Site icon Lumière sur Gaia

Ces ondes qui guérissent

Ces ondes qui tuent, ces ondes qui soignent

Certaines ondes magnétiques ont un grand pouvoir thérapeutique. La maîtrise de ces forces naturelles qui nous entourent a permis très tôt aux chercheurs d’obtenir des résultats sur des pathologies dégénératives ou rhumatismales. Les ondes ont un puissant effet antalgique et assurent une régénération vitale des corps malades.

Si les ondes ont, en physique, des caractéristiques communes, elles sont, en revanche, loin d’avoir un effet uniforme au regard de la biologie et la médecine. Il est maintenant établi que certaines ondes sont extrêmement nocives pour la santé (rayon X, UV, téléphonie), d’autres ondes, elles, peuvent avoir un effet thérapeutique puissant.
Dès les premiers temps de la maîtrise de l’électricité et de l’électromagnétisme, les savants, avec à leur tête Arsène d’Arsonval, membre de l’Académie de médecine (en 1888) et de l’Académie des sciences, se penchent sur les vertus thérapeutiques de l’énergie électromagnétique présente dans la nature.

Les premières découvertes

Les premiers essais thérapeutiques probants de magnéto-thérapie furent menés par Georges Lakhovsky dans la salle de conférence de la Pitié-Salpêtrière à Paris. Avec un dispositif très rudimentaire consistant en une spirale ouverte de cuivre placée autour d’un géranium préalablement contaminé par un virus cancérigène, Georges Lakhosky obtint la nécrose complète de la tumeur en un mois et la survie de la plante alors que les autres plantes témoins n’avaient pas survécu.
Les essais botaniques se poursuivirent avec succès et les résultats permirent au chercheur de construire une théorie qu’il vérifia ensuite avec un appareillage beaucoup plus sophistiqué capable d’émettre des longueurs d’ondes multiples et de traiter des pathologies humaines. Par ailleurs, la plante a eu une croissance exubérante et inhabituelle pour son espèce.

Toutes les cellules vibrent

Selon les travaux de Lakhovsky, toute cellule vivante constituée essentiellement par un noyau (chargé positivement) baignant dans une masse de protoplasma (chargée négativement), comporte les éléments d’un circuit oscillant de très petite longueur d’onde. En effet, le noyau, qui comporte des filaments ou chromosomes, formés d’un tube en matière isolante rempli d’un liquide salé conducteur, est assimilable à un circuit ouvert susceptible d’osciller à très haute fréquence.

Cette oscillation cellulaire est typique de l’activité vitale. Elle est caractérisée, pour chaque type de cellule (nerveuse, osseuse, musculaire, pathologique), par une fréquence et une intensité propres.
Ainsi, une cellule normale est en équilibre oscillatoire et tend à conserver cet équilibre, alors qu’une cellule malade est en déséquilibre oscillatoire sous l’effet des forces extérieures (les ondes parasites) ou intérieures (par changement des constantes chimiques et électriques du protoplasma et du noyau).
Une conclusion s’imposait : l’art de maintenir la santé est alors celui de conserver l’équilibre oscillatoire cel-lulaire. Guérir, c’est rétablir l’équilibre oscillatoire des cellules lorsqu’il est rompu.
Georges Lakhovsky écrit dans son livre « L’oscillation cellulaire », en 1931 : « De même qu’en lançant à la main le balancier d’une pendule arrêtée, on remet cette pendule en mouvement, de même en utilisant les ondes produites par les champs électromagnétiques pulsés, on communique par induction aux cellules malades l’impulsion nécessaire pour rétablir leur équilibre oscillatoire et donc leur bon fonctionnement ».

Chaque organe a sa propre vibration

Pour provoquer ce choc oscillatoire capable de remettre les cellules défaillantes ou endormies en bon état de marche, Lakhovsky construit un appareil capable de créer un champ électromagnétique dans lequel se retrouvent des longueurs d’ondes allant de 10 cm à 400 m. Une telle amplitude s’explique par le fait que les différentes cellules du corps oscillent selon un rythme qui leur est propre et qu’il faut un large spectre pour toucher la bonne fréquence cellulaire. Le cœur et les reins, par exemple vibrent dans des zones proches des fréquences des micro-ondes.

Des résultats probants…

En 1983, Jean-Louis Portes a présenté sa thèse de doctorat en médecine à la Faculté de médecine de la Pitié-Salpêtrière sur les multiples guérisons enregistrées par plusieurs médecins avec les machines à champs électro-magnétiques pulsés :

… Mais avec un bémol

Interrogé sur la puissance thérapeutique des champs électro-magnétiques pulsés, le Professeur Bernard Herzog, spécialiste en électro-radiologie, ancien chef de service du CHU de Nantes et professeur d’université, est également un spécialiste des thérapies alternatives. Passionné par les recherches sur cette thérapeutique, il tempère sensiblement les résultats de ses prédécesseurs :

« Dans tous les cas, quel que soit le stade des tumeurs, l’action revitalisante par apport énergétique est à signaler, nous n’avons jamais observé d’effets négatifs avec le protocole que nous avons suivi. Dans les stades ultimes du développement du cancer, l’action des champs donne une amélioration de l’état général très substantielle, améliore donc la fin de ces sujets et peut-être prolonge leur vie dans un certain nombre de cas.
Cependant, sur l’ensemble des observations, nous pouvons affirmer que l’action est aléatoire, elle n’est pas systématique. Il n’y a d’ailleurs aucune thérapeutique industrialisée qui ait des résultats constants.
Nous avons observé des résultats inespérés, mais aussi des échecs. Une foule de facteurs sont à envisager parmi lesquels des facteurs génétiques et psychologiques, certains sujets étant décidés à quitter ce monde.
En revanche, on peut noter de façon systématique, une amélioration de l’état général, une diminution des symptômes notamment douloureux ainsi qu’une atténuation de tous les phénomènes rhumatologiques et inflammatoires associés.
J’insiste pour dire que dans les cas de tumeurs profondes telles que le cancer de l’estomac, du pancréas et de l’ovaire, l’action ne peut être qu’un complément thérapeutique. Nous n’avons pas l’illusion de faire fondre ces tumeurs de même que dans les glioblastomes ou les sarcomes. Il s’agit dans tous les cas d’aider les sujets à retrouver le bien-être et d’assurer un effet antalgique ».

Pathologies rhumatismales : le must

D’autres médecins confirment le pouvoir antalgique des champs électro-magnétiques pulsés surtout dans le traitement des pathologies rhumatismales.
Le Dr Gustave Mathieu, notamment, qui utilise depuis 20 ans ces appareils, rapporte une multitude de cas d’amélioration, de stabilisation ou de rémission de plusieurs pathologies inflammatoires des articulations.
Dans de nombreux cas de polyarthrites rhumatoïdes, l’usage régulier des champs (entre treize et trente mois), les patients ont constaté l’arrêt total des douleurs avec suppression ou atténuation de la prise médicamenteuse. Le patient peut se chausser lui-même sans difficulté, la marche est désormais normalisée et la liberté de mouvements retrouvée. Les déformations articulaires n’évoluent plus et on constate également un regain d’amplitude pour certaines articulations.

Dans les cas de lombalgies, de cervicalgies ou même de hernies discales, l’application locale des champs électro-magnétiques pulsés a permis d’effacer les douleurs irradiantes et de retrouver une récupération quasiment totale tant fonctionnelle qu’articulaire, permettant de reprendre une activité quotidienne normale et la conduite de son véhicule.
Plus globalement, toute douleur articulaire due à une inflammation arthritique ou traumatique est nettement améliorée par l’application des champs électro-magnétiques.

Cinq machines à effet thérapeutique

Depuis les premiers balbutiements de la thérapie par les ondes, différents appareils ont vu le jour et se sont sophistiqués.

Plusieurs types de machines à champs électro-magnétiques pulsés existent.

Source: http://soignez-vous.com/2005/07/01/champs-lectro-magntiques-pulss-la-sant-sur-la-bonne-longueur-donde/

 

Quitter la version mobile