliefs du mont Serâbit au Sinaï que les rois égyptiens ingéraient la blanche manne d’or dés environ l’an 2180 avant J.-C. Cependant, les seuls à connaître le secret de sa fabrication étaient les adeptes des écoles de mystères (Maîtres Artisans), et le futur Grand Prêtre de Memphis portait le titre de Grand Artificier.

L’illumination finale“, (ou, comme les Grecs l’appelaient : la gnose), était une quête perpétuelle idéale. Car, outre le corps physique, on était censé posséder un “corps de lumière“, qui, lui aussi, devait être nourri et soigné afin de se développer. Le “corps de lumière” était appelé le ka et, bien que ce fût essentiellement une forme de vie intangible, il était réputé demeurer actif dans l’Après-vie. L’aliment du ka était la lumière, qui générait l’illumination et la substance productrice de lumière était le mfkzt, la blanche poudre d’or.

Gardant à l’esprit cette information et nous souvenant que tous les aspects de pareilles découvertes ont toujours été des sources d’interrogation pour les historiens, les théologiens et même les scientifiques, nous allons maintenant nous rapprocher du temps présent.

Quittant le Moyen Orient, notre histoire se poursuit en Amérique où, tout à fait par hasard, les mystères de cette science depuis longtemps oubliée ont été redécouverts très récemment. Non seulement le mfkzt a refait surface pour prendre place au premier rang de la recherche en physique quantique, mais les histoires de l’Arche d’Alliance, les récits mettant en scène éclairs de lumière, lévitation et autres attributs divins des textes anciens, sont soudainement devenus des réalités scientifiques modernes.

L’histoire de cette première découverte a été relatée en 1996 dans des articles de NEXUS par l’agriculteur David Hudson de Phoenix, Arizona. Il expliquait que sa terre souffrait d’un taux élevé de sodium qui durcissait la surface et la rendait étanche à l’eau. Pour corriger cela, (en 1976), il injecta de l’acide sulfurique dans le sol afin de rompre cette croûte et de lui donner une consistance malléable. Mais en analysant les composants qui n’avaient pas été dissous par l’acide, il découvrit qu’un des matériaux avait des propriétés inhabituelles. Chauffé par le soleil de l’Arizona, ce composant s’enflammait en un grand éclat de lumière blanche et disparaissait complètement. Cependant, à l’analyse spectroscopique, cette substance se révéla être “du pur rien” !

Après des essais infructueux à l’université de Cornell, un échantillon fut envoyé aux laboratoires Harwell, dans l’Oxfordshire en Angleterre, pour une analyse d’activation neutronique, mais même cela ne permit pas une identification valable. Finalement, moyennant l’assistance de l’Académie des Sciences Soviétique, on parvint à la conclusion que cette mystérieuse matière blanche brillante était entièrement composée de métaux platinoïdes sous une forme jusque-là inconnue de la science.

Au fil de la poursuite de ces recherches, le matériau fut régulièrement chauffé et refroidi, ce qui eut pour effet une fluctuation de son poids gravitationnel. On observa également qu’à une certaine température, la perle blanche se désagrégeait pour devenir une poudre monoatomique (un seul atome) et qu’à ce stade son poids diminuait de façon spectaculaire à 56% du poids d’origine. Une montée en température jusqu’à 1160°C transformait cette substance précieuse en un verre merveilleusement clair, tandis que son poids retrouvait les 100% d’origine. Cela semblait impossible, mais l’expérience fut répétée nombre de fois !

Complètement perplexes, les scientifiques poursuivirent leurs investigations. En chauffant et en refroidissant de façon répétée, sous des gaz inertes, ils découvrirent que la phase de refroidissement portait l’échantillon à un poids incroyable égal à 400 fois sa valeur d’origine; mais en le chauffant à nouveau, le poids diminuait à moins que rien, une valeur largement négative. Lorsqu’ils retirèrent l’échantillon du plateau, ils s’aperçurent que celui-ci était plus lourd que lorsque le matériau s’y trouvait et que la substance possédait la propriété de transférer son apesanteur à l’objet qui le contenait. En d’autres termes, même le plateau était en lévitation ! Ceci correspondait exactement à l’ancien texte alchimique alexandrin qui, 2000 ans plus tôt, disait de la Pierre en or du Paradis que : “la matière surpasse en poids sa quantité d’or d’origine, mais une fois transformée en poudre, elle ne fait pas le poids en balance avec une plume“.

Il fut établi aussi que la substance était un supraconducteur naturel à champ magnétique nul, repoussant également les pôles magnétiques nord et sud, tout en ayant le pouvoir de lévitation et d’emmagasiner n’importe quelle quantité de lumière et d’énergie.

Parvenu à ce stade, David Hudson rencontra le Dr Hal Puthoff, Directeur de l’Institut des Etudes Avancées à Austin, Texas. Dans sa recherche sur l’énergie et la gravité au point zéro en tant que force fluctuante de point zéro, Puthoff avait établi que, lorsque la matière commence à réagir en deux dimensions (comme le faisaient les échantillons d’Hudson), elle devait théoriquement perdre environ 4 neuvièmes de son poids gravitationnel. Cela représente environ 44%, précisément le chiffre résultant des expériences sur la poudre blanche.

Hudson fut donc en mesure de confirmer, par la pratique, la théorie de Puthoff, selon laquelle lorsque la poudre monoatomique passe à un état de supraconductivité, elle n’accuse que 56 % de son poids d’origine ; et aussi que lorsqu’elle est chauffée elle peut parvenir à un état gravitationnel inférieur à zéro, si bien qu’à ce point le plateau pèse moins que lorsqu’il est vide.

···finalement moyennant l’assistance de l’Académie des Sciences Soviétique, on parvint à la conclusion que cette mystérieuse matière blanche brillante était entièrement composée de métaux du groupe platinique sous une forme jusque-là inconnue de la science…

En chauffant et en refroidissant de façon répétée, sous des gaz inertes, ils découvrirent que la phase de refroidissement portait l’échantillon à un poids incroyable égal à 400 fois sa valeur d’origine ; mais en le chauffant à nouveau, le poids diminuait à moins que rien, une valeur largement négative. Lorsqu’ils retirèrent l’échantillon du plateau, ils s’aperçurent que celui-ci était plus lourd que lorsque le matériau s’y trouvait et que la substance possédait la propriété de transférer son apesanteur à l’objet qui le contenait.···

Comme la gravité détermine l’espace-temps, Puthoff conclut que la poudre était une “matière exotique“, capable d’infléchir l’espace-temps.

Cependant la poudre mfkzt devait alors (selon la théorie) entrer en résonance dans une autre dimension, dans quel cas elle devait devenir complètement invisible. Hudson confirma une fois de plus que c’était exactement le cas : l’échantillon disparaissait en effet à la vue tandis que son poids s’annulait.

Ce dont il était question, ce n’était pas simplement la disparition visuelle de la substance, mais qu’elle était littéralement transportée dans un plan alternatif parallèle, une cinquième dimension de l’espace-temps. La démonstration en fut faite lorsqu’on tenta de là remuer et de la ramasser avec une spatule, de telle sorte que, lorsqu’elle réapparaîtrait à la vue, sa position soit différente. Mais cela ne se produisit pas, toute la substance réapparut exactement dans la même position et la même forme qu’au départ. Rien n’avait été dérangé pendant la période d’invisibilité, parce qu’il n’y avait plus rien eu de présent dans le plateau. Bref, la substance n’avait pas été invisible, elle avait en fait modifié son état physique et était passée dans une autre dimension.

Le Dr Puthoff expliqua que c’était analogue à la différence entre un avion furtif, qui ne peut être détecté par les radars, et un aéronef qui serait carrément passé dans une autre dimension.

Ceci donc, est la dimension supraconductrice de l’Orbite de la Lumière ou, comme il est écrit sur les tombes égyptiennes, Du Champ de Mfkzt.

Au début des années 1990, des articles concernant les atomes furtifs et la supraconductivité commencèrent à être publiés très régulièrement dans la presse scientifique. L’Institut Niels Bohr à l’université de Copenhagen, ainsi que les Argonne National Laboratories à Chicago et le National Laboratory Oak Ridge, au Tennissee, dépendants du Département US de l’Energie, confirmèrent tous que les éléments découverts par Hudson existaient certainement en l’état monoatomique. Ceux-ci incluaient l’or et le groupe des métaux platiniques : l’iridium, le rhodium, lepalladium, le platine, l’osmium et le ruthénium.

En déposant ses brevets, Hudson fit classer les substances en tant qu’Eléments Monoatomiques à Réarrangement Orbital (EMRO) [Ndt : ORME en anglais], et la terminologie scientifique décrivant le phénomène monoatomique est : “haut-spin déformé assymétriquement“. Ces substances sont supraconductrices parce que les atomes à haut-spin peuvent transmettre l’énergie de l’un à l’autre sans aucune perte.

La manipulation de l’espace-temps acquit un intérêt particulier, qui produisit une annonce étonnante dans le journal Classical and Quantum Gravity [Gravité Classique et Quantique] en mai 1994. Son auteur, le scientifique mathématicien mexicain Miguel Alcubierre, déclara :

Nous savons maintenant qu’il est possible de modifier l’espace-temps de manière à permettre à un vaisseau spatial de voyager à une vitesse arbitrairement élevée simplement par une expansion locale de l’espace-temps en arrière du vaisseau et une contraction opposée en avant ; un mouvement plus rapide que la vitesse de la lumière, évocateur de la propulsion gauchie de la science fiction“.

Ceci fut suivi quelques mois plus tard d’un article dans le American Scientist (“Hypersurfing sur l’Espace-Temps” vol. 82, pgs. 422-3, octobre 1994). Dans cette étude, Michael Szpir montra que le concept d’Alcubierre ne violait pas la théorie d’Einstein, selon laquelle aucun objet ne peut se déplacer plus vite que la lumière. Il expliquait que, lorsqu’il était en mode gauchi, le vaisseau ne voyageait en fait pas du tout. L’accélération théorique serait énorme, mais l’accélération réelle serait nulle.

Comme la gravité détermine l’espace-temps, Puthoff conclut que la poudre était une “matière exotique“, capable d’infléchir l’espace-temps.Hudson confirma une fois de plus que c’était exactement le cas : l’échantillon disparaissait en effet à la vue tandis que son poids s’annulait.
Nous avions ici un mode de voyage à la vitesse de la lumière qui ne demandait qu’un temps minimal et un carburant minimal… mais seulement que la quantité idoine d’espace-temps se soit ostensiblement déplacée depuis l’avant du vaisseau pour se resituer en arrière, grâce, respectivement, à une contraction et une expansion.

Mais quel dispositif cela nécessitait-il ?
Subséquemment, l’éditeur scientifique de la BBC News britannique, le Dr David Whitehouse, rapporta : L’idée repose sur le concept que, pour les physiciens, l’espace n’est pas vide… L’espace possède une forme qui peut être déformée par la matière… Le vaisseau spatial reposerait simplement dans une bulle gauchie entre deux distorsions de l’espace-temps.

Quelle était donc cette “matière exotique” à laquelle Alcubierre faisait allusion ? C’est de la matière dont l’attraction gravitationnelle est inférieure à zéro. Szpir la décrivit comme “une matière douée de la curieuse propriété d’une densité énergétique négative, contrairement à la matière normale (dont sont faits les gens, les planètes et les étoiles), dont l’énergie est positive.“

Le dispositif exotique nécessaire est un supraconducteur actif; et Hal Puthoff avait déjà expliqué que, à cet égard, le mfkzt de Phoenix était une matière exotique ayant la propriété de dévier l’espace-temps.

Revenons au début, nous pouvons jeter un autre regard aux ORMES et à leur ingestion régulière par les pharaons égyptiens et les rois babyloniens, pour voir exactement comment ces éléments monoatomiques étaient utilisés pour alimenter leurs corps de lumière, avec des résultats étonnants.

Dans un article du numéro de mai 1995 du Scientific American, les effets du métal ruthénium, du groupe platine, étaient abordés en relation avec l’ADN humain. On y observait que lorsqu’un unique atome de ruthénium était placé à chaque extrémité d’un brin d’ADN court, ce brin devenait 10.000 fois plus conducteur. Il devenait en fait un supraconducteur. Depuis quelques temps les chimistes se doutaient que le double hélicoïde pourrait créer, dans l’axe de la molécule, un chemin hautement conducteur, et nous en avions ici la confirmation.

Pareillement, la Platinum Metals Review a régulièrement publié des articles concernant l’utilisation du platine, de l’iridium et du ruthénium dans le traitement des cancers (qui sont provoqués par une division anormale incontrôlée des cellules du corps). Lorsque l’état d’un ADN est modifié (ce qui est le cas dans un cancer), l’application d’un composé de platine entrera en résonance avec la cellule déformée, provoquant la détente de l’ADN et sa rectification. Un tel traitement n’implique aucune chirurgie ; il ne détruit pas les tissus environnants par des radiations et n’agresse pas le système immunitaire, comme le font la radiothérapie et la chimiothérapie.

La profession médicale s’intéressa au haut-spin lorsque la division de recherche biomédicale de la compagnie pharmaceutique Bristol-Myers Squibb annonça que les atomes de ruthénium interféraient avec l’ADN, corrigeant la malformation de cellules cancéreuses. (L’or et les métaux monoatomiques du groupe platine sont en fait des “atomes furtifs“, et il est à présent établi que les cellules du corps communiquent entre elles par l’intermédiaire des atomes furtifs à travers un système d’ondes lumineuses). Ce que la nouvelle science découvre, c’est que le ruthénium monoatomique entre en résonance avec l’ADN, démonte l’hélicoïde court et le reconstruit correctement ; exactement comme on démonte et reconstruit un bâtiment en mauvais état.

On sait que l’iridium et le rhodium ont tous deux des qualités anti-vieillissement, tandis que les composés de ruthénium et de platine interagissent avec l’ADN dans le corps cellulaire. On sait également que, dans leur état monoatomique à haut-spin, l’or et le platine peuvent activer le système glandulaire endocrinien au point de porter la conscience, la perception et les aptitudes à des niveaux extraordinaires. A cet égard, on estime que la poudre d’or à haut-spin a un net effet sur la glande pinéale, augmentant la production de mélatonine. Pareillement, la poudre d’iridium monoatomique a un effet similaire sur la production de sérotonine de la glande pituitaire, et réactiverait “l’ADN-rebut” ainsi que les zones du cerveau imparfaitement exploitées, ou pas du tout.

Il est particulièrement important que, nonobstant toute la recherche actuelle coûteuse et étendue dans ce domaine, les secrets des pierres à feu de haut spin étaient connus de nos ancêtres il y a des milliers d’années. Ils connaissaient l’existence des supraconducteurs propres au corps humain: éléments de la conscience individuelle qu’ils appelaient le “corps de lumière” (le ka). Ils savaient que le corps physique et le corps de lumière devaient être nourris pour augmenter la production hormonale, et l’ultime aliment pour ce dernier était appelé shem-an-na par les Babyloniens, mfkzt par les Egyptiens et manna par les Israélites.

La poudre magique de projection était fabriquée par les prêtres Maîtres Artisans des temples (les Gardiens de la Maison de l’Or) dans le, but précis de déifier les rois… et elle fait sa réapparition aujourd’hui en tant que nouvelle substance primordiale dans des domaines allant du traitement du cancer à l’avion furtif. Elle pourra même fournir la “matière exotique” essentielle au voyage spatial vers des dimensions d’espace-temps inaccessibles jusqu’ici.

Dans Lost Secrets of the Sacred Ark, l’histoire du mfkzt monoatomique est retracée en détail depuis les temps les plus reculés jusqu’à ce jour, avec des références spécifiques à l’importance de l’Arche d’Alliance biblique. De nombreux mystères sont attribués à ce coffre énigmatique, le moindre d’entre eux n’étant pas le mode de sa création au mont Horeb.

Selon notre compréhension actuelle des éléments à haut-spin, il apparaît que l’Arche biblique (ainsi que des dispositifs similaires en Egypte et à Babylone) était directement impliquée dans la fabrication scientifique de la pierre à feu monoatomique (le shem-an-na), tout en offrant à la substance son propre moyen de confinement, d’où les pouvoirs de lévitation et de supraconductivité de l’Arche.

Depuis l’époque de Moïse, on peut retracer l’histoire de l’Arche jusqu’au temple de Jérusalem. Là, ainsi qu’il est écrit dans les Septante, le roi Salomon utilisa son pouvoir “pour fournir du pain à la maison du roi de Tyr“, qui réciproquement offrit des navires, des chevaux et des chars pour la Maison Royale de Judah.

Par la suite (et nonobstant les écrits contradictoires), l’Arche peut être suivie pendant encore 2000 ans jusqu’au rôle étonnant qu’elle joua dans l’histoire des Chevaliers du Temple en Europe. La dernière référence historique nous vient du XIVème siècle, et ce sera la mention de sa dernière demeure qui n’aura jamais été comprise avant l’ère actuelle de la physique quantique et de la recherche sur les propriétés supraconductrices des éléments monoatomiques à haut-spin.

Barry Carter de l’Oregon, Etats-Unis a décidé de passer sa vie dédiée à l’étude des matériaux Ormus et de leurs effets. Il parcourt le monde donnant des conférences et des démonstrations sur ce thème, apparaît sur les ondes de la radio aux États-Unis et a rassemblé l’ensemble des recherches et des rapports, une bibliothèque “Ormus” sur son Site Internet

Résumé :
Ces éléments sont partout dans les 4 éléments symbolisés en Occident : eau, air, terre, feu. Les Ormus ont été mis en évidence scientifiquement dans les années 1970.

L’Ormus se rapproche de l’Alchimie car il possède des propriétés extraordinaires : minéraux nutritifs pour la santé et la lutte contre le cancer, supraconductivité, téléportation, invisibilité, modification de l’espace-temps.

Ces propriétés de l’Ormus rappellent “l’Or Blanc” des Alchimistes, la Pierre Philosophale ou la Manne biblique…
Un certain nombre de métaux précieux, parmi lesquels le Rhodium, l’Iridium, l’Or, le Platine, le Palladium, le Cuivre, peuvent être isolés à l’état solide bien que non métallique, sous la forme d’une poudre grise ou d’un blanc cassé aux propriétés extra-ordinaires.

Ces propriétés d’Ormus étaient connues des Anciens. On en retrouve des traces chez les Mésopotamiens, chez les Égyptiens.

L’Ormus est disponible dans la nature mais aussi il peut être généré par des procédés variés, l’Ormus est dans la terre dans l’air dans l’eau et les nuages : dans la rosée du matin, dans les vortex, dans les sources d’eau vivante, les chutes d’eau, et bien ailleurs comme dans les pierres brut de granit.

C’est l’élixir omniprésent et le fruit du soleil, car lorsque les rayons solaires chauffent le terre humide alors s’évapore en montant la fontaine qui créé l’Ormus natif qui monte en nuages d’orgone.-

Dans le même registre, lire ‘L’or du millième matin‘ d’Armand Barbault.

L’Indium est utilisé depuis plus de 80 ans comme remède homéopathique (indium metallicum) mais n’est aujourd’hui toujours pas reconnu à sa juste valeur en tant qu’oligo-élément. Au cours des années 70, le docteur Henry A. Schroeder, célèbre toxicologiste et enseignant à la section de physiologie de l’école médicale de Dartmouth, conduit une étude sur plus de 1000 volontaires chez l’homme sur les effets physiologiques de l’Indium.

La recherche suggère que l’Indium travaille via le cycle de rétro-contrôle dans l’axe hypothalamus/pituitaire/surrénalien (HPA). Ces glandes dirigent les fonctions de 40 glandes endocrines et aident à réguler la production de 31 hormones, incluant les hormones de croissance humaines, la DHEA, la Melatonine, les stéroïdes et hormones thyroïdiennes.

Un accroissement rapide de l’énergie et de la force sont un des effets les plus fréquemment rapportés par les sportifs. De même, les premiers signes d’améliorations en terme de bien-être global suivent généralement après seulement 5 à 10 jours de supplémentation. D’autres effets à plus long terme sont évoqués, incluant une diminution significative des signes de l’âge.

De l’espagnol indigo, du latin Indium : Inde. L’indium fut découvert en 1863 par Reich etRichter à la suite de l’analyse spectroscopique d’un échantillon de blende qui leur révéla deux raies indigo jusqu’alors inconnues.

Présent en faible quantité dans la croûte terrestre (0,05ppm), l’indium est le 7ème minéral le plus rare parmi les minéraux connus. L’Indium est un élément naturellement présent dans notre organisme, sa concentration décroît à partir de 25-35 ans, puis disparaît presque totalement.

En effet, selon le National Institute of Environmental Health Sciences qui publia l’étude :

TRACE METALS IN THE ENVIRONMENT” au Volume 5 : INDIUM. p.9 et 537, l’absorption totale d’indium provenant de l’alimentation, par jour et par personne, est inférieure à 8 microgrammes (0,008mg) tandis qu’il n’est absorbé par l’organisme qu’à hauteur de 0,2 ug, ce qui représente un apport insignifiant.

Voisin de l’aluminium, n°49 dans le tableau périodique des éléments, l’indium est un élément fascinant pour de nombreuses raisons. Bien que l’indium ne soit actuellement pas reconnu à sa juste valeur en tant qu’oligo-élément, il fut néamoins utilisé depuis plus de 80 ans comme remède homéopathique (indium metallicum)

Du fait de sa quasi-absence dans la chaîne alimentaire, l’indium fut longtemps considéré comme un élément nutritif superflu, pourtant, les recherches et progrès récents de nombreux chercheurs ont su prouver que l’oligo-élément indium avait véritablement rendez vous avec l’histoire.

L’indium ne peut pas, dans son état brut, être correctement assimilé par notre corps. L’indium perd rapidement de son efficacité lorsqu’il se trouve mélangé à la nourriture. C’est pourquoi, bien que l’indium ait été reconnu comme un élément à valeur nutritive depuis 1980, personne n’est jusqu’ici arrivé à faire de l’indium un véritable complément alimentaire.

Les recherches d’un groupe de scientifiques incluant le dr. Henri Shroeder surpassèrent ce problème en rendant l’indium, pour la première fois, bio-assimilable. Peut-être n’avez vous pas entendu dire du dr. Shroeder, pourtant sans le savoir, nous profitons tous les jours des résultats de ses travaux puisque c’est lui même qui proposa de supprimer le plomb de l’essence.

L’alimentation naturelle vivante et spécialement alcaline sont les co-facteurs d’efficacité de l’indium qui permet d’obtenir des résultats parfois spectaculaires plus ou moins rapides selon les cas.

Un accroissement rapide de l’énergie et de la force sont un des effets les plus fréquemment rapportés par les sportifs ou amateurs de fitness. De même, les premiers signes d’améliorations en terme de bien être global suivent généralement après seulement 5 à 10 jours de supplément. D’autres effets à plus long terme sont évoqués, incluant une diminution significative des signes de l’âge.

L’indium est un oligo-élément dont l’action équilibre le système endocrinien et hormonal dans son ensemble, la prise quotidienne d’Indium ayant démontré avoir des avantages liés à l’âge en général, y compris au niveau de la mémoire, de la libido, de la régulation du poids et des niveaux de glycémie. Il fut démontré que sa supplémentation améliore également l’absorption d’autres oligo-éléments essentiels dans l’organisme – comme le cuivre et le zinc, le manganèse et le chrome – leur permettant ainsi d’exécuter leurs fonctions plus efficacement. Lors de tests sur l’animal, les taux d’absorption s’échelonnaient de 60 à 694% en moyenne en fonction des organes observés.

– amélioration du sommeil au bout de 15 jours
– sensation de bien-être après 1 semaine
– meilleure résistance physique au terme de 2 semaines
– glycémie normalisée après 3-5 semaines
– libido redevenue normale après 4 semaines
– tension artérielle régularisée au bout de 10 semaines
– normalisation des menstruations au bout de 3 mois
– tension oculaire stable au bout de 4 mois

Hélas, le nombre d’études cliniques plus que concluantes conduites au sujet de l’oligo-élément Indium arrivèrent à un point donné, celui de la proportionalité entre leurs excellents résultats et l’absence de réaction qu’ils engendrèrent au sein du milieu scientifique.

Plus de 1.000 volontaires chez l’homme étudiés par le Dr George Bonadio, et 1.300 études de laboratoire sur les 30 dernières années suggèrent que l’Indium normalise les glandes majeures pituitaire-hypothalamus-pinéale, tout comme l’ensemble des glandes endocrines et des hormones produites incluant les hormones de croissance humaines, la DHEA, la Melatonine, des stéroïdes et hormones thyroïdiennes.

L’Indium semble travailler via le cycle de retour d’information dans l’axe hypothalamus/pituitaire/surrénalien (anglais – HPA). Ces glandes dirigent les fonctions de 40 glandes endocrines et aident à réguler la production de 31 hormones.

L’hypothalamus est un organe du système nerveux central, situé au coeur du cerveau, il est la clé de l’homeostase et des fonctions parasympathiques comme la respiration, la température de corps, la consommation de nourriture et d’eau ainsi que la stimulation du milieu gastro-intestinal.

La pituitaire commande la diffusions des hormone de croissance, les glandes sexuelles et la fonction des glandes surrénales.

Les glandes surrénales produisent des sterols comme l’adrénaline, l’epinephrine et le cortisol. Ces hormones régulent les effets d’inflammation aussi bien que la perception de douleur, la fatigue et la vigilance mentale.

La mise en équilibre du cycle de retour d’information du complexe HPA synchronise la fonction et la production d’au moins 31 hormones. Cette synchronisation produit un sentiment de bien-être chez la plupart des utilisateurs.

Une des théories quant au processus de vieillissement est qu’il implique la diminution de production de certaines hormones à mesure que nous prenons de l’âge. L’Indium semble agir en ce point en équilibrant et synchronisant le complexe HPA, l’hypothalamus, des glandes pituitaires et surrénales. Ces hormones actives dans le contrôle du sommeil, du métabolisme, de la température de corps, de l’appétit, la tension, le désir sexuel et beaucoup d’autres fonctions essentielles du corps.

L’Indium stimule la production hormonale à des niveaux comparables à ceux de la jeunesse, il agit directement sur le principal axe producteur d’hormones et influe sur les divers aspects du processus de vieillissement – par exemple, la provision d’hormones de croissance qui contrôlent le métabolisme et affecte la densité osseuse est stimulée. L’Indium agit aussi positivement sur la thyroïde et assiste des niveaux de thyroïde appropriés, il en résulte plus de calories brûlées et une aide dans la normalisation du poids.

Bénéfices additionnels rapportés par l’utilisation de l’indium en tant qu’oligo élément :

– Amélioration de l’endurance.
– Amélioration de la mémoire
– Qualité du sommeil (melatonine pinéale)
– Aide pour les migraines
– Aide à la normalisation du taux de glycémie
– Normalisation de la pression sanguine
– Réduction de l’incidence du cancer du poumon
– Amoindrit les effets de la ménopause
– Améliore la pousse des cheveux
– Réduit la durée et la force des coups de froid
– Amélioration de la libido chez l’homme et la femme
– Amélioration des maladies de la prostate

Les recherches du Dr Schroeder démontrent que l’indium diminue les risques d’apparition de tumeurs de 40% en moyenne. Dans le cas du cancer du poumon, l’indium possède le meilleur effet anti-cancérigène parmi l’ensemble des oligo-éléments connus, Les remarques portent également sur le développement des cellules cervicales cancéreuses, le cancer du rectum, du foie, du pancréas.

L’indium sature les tissus néoplasiques et stoppe ainsi la prolifération de cellules anormales cancéreuses.

Dans le cas de cancer à des stades très avancés, l’indium ne guérit pas mais il améliore le confort des malades et diminue leurs douleurs.

Les recherches ont fait remarquer que l’indium avait une incidence sur le poids : les personnes traitées maigrissent.

Cette remarque est plus évidente chez les femmes que chez les hommes. L’indium permet aux hommes comme aux femmes de conserver un poids stable sans variations dangereuses qui mettent parfois la santé en danger. L’indium a un effet bénéfique sur la thyroïde dont il stimule et normalise le fonctionnement, permettant ainsi à l’organisme de brûler plus de calories et de normaliser son poids. L’indium rend la personne plus énergique. Ainsi, plus actives, les personnes brûlent plus de calories, développent les muscles plutôt que les tissus adipeux.

L’indium permet de bénéficier de l’ensemble des oligo-éléments de notre alimentation et contribue à prolonger la vie avec le maximum de qualité. Il ne s’agit pas de stopper le vieillissement, mais d’améliorer la qualité de vie de la seconde partie de l’existence humaine.

En aidant à assimiler les oligo-éléments présents dans le liquide qui transite dans le gros intestin, l’indium améliore de nombreux processus physiologiques du corps, donc améliore la santé générale et la longévité.

Comme expliqué précedemment, l’indium semble exercer une influence de régulateur de l’hypothalamus. L’hypophyse qui contrôle la production de plus de 30 hormones utilise de l’indium, la thyroïde est sensible à ce même élément. Les chercheurs ont remarqué une évidente amélioration de l’équilibre hormonal après supplémentation avec de ’indium.


L’indium diminue l’accumulation de l’acide lactique car il permet de l’extraire des tissus musculaires.

Chez les personnes de plus de 40 ans, l’indium confère une correction de la baisse hormonale et augmente l’endurance (sans effets secondaires) et permet d’observer de meilleurs résultats dans n’importe quelle activité sportive.


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Michel
Michel
Mai 20, 2021 9:09 pm