L’autosuffisance des technologies américaines issues des « black programs » n’assurent évidemment pas qu’ils puissent éviter des erreurs monumentales dans leur relation avec des ethnies exobiologiques. Les responsables qui disposent de ces technologies avancées ont simplement ignoré ou oublié que même une connaissance du futur ne protège en rien des erreurs de libre arbitre au présent qui en tout instant peuvent faire changer le futur en mieux ou en pire. La maîtrise des conséquences de ce libre arbitre n’est possible que dans le cadre d’une pleine compréhension de la logique multivalente. Le futur n’est plus que le simple reflet du présent si le libre arbitre n’est pas utilisé. Si le présent est biaisé par une mauvaise compréhension des circonstances d’une problématique, le futur sera alors lui aussi biaisé par les mêmes causes.

Par le fait que le programme spatial américain possède une technologie relativement limité, elle ne peut constituer qu’une armée de résistance (en logique tétravalente, la notion de résistance est à comprendre comme : vraie armée et pas vraie armée, le fait d’être défini par une affirmation et son contraire permet d’avoir plus d’opportunités potentielles, d’où la notion de flexibilité plus grande pour une armée de résistance qu’une armée standard). L’absence de maîtrise théorique complète d’un transfert hyperspatial entre notre univers et l’univers jumeau associé (voir article « La 5e dimension, la connaissance et la Cabale : l’unique solution est une nouvelle direction de pensée ») ne permet pas de connaître toutes les possibilités de développement technologique utilisant les propriétés de la 5e dimension : c’est un critère incontournable. En deçà de ce point de développement scientifique, la physique des phénomènes 5d reste dans une phénoménologie cadrée avec des inductions théoriques issues de la physique relativiste et des extrapolations hasardeuses d’une théorie plus générale en dehors de tout paradigme théorique cohérent. Il existe autant de différences entre la physique de Newton et la physique de la relativité qu’entre celle-ci et le formalisme complet d’un espace-temps à 5 dimensions. Seul la maîtrise de cette 5e dimension permet de manipuler technologiquement notre espace-temps habituel. L’article suivant va parfaitement dans le sens que le niveau technologique actuel du PSS (programme spatial secret) n’est pas à la hauteur de celui des ethnies exobiologiques qui nous visitent.

http://stopmensonges.com/les-dangers-detre-un-divulgateur-du-programme-spatial-secret/

Il y est affirmé entre autre que (citation):

« Donc, pour revenir à votre question, oui, nous avons ces embarcations. Oui, ils sont anti-gravité et ils peuvent voyager dans l'espace, mais ils ne sont pas encore interdimensionnels, à ma connaissance... »

Les longs voyages interstellaires ou intergalactiques nous sont encore impossibles, contrairement à ce que pourrait laisser penser la tournure de certains propos de l’article. Citation :

Emery: Eh bien, il y a des lois, et il y a une sorte de fédération, d'après ce que j'ai appris. Et ce n'est pas un "tu peux partir". . .” Tout comme on ne peut pas aller d'ici en Europe sans passeport et sans armes. Ceci s'applique donc aussi aux voyages intergalactiques.

Comme toute application technologique nouvelle, le voyage spatial peut utiliser des modalités de réalisation différentes, certaines préservant plus que d’autres l’intégrité de l’esprit des occupants d’un vaisseau. La création de distorsions spatiales générant un différentiel spatio-temporel qui propulse le vaisseau équivaut dans une technologie primaire à mettre la tête d’un astronaute dans un four à microondes si des précautions de protection ne sont pas prises avec des dispositifs technologiques actifs. Cette première génération de technologie de déplacement spatial est extrêmement « polluantes » pour l’esprit des utilisateurs.

L’utilisation précise des équations complètes à 5 dimensions permet de décrire dans les détails les processus thermodynamiques et quantiques impliqués pour générer un transfert hyperspatial et de passer à l’application technologique. Ces mêmes équations permettent de redéfinir les champs gravitationnel, électrique et magnétique dans un cadre physico-géométrique unique (ce qu’on appelle en langage des physiciens une unification des ces trois interactions fondamentales). La compréhension de toutes les interactions nucléaires se faisant également naturellement dans ce cadre théorique élargi où la masse des particules médiatrices des champs d’interactions découle d’une « fusion » des dualités onde-matière et champ-matière à un niveau 5d au sein d’une dualité générale contenu (matière)-contenant (espace). La métrique de l’espace choisi pour générer cette dualité est alors primordiale (voir article « Un nouvel espace-temps : un monde officiel avec une technologie de 5e dimension ? » ).

Un transfert de technologie équitable ne peut pas se faire sans accord équilibré entre les parties concernées. Toute diplomatie s’effectue selon des protocoles (ou en d’autre mot, « accords » dans notre cas). Seul un décalage de protocole (rupture avec un protocole initial) permet de mettre en évidence des irrégularités occultées par un protocole initial. Un protocole permet de cadrer tout débordement de « libre arbitre » pouvant influencer le futur en des termes défavorables pour l’ethnie la plus évoluée. On constate alors que tout protocole s’impose comme étant par défaut défavorable à terme pour l’ethnie la moins développée s’il n’y a pas une ou plusieurs rupture de protocole pour confirmer la véracité du ou des premiers protocoles. Ce principe diplomatique doit être impérativement appliqué pour éviter toute duperie par l’ethnie la plus évoluée, sachant qu’elle utilise une logique différente qui est en principe plus évoluée pour communiquer (logique multivalente). Le décalage de protocole (accord) renforce la validité objective des accords au détriment de la notion de croyance au sens de la logique tétravalente. Un principe de diplomatie exobiologique peut être énoncé de façon complète comme étant le suivant:

 

Tout pacte ou accord diplomatique entre une ou plusieurs éthnies interstellaires possédant des niveaux de développement différents doit être périodiquement revu pour éviter tout biais d'accord (en terme de logique multivalente) pouvant préjugé d'un futur prédéterminé par l'accord pour la ou les civilisations les moins évoluées, cet accord devant être considéré dans le temps comme conforme à un protocole d'évolution.

 

Le libre arbitre est le point antipodal des biais de logique. C’est ce qui assure que lorsqu’il y a rupture de  protocole (par le libre arbitre de la civilisation la moins évoluée par exemple), des irrégularités (issus de biais de logique) possibles peuvent surgir du comportement de l’ethnie supérieure. La rupture de protocole met en évidence ce qui était alors occulté par un précédent pacte conclu.

C’est la conclusion de pacte qui en définitive fait rentrer l’ethnie dans un jeu diplomatique dont l’enjeu est le futur. Le pacte crée en quelque sorte un futur prédéterminé. La compréhension de la logique multivalente (logique tétravalente étendue au libre arbitre qui est défini de façon antipodale par les biais de logique tétravalente) est alors un critère DÉCISIF pour maîtriser la notion de pacte et de son évolution au travers du temps dans le maniement des conséquences, par l’intermédiaire de la sphère spirituelle planétaire de l’ethnie inférieure qui fonctionne aussi selon cette logique multivalente.

L’absence de renégociations des pactes conclus avec certaines ethnies est donc aussi en partie responsable de la limitation des technologies acquises.


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