Jean-Michel Blanquer a rendu aux écoles leur liberté de choix des rythmes scolaires, et beaucoup ont renoncé au « temps périscolaire », au grand dam des associations.

Qu’elles se consolent. Marlène Schiappa leur ouvrira, pour la rentrée 2018, un nouveau champ d’activité. Son secrétariat à l’Égalité entre les femmes et les hommes enverra, en effet, une circulaire à tous les recteurs « pour qu’ils mettent en œuvre une loi qui existe déjà et qui n’est pas mise en œuvre, qui demande qu’il y ait trois séances par an d’éducation à la vie sexuelle et affective ».

Après le temps « péri-scolaire », le temps « sexi-scolaire » !

Sa mise en œuvre est urgente, car on y parlera, dit le ministre, « de la manière dont effectivement ce n’est pas faire la fête que d’aller mettre une main aux fesses à une femme ». Cela aurait donc à voir avec ce-dont-on-ne-parle-pas mais qui se serait néanmoins passé dimanche soir sur les Champs-Élysées après la victoire des « Bleus »…

La future loi sur les violences sexuelles adoptée par le Sénat le 5 juillet contient, du reste (ça tombe bien), un volet « contre le harcèlement de rue » où la « main aux fesses », qui jadis relevait d’une simple claque retentissante donnée par la femme offensée, pourra coûter 90 euros à l’indélicat.

La République n’en finit plus de colmater les brèches ouvertes dans notre société par l’éviction de l’Église des écoles, où des religieux se vouaient à l’éducation morale et pas seulement intellectuelle des enfants. L’école laïque a pu faire illusion tant qu’elle a diffusé la morale qui avait imprégné la vie sociale depuis tant de siècles qu’on pouvait la croire autonome de cette religion dont on ne voulait plus. Un siècle et demi après, le temps en a érodé les fondements.

Pire : il en construit de nouveaux où la femme, présumée identique à l’homme, ne nécessite plus aucun égard spécifique.

La sexualité masculine – surtout suractivée par une société où le sexe s’invite jusqu’à l’Élysée – peut être brutale, immédiate, peu délicate quant à son mode de satisfaction. Jadis, on l’apprenait à toute jeune fille, en même temps que l’attitude à avoir pour s’en prémunir.

Mais ces filles qu’on persuade que si elles aiment une fille, « C’est comme si elles aimaient un garçon », qu’un garçon n’en est pas forcément un, et qu’elles-mêmes peuvent être des hommes en puissance, pourquoi se protégeraient-elles ?

Si les « écoles à domicile » se multiplient, c’est parfois aussi pour perpétuer l’éducation morale à la complémentarité de cette différence entre filles et garçons désormais niée, voire combattue par l’école publique. Mais le gouvernement est peu favorable à cette pratique, lui qui a inscrit l’obligation de scolarisation dès 3 ans qui sera effective à la rentrée 2019.

Parents, profitez bien des plages. La rentrée sera dure.

Ces séances de rééducation sexuelle « seront dispensées par des associations ayant des agréments “IMS” d’intervention en milieu scolaire ». Il y en a sans doute peu disposant de l’agrément IMS qui parleront d’amour aux enfants, loin d’un discours militant fondé sur la confusion entre égalité et identité.

Que cette identité soit fictive, la belle Marlène le démontre d’elle-même, du reste, non seulement dans ses livres – comme Osezl’amour des ronde, mais aussi dans cette initiative.

Sinon, pourquoi seuls les hommes seraient-ils potentiellement coupables du délit de « main aux fesses » ?

Bd Voltaire via Aphadolie

Du coup nous avons fait une recherche sur cette femme Marlène SHIAPPA, il est toujours navrant de voir ressortir le milieu de la Franc-maçonnerie dans ce genre d'exercice et on voudrais nous les faire aimer ?

ATTENTION / IMAGE adaptée à une situation mais les mots ne sont pas dit ainsi car ils ont un langage codé .

CNDC Jade GALLET

"Le prix du GODF sera remis à Marlène Schiappa le 8 décembre 2017."

2015
"Elle terminait son discours par l’expression maçonnique « Salut et fraternité ! ».
Sa dernière initiative : subordonner les subventions associatives au respect d’une charte de la laïcité.
Mais une révélation a de quoi susciter l’étonnement.

DECEMBRE 2018
Elle échange régulièrement avec Manuel Valls.
Car Françoise Laborde lorsqu’elle s’adresse à Marlène Schiappa, également franc-maçonne, elle le fait en langage maçonnique, utilisant un vocabulaire codifié selon le rituel de la franc-maçonnerie.
Lorsque Françoise Laborde termine un tweet à Marlène SHIAPPA par « J’ai dit », c’est la phrase rituelle par laquelle un franc-maçon conclut une « planche », c’est-à-dire un bref exposé dans le cadre d’une « tenue », terme utilisé pour une réunion réservée aux francs-maçons.
Car Françoise Laborde lorsqu’elle s’adresse à Marlène Schiappa, également franc-maçonne, elle le fait en langage maçonnique, utilisant un vocabulaire codifié selon le rituel de la franc-maçonnerie

Les autres intervenants du dialogue que l’on peut retrouver ci-dessous utilisent également le vocabulaire maçonnique.

Au magazine La Vie, elle avait déclaré « se faire sa propre religion ». En l’occurrence, ses références sont toujours maçonniques, comme le lui a inculqué son père, Jean-Marc Schiappa, président de l’Institut de recherches et d’études de la Libre Pensée. Forte sensibilité par son père Jean-Marc Schiappa, historien et Président de l’Institut de recherche et d’étude de la libre-pensée (qui fut présidé par le frère du GODF Marc Blondel).

Stoppons la loi Schiappa qui indirectement légalise la pédophilie afin de protéger nos enfants ! Ne fermons pas les yeux et réagissons !

Les violences sexuelles subies dans l’enfance ont de lourdes conséquences à l’âge adulte, même 50 ans après. Et ce faute de prise en charge appropriée. 

En France, une femme sur cinq et un homme sur quatorze déclarent avoir subi des violences sexuelles. Les enfants sont les principales victimes : 81% ont subi ces violences avant l’âge de 18 ans, dont 51% avant 11 ans et 21% avant 6 ans. 

Le nombre de suicide bien plus élevé. Plus la victime est jeune au moment des faits, plus les conséquences sont lourdes. 42% des personnes interrogées ont déjà tenté de se suicider, parfois plus de dix fois. Et 95% reconnaissent un impact des violences sur leur santé mentale et physique.

C’est pourquoi nous devons dire non à cette loi ! Nos enfants n’ont pas à subir tout ça. 

Ensemble nous pouvons y arriver ! 

Par Mégane – Pétition adressée à Mme Marlène Shiappa, la secrétaire d’État ; et M. Emmanuel Macron, président de la République Française

Pétition : https://www.mesopinions.com/petition/justice/loi-schiappa-veut/46696

 


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4 Commentaires
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infoveritas
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infoveritas
Août 18, 2018 8:43 pm

Elle Parle Avec le Cœur et Vous Donne RDV en Septembre https://www.youtube.com/watch?v=2N69dVSTteA Une Alerte d’une femme (qui n’est pas maman), très éveillée, qui demande à toute les mères françaises de ne pas envoyer leurs enfants à l’école dès la rentrée 2018. Elle a compris la permission de la Loi Shiappa… Lire la suite »

joule
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joule
Août 12, 2018 8:49 pm

D
C’est comme les vaccins obligatoires pour les nouveaux nés..
, Voir l’exemple de l’Italie qui a fini par vomir cette merde

Andreas
Andreas
Août 12, 2018 6:51 am

Le problème avec ces Francs -maçons est simple : ce sont des sans-âmes, des portails organiques aux ordres d’une hiérarchie occulte dirigée par les éons. La véritable Franc Maçonnerie a été détruite à la révolution Française, il en reste que quelques vestiges ! un monde sans Dieux n’y lois voilà… Lire la suite »

perroquet
perroquet
Août 12, 2018 9:08 pm
Répondre à  Andreas

non personne n’a pas d’âme – les PO ont juste un lien très faible avec leur âme et la source. Leur âme est petite ou a peut être peu de présence mais ils ont toujours le potentiel de reprendre contact et de grandir 🙂 Tous les franc maçons ne sont… Lire la suite »