mourir-le-cancer

Cancer-business, le gros jackpot qui rapporte plus qu’il ne sauve! Car si le cancer tue du monde, combien de personnes en vivent? Cette maladie est une bénédiction pour les laboratoires pharmaceutiques, pour des cliniques spécialisées, pour la recherche, pour des golfeurs d’éminents médecins et leurs équipes, certains soignant au mieux, d’autres se contentant des protocoles officiels en place qui ne sont pas toujours les plus adaptés. C’est justement ce que Nicole Delépine, oncologue-pédiatre maintenant à la retraite a dénoncé à de maintes reprises dont dans un film magnifique passé inaperçu, pas intéressant pour nos chaines de télévisions… La liberté de soigner n’existe pas, le patient et ses besoins ne sont que très secondaires, et le tout est un business morbide, mortel, mafieux.

Il y a les informations qui vous sont données, le reste n’est censé qu’être fantaisie, même si cela vient de cancérologues comme c’est le cas avec le Docteur Jacques Lacaze…

Mais l’information qui nous intéresse réellement aujourd’hui, c’est le pactole généré par les traitements contre le cancer, sachant que sur l’ensemble, 1,8 milliards de dollars de traitements ne seront tout simplement pas utilisés, un gaspillage colossal qui n’est pourtant pas perdu par les laboratoires pharmaceutiques.

C’est le magazine Vox.com qui aujourd’hui lance un pavé dans la mare, et si celui-ci concerne principalement les Etats-Unis, peu de chance qu’il en soit réellement autre ailleurs, comme le dit l’expression: « Lorsque l’on a trouvé le bon filon, cela serait dommage de creuser à côté »…

Selon l’article, les laboratoires vont gagner près de 2 milliards de dollars avec des traitements que les patients atteints d’un cancer n’utiliseront pas, des traitements onéreux dont le cout peut se monter jusqu’à 13 000$ par mois, ce qui est guère étonnant au final. Par exemple, en France, le cout est également prohibitif, ce qui nous est expliqué dans un article de Francetvinfo.fr: « Si rien n’est fait pour contenir les prix « injustes » et « exorbitants » des médicaments anticancéreux, ils représenteront un marché de 144 milliards d’euros en 2020, « soit un doublement en six ans » du coût de ces traitements.« , mais cela va encore plus loin: « La prochaine molécule qui devrait arriver en France pour le traitement du mélanome, commercialisée sous le nom de Keytruda, coûterait plus de 100 000 euros par an pour chaque patient traité« . Le pire étant cet exemple précis qui montre bien la différence du prix d’un médicament en fonction du pays: « Un exemple encore plus frappant est celui du Sofosbuvir, qui guérit de nombreux malades de l’hépatite C et permet donc d’éviter certains cancers du foie, ajoute Emmanuel Jammes, citant un rapport (PDF) de l’association. La cure coûte 67 000 euros aux Etats-Unis, 41 000 euros en France, 4 000 euros en Thaïlande et 700 euros en Egypte ». Le coût de revient du Sofosbuvir est pourtant estimé à 150 euros, selon le responsable de la Ligue contre le cancer ».

Suivant une nouvelle étude, l’un des problèmes viendrait de l’emballage non-adapté aux besoin du patient. Lorsqu’un produits est conditionné dans un contenant à usage unique, pourquoi surdoser le produit alors que celui-ci ne sera jamais utilisé en intégralité par le patient? Surtout que les traitements anticancéreux sont différents des médicaments traditionnels, plus fragiles, délivrés en intraveineuse ou en poudre, stockés trop longtemps ils vont perdre de leur puissance, et une fois ouverts, ils doivent être jetés au bout de 6 heures.

Cela ne serait bien évidemment pas un problème si la dose était intégralement utilisée, mais lorsqu’un produit est vendu par doses de 3,5 milligrammes au Etats-Unis  comme le Velcade (alors qu’il est vendu en doses de 1mg seulement dans d’autres pays), la dose moyenne utilisée pour un patient n’est que de 2,2mg, soit 1,3mg qui finira au fond d’une poubelle, un gaspillage pour l’hôpital, pour le patient, mais également pour les assurances maladies.

Ci-dessous, les doses administrées de Velcade aux patients aux Etats-Unis, comparées aux doses vendues en rouge.

image: http://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/uploads/2016/03/bmj.png

bmjIl s’agit de 27% à 30% du produit qui ne sera jamais utilisé, ce qui représente une somme estimée à 308 millions de dollars/an. Il suffirait donc simplement de pousser les laboratoires pharmaceutiques à revoir le conditionnement des produits, peut-être même à ré-estimer le cout des-dits traitements, mais aucun gouvernement ne s’attaquera jamais à une mafia aussi puissante, nous en avons bien eu la preuve avec les vaccins hexavalents.

Bien évidement, il y aurait bien une autre solution, avoir le courage de refuser toute chimiothérapie, mais comme l’expliquait le Docteur Martine Gardénal, les médecins sont « obligés » de dénoncer les patients qui refuseraient un traitement conventionnel contre le cancer, ce qui implique que les patients n’ont aucun choix quant aux traitements thérapeutiques, ceux-ci sont imposés, ce qui sera renforcé avec la Loi Touraine qui risque de détruire la médecine telle que nous la connaissons.

Pourtant, les articles et témoignages concernant des personnes soignées hors-protocoles se multiplient, nous avions parlé d’une méthode ici, mais d’autres existent et semblent fonctionner. Entre autres exemples…:

Le cancer, c’est une mine d’or pour beaucoup de monde, mais en aucun cas pour les patients qui se retrouvent piégés dans une roulette russe médicale, des protocoles qui garantissent beaucoup de profits à certains, pas de véritable traitement au cas-par-cas comme le faisait le Docteur Delépine avec un grand taux de réussite, pas d’alternatives de proposées, bienvenus dans un monde gangréné par un cancer….financier!

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