A partir de différents éléments probants, il est possible d’affirmer aujourd’hui, avec le recul, que MAJESTIC-12 est une appellation imaginaire inventée pour les besoins d’une “opération d’intox”, par une ou plusieurs personnes désireuses de torpiller les recherches des ufologues sur le crash de Roswell et le phénomène O.V.N.I.
Toutefois cela ne veut pas dire qu’un tel groupe n’a pas existé sous une autre nom. Le général Arthur E. Exon, retraité de l’US Air Force, a fourni une indication très révélatrice.
Le cachet postal indiquait un bureau d’Albuquerque, Nouveau Mexique. À l’époque, Shandera s’était associé à William Moore et Stanton Friedman dans le cadre d’une enquête en profondeur sur le crash de Roswell. Indéniablement, les trois hommes étaient ciblés.
Moore a été en 1980 le premier chercheur à révéler une partie de l’incident de Roswell dans un ouvrage en collaboration avec Charles Berlitz. Par la suite, il s’est trouvé en cheville avec certains membres de l’Office of Special Investigations (OSI), qui dépend de l’US Air Force, dont le Q.G. est à Kirtland AFB, Albuquerque, comme par hasard.
Parmi ces agents de renseignements, il y avait un sergent Richard Doty. Or, c’est ce militaire qui est entré en relation avec Moore peu après la sortie de son livre.
Le premier article sur le MAJESTIC-12 a été publié en décembre 1985 dans Just Cause, le bulletin du groupe CAUS (Citizen Against UFO Secrecy).Par la suite, les textes polémiques sur le MAJESTIC-12 ont rempli les pages de nombreux livres et de revues ufologiques durant plusieurs années.
On sait aujourd’hui que les documents reçus par Shandera sont des faux grossiers, probablement fabriqués par Doty, peut-être avec l’aimable concours de Moore.De fait, Doty avait déjà fourni des documents falsifiés à feu Leonard Stringfield, grand spécialiste des crashs d’ovnis. Quand le lecteur saura que l’une de ces pièces fait état d’un Alien tué par une sentinelle sur le tarmac d’une base de l’US Air Force, il aura une idée plus précise du genre de magouilles que Doty était capable de concocter.
Neuf ans plus tard, en décembre 1994, c’est l’historien en aéronautique et ufologue Don Berliner qui reçoit à son tour une pellicule photographique dans un envoi postal tout aussi anonyme que le précédent.
Elle comprenait les photos d’une trentaine de pages relatives à un prétendu manuel d’instructions à suivre en cas de récupération d’ovni. Il s’agit d’un travail très soigné qui comprend les acronymes MJ-12 et MAJIC.
Quoi qu’il en soit, les chercheurs, échaudés par les faux précédents, ont été unanimes pour rejeter l’authenticité de cette trentaine de pages.Certains se sont employés à le déboulonner, et parmi eux, Randle qui ne peut pas supporter Friedman, a certainement été le plus actif.
Première remarque, ce manuel censé être top-secret ne comporte pas de codes numérotés comme il en existe sur de vrais documents très secrets !
Je passerai outre sur tous les tenants et aboutissants concernant ce manuel, notamment ceux relatifs à une prétendue autre copie qui aurait été reçue en 1993 par le même Don Berliner d’un employé de la NASA.Pour autant que je sache il ne l’a jamais divulguée. C’est plus que louche car on ne voit pas pourquoi ce manuel aurait été donné à l’agence spatiale. Idem au sujet d’une copie qui aurait été dans les mains d’un ancien employé de la CIA en 1970.
Peut-être que ces rumeurs, qui émanent de Linda Moulton Howe selon mon collègue Gildas Bourdais, ont été répandues pour tenter de crédibiliser la version d’un manuel authentique.
Randle signale une autre gaffe importante qui est certainement la plus grosse. En effet, la page de couverture comporte dans le bas un logo ou cachet de forme ronde portant la mention suivante : “United States of America”, et en dessous “War Office” (ministère de la Guerre).Randle affirme avec justesse que le War Office n’existait plus depuis sept ans à la date censée être celle de la rédaction du manuel (1954).
Il a commencé par cautionner à fond le crash de Roswell, puisqu’il faisait équipe avec Moore et Shandera sur cette affaire, ce qui n’est pas condamnable en soi loin s’en faut.
La couverture du manuel d’instruction reçu par Don Berliner a nécessité l’utilisation de caractères d’imprimerie de tailles et de styles différents, impossibles à faire avec une machine à écrire. La mention SOM 1-01 est en caractères de grandeur 36 et la classification TOP SECRET/MAJIC/EYES ONLY, est de grandeur 26.
Normalement, elles auraient dû être imprimées en recto et verso, puis reliées en leur milieu par des agrafes au minimum. Ces anomalies indiquent une haute probabilité pour une saisie sur ordinateur et sortie sur imprimante.Or, comme le premier micro-ordinateur a été mis au point en 1973, et que le manuel est censé avoir été conçu en 1954, cela constitue un anachronisme évident.
De plus, avoir attendu presque sept ans après le crash de Roswell pour rédiger un pareil document relève d’un non-sens. Enfin, une pièce aussi élaborée suppose un grand nombre d’exemplaires. Cela ne tient pas la route car après le crash de Roswell il n’a existé que deux unités militaires chargées de récupérer les restes d’objets aériens et spatiaux divers.L’une, de l’armée de Terre, était l’Interplanetary Phenomenon Unit, qui a été désactivée à la fin des années 1950. L’autre, de l’armée de l’Air, est celle qui lui a succédé en 1957, le 4603è Air Intelligence Special Squadron.
Comme dans les cas du “briefing document” et du “manuel” cités auparavant, certains comportent les terminologies “MAJESTIC-12, MJ-12 et MAJIC”.
Cooper aurait prétendu que c’est un nommé Thomas Cantweel qui les lui aurait envoyés, mais cet individu n’a jamais pu être retrouvé.
Deux membres du groupe MUFON, MM. Wood père et fils, déjà cités, se sont employés à établir l’authenticité de certaines pièces. Ils ont d’ailleurs publié un article faisant le point de leurs recherches dans Mufon UFO Journal de mars 1999.Selon eux, il y a des courriers authentiques. Toutefois, nous remarquons que les Wood prétendent que le manuel reçu par Don Berliner l’est aussi, et du coup nous nous posons bien des questions sur ces deux chercheurs.
Dans ce dernier incident, il a décrit un appareil portant sur sa coque un symbole identique à celui de l’ovni de Socorro, observé au sol le 24 avril 1964 par le policier Loonie Zamora.Or il s’agit d’un symbole inventé par le Pentagone, dont le graphisme suggérait un module lunaire, substitué au vrai symbole qui était incompréhensible.
guerre au Pentagone.
Il est daté du 7 août 1946 et doté du cachet TOP SECRET. L’expéditeur y demande des précisions sur le degré de classification de deux noms de code de “plans opérationnels” : OLYMPIC et MAJESTIC.
Un autre document du même organisme daté du 8 août 1946, qui est en fait la réponse au précédent, dit ceci :
“Les deux noms de code cités dans votre message C.63884 ont été déclassifiés par JCS du 8 octobre 1945”.
Or, quand j’étais chiffreur dans l’armée française, on m’a appris durant un stage de formation que lorsqu’un nom de code était choisi pour un but quelconque, on évitait soigneusement de le réutiliser même quand il n’était plus en usage.
“Durant la Seconde Guerre mondiale, la création de noms de code par les militaires américains était réglementée, les listes de noms de codes approuvés étant compilées dans des livres à usage officiel. Les noms de codes n’étaient jamais réutilisés, et quelquefois une opération pouvait changer de nom de code si son but avait été modifié ou si sa sécurité était compromise“.
On y évoque la disparition mystérieuse de plusieurs unités militaires, dont l’une est un canular prouvé, celle d’un bataillon anglais sur la presqu’île de Gallipoli, en 1915, durant la guerre entre les Alliés et la Turquie.Il s’agissait en fait d’une farce faite en Nouvelle-Zélande pour le Cinquantenaire des premiers combats du détachement des troupes néo-zélandaises à Gallipoli.
Or, ces quatre incidents sont cités dans un livre de Patrice Gaston, “Disparitions mystérieuses”, paru en 1973. Pour l’incident de 1915, cet auteur se réfère à LDLN n°82 paru en 1966, et à Georges Langelaan pour la disparition dans les Pyrénées en 1707.
Je constate donc qu’en 1951 (date prétendue de la rédaction de ce rapport annuel), il n’y avait aucune chance pour que ces quatre prétendues disparitions de troupes militaires puissent figurer dans un texte émanant d’un groupe top secret américain chargé de “gérer” le problème des ovnis et des suites du crash de Roswell.
Je parie même que le faussaire a dû s’inspirer d’une source française, car les ouvrages américains les plus récents sur les disparitions bizarres ne citent pas trois des quatre incidents en question. Gaston n’apas été traduit en anglais, mais LDLN, à l ‘époque , avait quelques abonnés anglo-saxons.
écrit avant 1965 ! J’ai tendance à croire pour ma part, que le rapport a été rédigé après l’année 1984, date de l’apparition des premiers documents Majestic-12, qui eux-mêmes étaient des faux comme nous venons de le voir !
juillet 1947, avait annoncé la récupération d’une soucoupe volante par l’armée de l’Air à la suite d’un communiqué officiel émanant de Roswell Army Air Force.
L’article citait le major J. A. Marcel qui avait découvert des débris dans un champ. Il avait été averti par le shérif local, lequel avait été informé par un fermier venu à son bureau avec une boîte d’échantillons de pièces métalliques aux étonnantes propriétés physiques.
Kevin D. Randle est l’enquêteur le plus sérieux et le plus connu sur l’affaire de Roswell. Il a surtout su aller bien au-delà de William Moore, premier limier qui l’a exhumée de l’oubli.
Alors que Moore n’avait pu retrouver que des personnes ayant vu les petits débris cités plus haut, Randle est parvenu à identifier et à rencontrer des gens qui, soit avaient vu l’épave du vaisseau accidenté et les corps de ses passagers, soit étaient les descendants de ces témoins de première main décédés.
Dans “Case MJ-12”, sorti en décembre 2002 chez Harpertoch, Randle divulgue de nouveaux éléments qui confortent l’hypothèse de la chute d’un ovni. Il s’agit en partie de données obtenues avant 1978 auprès d’anciens militaires, notées sur quelques feuillets, puis négligées car à l’époque il n’avait pas perçu l’importance de ces informations.
apportés au bureau du shérif de Roswell, étaient bien d’authentiques restes appartenant à un objet aérien inconnu. En effet leurs propriétés défiaient les lois physiques établies sur les matériaux connus.
trouvé par l’Air Force a été envoyé à Fort Worth”. Autrement dit, dès que la nature anormale de ces objets a été établie, le Pentagone a bel et bien ordonné une mise en scène à l’aide d’un ballon Mogul disponible à la base d’Alamogordo.
C’est en effet sur cette base que l’équipe chargée du programme Mogul avait été détachée. En conséquence, le sous-officier retraité rencontré par Randle pourrait bien être celui qui a amené le ballon démantibulé à Roswell, ou du moins quelques morceaux, à bord d’un camion parti d’Alamogordo.
Il devait prélever certains documents bien spécifiques et les ramener à ses supérieurs. Anoter qu’il a toujours refusé de dire de quels documents il s’agissait et pour quel service il oeuvrait exactement.Il aurait donc pris connaissance de tous les dossiers archivés (qui contenaient des photos et des cartes) et a donc été en mesure de confirmer le crash d’un appareil inconnu avec ses passagers.
Toujours en 1952, mais en un lieu qu’il n’a pas voulu identifier, il aurait vu un Alien vivant, sorti sain et sauf de son vaisseau accidenté. Un peu plus tard, il lui aurait parlé en anglais. Cette créature serait morte en 1953. Cet événement aurait inspiré Spielberg pour son film E.T.
à 350 années lumière de la Terre.De plus, cet Alien aurait affirmé que son espèce et la nôtre étaient les seules créaturesintelligentes de toute la galaxie ! Le problème vient du fait que ces informations ressemblent fortement à celles révélées en 1983 par le sergent Doty à L. Moulton Howe.
De plus, Randle avoue ne pas avoir pu corroborer les dires de son informateur et, plus significatif, n’avoir pas retrouvé son nom à la bibliothèque de l’université d’Iowa où les archives concernant les listes des personnels militaires sont accessibles au public.Il reconnaît même avoir soupçonné une grosse supercherie. C’est ce que je crois aussi, car il est plus logique de ne voir là qu’une action d’intoxication.
Le Project Sign avait débouché sur un épais rapport destiné à exposer le résultat des recherches sur les ovnis. Or, dans les conclusions, les experts affirmaient que ce qui était observé correspondait à des vaisseaux interplanétaires.
Selon l’ancien capitaine E. J. Ruppelt dans son livre édité en 1958, elles ont été rejetées par le général Hoyt S. Vandenberg, adjoint du chef d’état major de l’US Air Force. (The Report on Unidentified Flying Objects, pp. 58 et 64).
tout refusé les conclusions des spécialistes du programme Sign.
En fait, il a seulement demandé que deux ou trois pages du rapport soient supprimées, celles où mention était faite de l’existence de preuves physiques aux mains des militaires.
La première mouture du rapport a donc été renvoyée à la base de Dayton, où se trouvait l’ATIC (les services de renseignements de l’US Air Force). Puis la version définitive, amputée selon les ordres du général Vandenberg, lui a été transmise.Une copie de ce document final a été lue par plusieurs personnes, dont Ruppelt, et les mêmes conclusions y figuraient toujours. Seules les informations concernant les preuves physiques détenues par des militaires avaient disparu. (Case MJ-12, op. cit. pp. 87-88).
Randle rappelle aussi ce que lui a dit l’ex major Edwin Easley, qui était chef de la police militaire à la base de Roswell au moment du crash. Au cours de plusieurs interviews, Easley a toujours refusé de donner des détails sur le rôle exact qu’il avait joué dans la récupération de l’épave et des corps.
Il a justifié son comportement en prétendant avoir juré de garder le secret au Président des Etats-Unis lui-même. Bien entendu, on ne lui a pas fait prêter serment pour un vulgaire ballon.
Randle écrit ceci : “Si le Président a été mis au courant, cela veut dire que le comité
top-secret de superviseurs a été créé à la fin de juillet 1947″.
Le Président ne semble pas s’être déplacé lui-même à Roswell. Par contre, un autre ancien militaire, Robert Smith, a dit à Randle que le Président avait délégué sur place son représentant, un nommé Raymond de Vinney. C’est donc probablement devant cet envoyé spécial que Easley a dû s’engager à garder le silence.
Easley a fait plusieurs réponses indirectes à certaines questions qui ne laissent place à aucune ambiguïté. Par exemple, à un moment donné, Randle lui a posé celle-ci :- “Pensez-vous que le fait de considérer le crash de Roswell comme étant un incident mettant en cause un appareil extraterrestre peut nous mettre sur la bonne voie ?”
“Permettez-moi de vous dire seulement ceci : cela ne vous met pas sur la mauvaise voie”.Enfin, Easley a confirmé que le fermier William Brazel avait été arrêté provisoirement, emmené à Roswell AAF et retenu quelque temps. Si ce témoin n’avait découvert que les restes d’un simple ballon, cette garde à vue ne se serait jamais produite.
Au début des années 1980, des rumeurs ont commencé à circuler sur un survivant qui aurait été retrouvé dans le crash de Roswell. La plus importante émane de la chercheuse Linda Moulton Howe qui, en avril 1983, a pu voir et lire un document très secret que lui a montré le très suspect sergent Richard Doty, de l’OSI (Office of Special Investigations) dépendant de l’USAF.Elle détaille cet épisode dans son livre “An Alien Harvest”. Or Doty a été en cheville avec William Moore, et est connu pour avoir piégé plusieurs ufologues réputés avec des histoires émanant de sa très fertile imagination.
main, l’autre de troisième, qui vont dans le même sens. En mars 1991, il a eu l’opportunité d’interroger Mme Barbara Dugger, petite-fille de George Wilcox, shérif de Roswell au moment des faits.
C’est lui qui avait reçu dans son bureau les premiers débris anormaux apportés par William Brazel. Wilcox avait gardé le silence pendant de nombreuses années car les militaires lui avaient fait jurer de garder le secret.
Il s’avère que Wilcox se serait rendu sur le site n°2, là où se trouvait l’épave principale de l’appareil inconnu accidenté. Il a pu y voir de très nombreux débris ainsi que plusieurs petits Aliens dont l’un était encore en vie.Ils avaient une grosse tête et portaient une sorte de combinaison grise qui ressemblait à de la soie (Case MJ-12). En juin 1991, Randle a réussi à localiser Mme Franckie Rowe, fille de Dan Dwyer, pompier à Roswell au moment de l’incident.
D’autres parents de F. Rowe ont corroboré ses allégations. Randle a évoqué ces deux témoignages en 1994 dans “The Truth about the Ufo Crash at Roswell”. Dans son dernier livre, il en rapporte un troisième qui, bien que très suspect, mérite le détour.
Dans les années 1980, plusieurs supposés documents officiels sont parvenus dans les mains de certains chercheurs américains émanant d’expéditeurs anonymes.
Ces pièces se référent toutes à un prétendu groupe secret chargé de gérer la situation créée par l’intrusion des ovnis en général et du crash de Roswell en particulier.
Il s’agit de la fameuse mystification liée au MAJESTIC-12. Et ce n’est sûrement pas par hasard si ce sont les gens qui enquêtaient précisément sur le crash de Roswell qui les ont reçus comme nous l’avons vu au début de ce dossier.
Cependant, la situation engendrée par l’irruption des ovnis dans notre environnement planétaire, et surtout par le cas de Roswell, a dû conduire le Pentagone à créer effectivement un groupe très secret pour chapeauter les recherches.
Pendant ce temps-là, la diversion de la presse (donc du public) était faite avec des programmes successifs officiellement reconnus : Sign, Grudge, puis Blue Book jusqu’en 1969.
Randle affirme que si l’on examine attentivement la documentation officielle qui existe depuis juillet 1947, et qui a été déclassifiée et rendue accessible grâce à la loi sur la liberté de l’information aux Etats-Unis, on peut deviner qu’un tel groupe a réellement existé.
Guerre ; Stuart Symington, vice-ministre de la Guerre pour l’armée de l’Air ; Carl Spaatz, chef d’état-major de l’armée de l’Air.
Pour sa part, Randle estime que les personnalités suivantes ont dû faire partie de ce comité :
Ces neuf noms proposés par Randle, ajoutés aux quatre cités par le général Exon, sont probablement ceux des treize hauts responsables qui formaient “the unholy thirteen”.D’après mes propres recherches, ce comité de VIP a pu être constitué des membres du NSC, National Security Council, créé le 26 juillet 1947, ce qui n’est pas un simple hasard.
Puis, il a pu porter un autre nom spécifique par la suite, et j’ai proposé Authority 10/2, groupe de pouvoir exécutif occulte créé le 18 juin 1948, émanation du NSC. J’ai d’ailleurs toujours pensé que la création du NSC le 26 juillet 1947 était une des conséquences du crash de Roswell.
Source : Jean Sider
Bonjour les amis, je vais résumer les points de cette article me concernant par rapport aux témoignages qui m’étaient direct (de vive voix) . Oui, pendant la guerre d’Indochine (français) et après le Vietnam (américains), il y a eu des bataillons qui se sont volatilisés (ni vu, ni connu) sans… Lire la suite »
Salut Majestic13, L’action de “noyer le poisson dans l’eau” consiste a donner régulièrement en pâture aux curieux des infos plus grosses que celles qui sont cachées …alors que celles qui sont cachées (car gênantes) pourraient facilement être admises par l’ensemble du peuple 😉 Ceci ayant “l’avantage” de minimiser énormément le… Lire la suite »